Attaques médiatiques et utilisation de la bassesse pour offenser... une sale guerre contre les services de sécurité marocains et les symboles de sa souveraineté.

Attaques médiatiques et utilisation de la bassesse pour offenser... 

Une sale guerre contre les services de sécurité marocains et les symboles de sa souveraineté.

Attaques médiatiques et utilisation de la bassesse pour offenser... une sale guerre contre les services de sécurité marocains et les symboles de sa souveraineté.


Malgré les succès obtenus, reconnus par les ennemis comme par les amis, les services de sécurité du Maroc, leurs symboles et les symboles de sa souveraineté sont soumis à de féroces attaques médiatiques, menées par des parties extérieures et des adversaires régionaux cherchant à jeter le doute sur leurs réalisations et à promouvoir des récits biaisés sur leur travail.

Souvent, certains traîtres à l’intérieur du pays se transforment en outils de propagande pour les ennemis du Royaume, répandant des rumeurs et des mensonges qui visent à saper la confiance des citoyens dans leurs institutions de sécurité. Cependant, malgré l’ampleur de ces campagnes, les Marocains sont bien conscients que leur sécurité n’aurait pas été obtenue sans le dévouement des personnels de renseignement et de sécurité, qui travaillent en silence pour protéger la patrie.

Soutenir les institutions de sécurité est une responsabilité nationale.

Aujourd’hui, le Maroc n’est pas seulement un pays sûr, mais un modèle mondial de gouvernance sécuritaire, ses services de renseignement s’avérant être un partenaire clé dans la lutte contre les menaces, du terrorisme au crime organisé.

Mais le succès sécuritaire n’est pas la seule responsabilité des agences, mais plutôt la responsabilité de chaque citoyen marocain, qui réalise que la stabilité de son pays est le résultat d’efforts continus de renseignement, et que le soutien des institutions

La sécurité est un devoir national pour faire face aux tentatives de déformer et de nuire à la réputation du Maroc.

Aujourd’hui, le Maroc n’est pas seulement un pays qui se protège, mais plutôt un acteur clé de la sécurité mondiale, défendant ses frontières, protégeant ses partenaires et affrontant les complots avec sagesse et force.

Le Maroc dispose d’un système de formations intégrées de sécurité et de renseignement, réparties entre plusieurs agences, dont chacune dispose de spécialisations spécifiques couvrant les domaines interne et externe de la sécurité nationale de l’intérieur, de la lutte contre les menaces terroristes et le crime organisé et de la protection des intérêts stratégiques du Royaume de l’étranger.

Formations en sécurité et renseignement ; Des Forces Armées Royales, de la Gendarmerie Royale, des Forces Auxiliaires, de la Protection Civile et de l'Administration Territoriale, dont les vies ne coûtent pas cher au nom de la Patrie ; Nous citons parmi eux :

* Forces armées royales - Direction du renseignement militaire, une branche du renseignement au sein des Forces armées royales, chargée de la collecte et de l'analyse des informations militaires. Il se concentre sur les développements militaires régionaux et suit les activités hostiles, en particulier dans les zones frontalières. Elle joue un rôle important dans la sécurisation des régions du sud du Royaume, et dans la lutte contre d’éventuelles menaces dans le Sahara marocain.

* Gendarmerie royale ; C'est un appareil de sécurité militaire, partie intégrante des Forces Armées Royales ; Travaille en milieu rural et sur les autoroutes. Responsable du maintien de la sécurité à l’extérieur des villes, des enquêtes sur les crimes et de la sécurisation des frontières et des installations vitales.

* Directions affiliées au ministère de l'Intérieur, notamment :

1. La Direction Générale de l'Intérieur (DGAI), qui est chargée de surveiller la situation sécuritaire et politique sur le territoire national, en étroite coordination avec les gouverneurs et les travailleurs pour surveiller tout mouvement pouvant menacer la sécurité, la stabilité, la tranquillité, la sécurité et le maintien de l'ordre public. Il supervise les chefs, les pachas, les cheikhs et les muqaddams, qui forment un réseau et des centres avancés de surveillance sur le terrain dans les quartiers et les villages.

2. Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) ; La principale force de police au Maroc, chargée du maintien de la sécurité publique, de la lutte contre la criminalité et de la régulation de la circulation. Il supervise la police des frontières, la police judiciaire et les équipes d'intervention rapide. Il a connu des mises à jour majeures pendant l’ère d’Abdellatif Hammouchi, notamment l’introduction de technologies d’intelligence artificielle, le développement de l’infrastructure de sécurité et l’amélioration de la formation du personnel de sécurité.

3. Forces auxiliaires, force paramilitaire qui aide à maintenir la sécurité, soutient les commandants, les pachas, la police et la gendarmerie lors d'événements majeurs et sécurise les frontières. Il est utilisé lors d'interventions lors de catastrophes naturelles, de manifestations et d'événements sportifs.

4. Protection civile marocaine : La protection civile est administrativement affiliée au ministère de l'Intérieur et opère sous la supervision de la Direction générale de la protection civile (DGPC), qui est un organisme chargé de la gestion des catastrophes, de la lutte contre les incendies, du sauvetage et des secours d'urgence. Elle joue un rôle majeur dans la protection des vies et des biens et son intervention inclut les accidents majeurs, les inondations, les tremblements de terre et les incendies.


* Direction Générale des Études et de la Documentation (DGED) ; Connu sous le nom de La DGED, c'est le service de renseignement extérieur du Maroc. Il s’occupe de la collecte de renseignements étrangers, du contre-espionnage et de la coordination de la sécurité avec les partenaires internationaux. Elle joue un rôle fondamental dans la protection des intérêts nationaux hors du Maroc, notamment sur des questions stratégiques comme la question du Sahara occidental.

* Direction Générale de la Surveillance du Territoire (DGST) ; Connue sous l’acronyme « DST », elle est responsable de la sécurité intérieure, de la lutte contre le terrorisme et du combat contre le crime organisé. Elle adopte une approche proactive, ce qui lui a permis de démanteler des centaines de cellules terroristes depuis le début du troisième millénaire. Elle joue également un rôle clé dans la coopération internationale, en fournissant des renseignements importants aux pays européens et aux États-Unis sur les menaces terroristes.

* Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), connu dans les médias sous le nom de « FBI marocain », est une unité spéciale de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST). Spécialisé dans la lutte contre le terrorisme, le crime organisé et le trafic de drogue. Depuis sa création en 2015, il est devenu le principal bras opérationnel chargé de démanteler les cellules terroristes et de mener des enquêtes complexes.

Ces agences forment un réseau de sécurité intégré qui travaille en étroite coordination pour assurer la sécurité interne et externe. Une approche proactive et la coopération internationale ont renforcé la position du Maroc en tant qu'acteur clé dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé, tandis que les discussions se poursuivent sur la nécessité d'équilibrer la sécurité avec le respect des libertés publiques.

Renseignement marocain : entre succès sécuritaire et défis en matière de droits de l’homme : Face aux menaces croissantes en matière de sécurité mondiale, les stratégies de renseignement sont devenues un facteur crucial pour assurer la stabilité et protéger les pays contre les menaces internes et externes. Le Maroc, en tant qu’État pivot en Afrique du Nord, a développé un modèle de sécurité basé sur la proactivité, l’analyse minutieuse et la coordination avec les partenaires internationaux, ce qui a renforcé sa position d’acteur majeur de la sécurité régionale et internationale. Cependant, parallèlement aux succès en matière de sécurité, des questions se posent quant à l’équilibre entre l’efficacité de la sécurité et le respect des droits et des libertés.

- Une approche de renseignement très avancée : basée sur la surveillance et l’analyse, et son travail s’appuie sur une philosophie de sécurité qui allie prévention et intervention rapide. Au lieu de s’appuyer uniquement sur la dissuasion traditionnelle, le Maroc a développé une approche de renseignement préventif basée sur l’étude et l’analyse des menaces potentielles, lui permettant de démanteler des centaines de cellules terroristes et de déjouer des complots criminels avant qu’ils ne soient mis à exécution.

Selon les rapports officiels, les services de sécurité marocains ont démantelé plus de 500 cellules terroristes depuis 2002, et leurs renseignements ont contribué à déjouer des opérations sérieuses en France, en Espagne, en Belgique et aux États-Unis. Ces réalisations ont fait du Maroc un partenaire clé dans la lutte internationale contre le terrorisme, ce qui s’est traduit par des distinctions officielles et des prix internationaux décernés aux responsables sécuritaires marocains.

- La dimension internationale : Le Maroc acteur sécuritaire global : La Direction Générale des Etudes et de la Documentation (DGED) joue un rôle crucial dans la protection des intérêts stratégiques du Maroc à l’étranger, à travers le contre-espionnage, la lutte contre le terrorisme transfrontalier et la protection de la sécurité nationale. Elle a également contribué à contrer les complots visant l'intégrité territoriale du Royaume, notamment dans le dossier du Sahara marocain, en s'attaquant aux menaces régionales et aux campagnes de contre-propagande.

En outre, la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) a renforcé sa position dans la coopération internationale en matière de sécurité en fournissant des renseignements qui ont contribué à démasquer des cellules terroristes européennes, ce qui lui a valu une large reconnaissance internationale.

– Défis, pressions juridiques et équilibre entre sécurité et libertés : Malgré ces acquis, l'approche sécuritaire du Maroc pose plusieurs défis et contraintes liés à l'équilibre entre sécurité et respect des droits et libertés. Ceci a incité les autorités à affirmer leur engagement envers les normes de justice, tout en tenant compte du contexte sécuritaire complexe auquel le pays est confronté.

- Impact sociétal : Comment la sécurité affecte-t-elle la vie des citoyens ?

Au niveau national, les politiques de sécurité contribuent à renforcer le sentiment de sécurité des citoyens, notamment face aux défis liés au crime organisé et aux menaces terroristes. Le Maroc a connu une stabilité sécuritaire remarquable par rapport à de nombreux pays de la région, ce qui a eu un impact positif sur l’investissement et le tourisme.

Toutefois, des questions se posent quant à la mesure dans laquelle l’approche sécuritaire impacte les libertés publiques, telles que la liberté d’expression et de réunion. Alors que les autorités considèrent la stabilité sécuritaire comme une condition préalable au développement, les défenseurs des droits de l’homme soulignent la nécessité de veiller à ce que les politiques de sécurité ne se transforment pas en restrictions injustifiées des libertés civiles.


* Conclusion : Quel avenir pour le modèle sécuritaire marocain ?

Le Maroc, à travers ses services de renseignement, a prouvé sa capacité à faire face efficacement à des menaces sécuritaires complexes, ce qui en fait un modèle à imiter dans la région. Toutefois, pour garantir la durabilité de ce succès, le défi reste de trouver un équilibre permanent entre le renforcement de la sécurité et la garantie des droits et des libertés, en plus du renforcement de la transparence et de la responsabilité dans le traitement des questions de sécurité.

A la lumière des évolutions géopolitiques rapides, le Maroc devra continuer à actualiser sa stratégie sécuritaire, non seulement pour faire face aux défis sécuritaires, mais aussi pour renforcer la confiance des citoyens dans ses institutions et faire face aux ennemis de son unité, de sa sécurité, de sa stabilité, de son développement et de son urbanisation.

La caravane avance et les chiens aboient.



Par Abdullah Mishnoun, un journaliste basé en Italie.


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