C’est une évidence que ce foutu bas monde est complètement malade !
« Zelensky demande la paix, Trump oeuvre pour la paix, Poutine veut la paix tandis qu'à Bruxelles et Paris, il y a un fou (…) Si l'Italie veut investir dans sa sécurité nationale, elle n'acceptera jamais une armée européenne commandée par ce fou de Macron qui parle de guerre nucléaire.
Il n’y a aucune hypothèse d’envoyer des militaires italiens en Ukraine.
Un exercice européen commandé par ce fou de Macron qui parle de guerre nucléaire ?
Non, jamais. »
Pour Matteo Salvini, Macron « a un besoin désespéré de donner un sens aux derniers temps de son second et dernier mandat présidentiel.
Mais qu'il ne le fasse pas à nos dépens ni à ceux de nos enfants. » Il l’avait déjà traité de #fou l'an dernier quand ManuMilitari avait évoqué l'envoi de troupes européennes en Ukraine, lui conseillant de « se faire soigner. » Il dit tout haut ce qu’au moins 75% de Français pensent tout bas et qui ne peut être publiquement dit par aucun journaliste ni aucun média.
Guerre en Ukraine : Pour Viktor Orbán, l'Europe devrait soutenir « le plan de Donald Trump pour la paix au lieu de nager à contre-courant. »
PhilippeDeVilliers juge que notre grand chef de guerre est tartarin de Tarascon : vantard, fanfaron, grandiloquent.
Il se sert de l'#Ukraine pour fédéraliser les États autour de la Commission européenne, qu'il ambitionne, à terme, de présider.
Et tous ceux qui ne sont pas d’accord avec les Vatenguerre sont des nationalistes d’extrême droite, collaborationnistes pro-russes notoires, etc.
En France, la pressaille obséquieuse veut le faire passer pour un grand stratège, alors, qu’il n’est justement qu’un fou et c’est peu de le dire !
Zelensky, Trump et Poutine veulent la paix sauf «ce fou de Macron qui parle de guerre nucléaire», attaque Salvini, numéro 2 du gouvernement italienLe leader d’extrême droite italien, admirateur de Vladimir Poutine, a récidivé ce vendredi 7 mars en qualifiant le président français de fou «qui parle de guerre nucléaire».
Il n’y a aucune hypothèse d’envoyer des militaires italiens en Ukraine.
Un exercice européen commandé par ce fou de Macron qui parle de guerre nucléaire ?
Non, jamais. »
Pour Matteo Salvini, Macron « a un besoin désespéré de donner un sens aux derniers temps de son second et dernier mandat présidentiel.
Mais qu'il ne le fasse pas à nos dépens ni à ceux de nos enfants. » Il l’avait déjà traité de #fou l'an dernier quand ManuMilitari avait évoqué l'envoi de troupes européennes en Ukraine, lui conseillant de « se faire soigner. » Il dit tout haut ce qu’au moins 75% de Français pensent tout bas et qui ne peut être publiquement dit par aucun journaliste ni aucun média.
Guerre en Ukraine : Pour Viktor Orbán, l'Europe devrait soutenir « le plan de Donald Trump pour la paix au lieu de nager à contre-courant. »
PhilippeDeVilliers juge que notre grand chef de guerre est tartarin de Tarascon : vantard, fanfaron, grandiloquent.
Il se sert de l'#Ukraine pour fédéraliser les États autour de la Commission européenne, qu'il ambitionne, à terme, de présider.
Et tous ceux qui ne sont pas d’accord avec les Vatenguerre sont des nationalistes d’extrême droite, collaborationnistes pro-russes notoires, etc.
En France, la pressaille obséquieuse veut le faire passer pour un grand stratège, alors, qu’il n’est justement qu’un fou et c’est peu de le dire !
Zelensky, Trump et Poutine veulent la paix sauf «ce fou de Macron qui parle de guerre nucléaire», attaque Salvini, numéro 2 du gouvernement italienLe leader d’extrême droite italien, admirateur de Vladimir Poutine, a récidivé ce vendredi 7 mars en qualifiant le président français de fou «qui parle de guerre nucléaire».
Il l’a également accusé d’avoir «un besoin désespéré de donner un sens» à la fin de son mandat.
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/R33PSGMLTNB2XJUQHVI4OPOUGA.jpg)
Le dirigeant d'extrême droite italien, Matteo Salvini, le 8 février 2025.
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/R33PSGMLTNB2XJUQHVI4OPOUGA.jpg)
Le dirigeant d'extrême droite italien, Matteo Salvini, le 8 février 2025.
Publié le 7 mars 2025
«Zelensky demande la paix, Trump œuvre pour la paix, Poutine veut la paix», tandis qu’«à Bruxelles et Paris, il y a un fou» – comprendre Emmanuel Macron –, a lâché en déplacement à Milan ce vendredi 7 mars le numéro 2 du gouvernement italien ultraconservateur, Matteo Salvini. Selon ses propos rapportés par l’agence de presse Ansa, le dirigeant italien d’extrême droite a donc une nouvelle fois traité de «fou» vendredi le président français, qu’il accuse de pousser l’Europe à la guerre avec la Russie.
«Zelensky demande la paix, Trump œuvre pour la paix, Poutine veut la paix», tandis qu’«à Bruxelles et Paris, il y a un fou» – comprendre Emmanuel Macron –, a lâché en déplacement à Milan ce vendredi 7 mars le numéro 2 du gouvernement italien ultraconservateur, Matteo Salvini. Selon ses propos rapportés par l’agence de presse Ansa, le dirigeant italien d’extrême droite a donc une nouvelle fois traité de «fou» vendredi le président français, qu’il accuse de pousser l’Europe à la guerre avec la Russie.
Depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, Matteo Salvini s’emploie à freiner l’aide militaire de l’Italie à Kyiv, tout en tentant de faire oublier la proximité passée entre le parti de Vladimir Poutine, Russie unie, et sa formation politique, La Ligue – qui fait partie, avec le RN français, du groupe Identité et Démocratie au Parlement européen.
«Je le referais»
Justice Italienne : Six ans de prison requis contre l’ex-ministre de l’Intérieur Matteo Salvini pour avoir refusé de laisser accoster des migrants
Le président français, souvent à l’initiative avec Bruxelles dans le soutien à l’Ukraine, est, avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, la principale cible des attaques verbales de Matteo Salvini. Si l’Italie «veut investir dans sa sécurité nationale», elle n’acceptera «jamais une armée européenne commandée par ce fou de Macron qui parle de guerre nucléaire», a-t-il assené.
A contre-courant de la politique pro-Kyiv de Meloni.
Ces derniers jours, le chef d’Etat français a évoqué la possibilité de faire bénéficier l’Europe du parapluie nucléaire français.
«Je le referais»
Justice Italienne : Six ans de prison requis contre l’ex-ministre de l’Intérieur Matteo Salvini pour avoir refusé de laisser accoster des migrants
Le président français, souvent à l’initiative avec Bruxelles dans le soutien à l’Ukraine, est, avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, la principale cible des attaques verbales de Matteo Salvini. Si l’Italie «veut investir dans sa sécurité nationale», elle n’acceptera «jamais une armée européenne commandée par ce fou de Macron qui parle de guerre nucléaire», a-t-il assené.
A contre-courant de la politique pro-Kyiv de Meloni.
Ces derniers jours, le chef d’Etat français a évoqué la possibilité de faire bénéficier l’Europe du parapluie nucléaire français.
Il a précisé jeudi, en marge d’un sommet européen extraordinaire à Bruxelles, se donner jusqu’à «la fin du semestre» pour voir «s’il y a des coopérations nouvelles qui peuvent voir le jour» au sein de l’UE sur ce sujet.
Selon l’analyse du dirigeant d’extrême droite italien, Emmanuel Macron «a un besoin désespéré de donner un sens» aux derniers temps de son second et dernier mandat présidentiel. «Mais qu’il ne le fasse pas à nos dépens ni à ceux de nos enfants», tance-t-il.
Selon l’analyse du dirigeant d’extrême droite italien, Emmanuel Macron «a un besoin désespéré de donner un sens» aux derniers temps de son second et dernier mandat présidentiel. «Mais qu’il ne le fasse pas à nos dépens ni à ceux de nos enfants», tance-t-il.
Matteo Salvini avait déjà traité le chef de l’Etat français de fou l’an dernier, quand il avait évoqué l’envoi de troupes européennes en Ukraine, lui conseillant de «se faire soigner».
Systématiquement à contre-courant de la politique pro-Kyiv de la cheffe de gouvernement Giorgia Meloni, de culture atlantiste, Matteo Salvini est un admirateur de longue date de Vladimir Poutine, et son parti avait signé en 2017 un accord avec Russie unie, le parti du président russe. S’il a condamné l’invasion de l’Ukraine, il a aussi tenu des propos controversés sur la réélection de Poutine («Quand un peuple vote, il a toujours raison») ou la mort en prison d’Alexeï Navalny, principal opposant au chef du Kremlin, estimant qu’il revenait «aux médecins et aux juges» russes de faire la lumière sur les circonstances de son décès.
Systématiquement à contre-courant de la politique pro-Kyiv de la cheffe de gouvernement Giorgia Meloni, de culture atlantiste, Matteo Salvini est un admirateur de longue date de Vladimir Poutine, et son parti avait signé en 2017 un accord avec Russie unie, le parti du président russe. S’il a condamné l’invasion de l’Ukraine, il a aussi tenu des propos controversés sur la réélection de Poutine («Quand un peuple vote, il a toujours raison») ou la mort en prison d’Alexeï Navalny, principal opposant au chef du Kremlin, estimant qu’il revenait «aux médecins et aux juges» russes de faire la lumière sur les circonstances de son décès.
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Merci de commenter nos articles