Alerte aux jeunes marocains sur WhatsApp !
Publié le 14 septembre 2024
Les arnaques en ligne se multiplient au Maroc, avec une vague d’offres d’emploi frauduleuses qui inonde WhatsApp et les réseaux sociaux.
Les arnaques en ligne se multiplient au Maroc, avec une vague d’offres d’emploi frauduleuses qui inonde WhatsApp et les réseaux sociaux.
Les associations de protection des consommateurs mettent en garde : des escrocs utilisent des noms d’entreprises bien connues pour attirer des jeunes en quête de travail.
Bouazza Kherrati, président de l’Union marocaine des droits des consommateurs, tire la sonnette d’alarme : « Le chômage pousse certains jeunes à accepter tout et n’importe quoi. Les réseaux sociaux sont devenus un terrain fertile pour ces offres douteuses ».
Bouazza Kherrati, président de l’Union marocaine des droits des consommateurs, tire la sonnette d’alarme : « Le chômage pousse certains jeunes à accepter tout et n’importe quoi. Les réseaux sociaux sont devenus un terrain fertile pour ces offres douteuses ».
Avec un taux de chômage qui dépasse les chiffres officiels, il n’est pas étonnant que les jeunes, désespérés, se tournent vers des solutions rapides, souvent trompeuses.
Ces fausses annonces, habilement conçues, proposent parfois des salaires bien inférieurs au SMIC, et pourtant, elles attirent. Pourquoi ? « Parce que les réseaux sociaux, c’est un peu comme un marché aux puces numérique », explique Kherrati. « Tout le monde y vend quelque chose, mais il n’y a pas de garantie ».
Offres fictives, risques réels
Le plus inquiétant, ce sont les conséquences. Ces arnaques ne se contentent pas de voler du temps et de l’espoir. Elles peuvent aussi demander des frais en avance pour un poste inexistant, ou pire, exploiter les jeunes femmes. Abdelkrim Chafai, président de la Fédération régionale des droits des consommateurs de Souss-Massa, souligne : « Certaines annonces ne ciblent que les femmes, ouvrant la porte à des abus potentiels ».
Chafai rappelle aux utilisateurs d’être vigilants. Il est essentiel de vérifier l’existence réelle des entreprises et de se méfier des offres trop alléchantes.
Ces fausses annonces, habilement conçues, proposent parfois des salaires bien inférieurs au SMIC, et pourtant, elles attirent. Pourquoi ? « Parce que les réseaux sociaux, c’est un peu comme un marché aux puces numérique », explique Kherrati. « Tout le monde y vend quelque chose, mais il n’y a pas de garantie ».
Offres fictives, risques réels
Le plus inquiétant, ce sont les conséquences. Ces arnaques ne se contentent pas de voler du temps et de l’espoir. Elles peuvent aussi demander des frais en avance pour un poste inexistant, ou pire, exploiter les jeunes femmes. Abdelkrim Chafai, président de la Fédération régionale des droits des consommateurs de Souss-Massa, souligne : « Certaines annonces ne ciblent que les femmes, ouvrant la porte à des abus potentiels ».
Chafai rappelle aux utilisateurs d’être vigilants. Il est essentiel de vérifier l’existence réelle des entreprises et de se méfier des offres trop alléchantes.
« Si ça semble trop beau pour être vrai, c’est probablement une arnaque », avertit-il.
La prudence est de mise
Malgré les risques évidents, beaucoup continuent à se laisser prendre.
La prudence est de mise
Malgré les risques évidents, beaucoup continuent à se laisser prendre.
Pourquoi ?
Le besoin désespéré de trouver un emploi pousse à prendre des risques.
Pourtant, Kherrati est clair : « Il n’y a aucune loi pour protéger les victimes de ces arnaques. Une fois l’argent parti, c’est fini ».
Le conseil des experts est simple : évitez de chercher du travail sur les réseaux sociaux. Utilisez des plateformes fiables.
Le conseil des experts est simple : évitez de chercher du travail sur les réseaux sociaux. Utilisez des plateformes fiables.
Soyez méfiants.
Et surtout, n’envoyez jamais d’argent pour obtenir un emploi.
Le bon sens peut sauver plus qu’un portefeuille : il peut sauver des vies..
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