
Publié le vendredi 29 novembre 2024
Le tribunal de première instance d’Aïn Sebaâ, à Casablanca, a reporté au 2 décembre prochain l’examen du dossier de Reda Bouzidi, connu sur les réseaux sociaux sous le pseudonyme de Weld Chinwiya.
Ce report a été décidé à la demande de l’avocat, qui s’est chargé récemment de la défense de l’accusé, afin de prendre connaissance du dossier et préparer sa plaidoirie.
L’audience, tenue ce vendredi 29 novembre, a connu une affluence importante de citoyens ainsi que des membres des familles des deux accusés venus suivre le déroulement de cette affaire.
Lors de l’audience précédente, l’accusé avait insisté sur son droit à la défense et à la désignation d’un avocat, malgré le refus de plusieurs avocats de le représenter. Me Mohamed Belqadoui s’est toutefois porté volontaire pour assurer sa défense alors qu’il est en détention provisoire.
Dans une déclaration à Hespress, Me Belqadoui a expliqué que sa décision de défendre l’accusé repose sur une conviction personnelle, soulignant l’absence de toute plainte déposée par un avocat contre son client.
« Notre profession, conformément au serment que nous avons prêté, nous impose de défendre toute personne, quelle que soit la nature du crime commis », a-t-il précisé.
Après s’être entretenu avec la famille de l’accusé, Me Belqadoui a indiqué que le bâtonnier du barreau de Casablanca n’a exprimé aucune objection à ce sujet. Selon lui, le bâtonnier est convaincu de la liberté de la défense, considérant qu’elle fait partie intégrante du travail de l’avocat.
En l’absence de défense, l’accusé aurait pu bénéficier de l’aide juridictionnelle pour qu’un avocat soit désigné d’office. Me Belqadoui a exprimé l’espoir d’une réconciliation entre les deux familles afin de clore cette affaire.
Son client est poursuivi pour outrage à la police judiciaire, insultes, diffamation et atteinte à la vie privée par la diffusion d’accusations via des systèmes informatiques, mais aussi d’avoir provoqué des troubles dans un poste de police et menacé de commettre un crime.
À noter que l’accusé avait initialement comparu en liberté, accompagné de sa mère, de ses frères et d’une autre femme.
Le tribunal de première instance d’Aïn Sebaâ, à Casablanca, a reporté au 2 décembre prochain l’examen du dossier de Reda Bouzidi, connu sur les réseaux sociaux sous le pseudonyme de Weld Chinwiya.
Ce report a été décidé à la demande de l’avocat, qui s’est chargé récemment de la défense de l’accusé, afin de prendre connaissance du dossier et préparer sa plaidoirie.
L’audience, tenue ce vendredi 29 novembre, a connu une affluence importante de citoyens ainsi que des membres des familles des deux accusés venus suivre le déroulement de cette affaire.
Lors de l’audience précédente, l’accusé avait insisté sur son droit à la défense et à la désignation d’un avocat, malgré le refus de plusieurs avocats de le représenter. Me Mohamed Belqadoui s’est toutefois porté volontaire pour assurer sa défense alors qu’il est en détention provisoire.
Dans une déclaration à Hespress, Me Belqadoui a expliqué que sa décision de défendre l’accusé repose sur une conviction personnelle, soulignant l’absence de toute plainte déposée par un avocat contre son client.
« Notre profession, conformément au serment que nous avons prêté, nous impose de défendre toute personne, quelle que soit la nature du crime commis », a-t-il précisé.
Après s’être entretenu avec la famille de l’accusé, Me Belqadoui a indiqué que le bâtonnier du barreau de Casablanca n’a exprimé aucune objection à ce sujet. Selon lui, le bâtonnier est convaincu de la liberté de la défense, considérant qu’elle fait partie intégrante du travail de l’avocat.
En l’absence de défense, l’accusé aurait pu bénéficier de l’aide juridictionnelle pour qu’un avocat soit désigné d’office. Me Belqadoui a exprimé l’espoir d’une réconciliation entre les deux familles afin de clore cette affaire.
Son client est poursuivi pour outrage à la police judiciaire, insultes, diffamation et atteinte à la vie privée par la diffusion d’accusations via des systèmes informatiques, mais aussi d’avoir provoqué des troubles dans un poste de police et menacé de commettre un crime.
À noter que l’accusé avait initialement comparu en liberté, accompagné de sa mère, de ses frères et d’une autre femme.
Ces derniers sont accusés de diffamation, atteinte à la vie privée, insultes, menaces et troubles dans un établissement public.
Le parquet a finalement ordonné l’arrestation du youtubeur marocain controversé, en même temps qu’une femme connue sur TikTok sous le pseudonyme de « Bent Abbas ».
Le parquet a finalement ordonné l’arrestation du youtubeur marocain controversé, en même temps qu’une femme connue sur TikTok sous le pseudonyme de « Bent Abbas ».
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