La Cour d’appel a confirmé les peines prononcées contre « Ould El-Shinouia » et « Bint Abbas ».
Publié le 17 mars 2025
La Cour d'appel de Casablanca a statué ce lundi dans l'affaire du youtubeur Reda El Bouzidi, dit « Ould El Chinouia », et de la youtubeuse « Bint Abbas ». Elle a confirmé les jugements rendus par le tribunal correctionnel d'Aïn Sebaa, rendant les peines prononcées à leur encontre définitives et exécutoires.
Cette décision est intervenue après une série d'audiences d'appel, au cours desquelles le tribunal a examiné les détails de l'affaire et entendu les arguments de la défense des accusés, avant de décider de maintenir la décision initiale sans aucune modification.
Le tribunal de première instance avait précédemment condamné Ould Chénoui à trois ans de prison, tandis que Bint Abbas avait été condamnée à deux ans et demi de prison.
Publié le 17 mars 2025
La Cour d'appel de Casablanca a statué ce lundi dans l'affaire du youtubeur Reda El Bouzidi, dit « Ould El Chinouia », et de la youtubeuse « Bint Abbas ». Elle a confirmé les jugements rendus par le tribunal correctionnel d'Aïn Sebaa, rendant les peines prononcées à leur encontre définitives et exécutoires.
Cette décision est intervenue après une série d'audiences d'appel, au cours desquelles le tribunal a examiné les détails de l'affaire et entendu les arguments de la défense des accusés, avant de décider de maintenir la décision initiale sans aucune modification.
Le tribunal de première instance avait précédemment condamné Ould Chénoui à trois ans de prison, tandis que Bint Abbas avait été condamnée à deux ans et demi de prison.
Ces verdicts reposaient sur des accusations de diffamation, de calomnie et de violation de la vie privée par la publication de fausses allégations par voie électronique, dans le but de diffamer et de porter atteinte à la réputation des victimes.
La décision initiale a suscité une large controverse sur les réseaux sociaux, les opinions divergeant entre ceux qui la considéraient comme une application appropriée de la loi pour protéger les droits personnels et ceux qui la considéraient comme une décision sévère, ce qui a conduit l'affaire à attirer l'attention du public.
La décision initiale a suscité une large controverse sur les réseaux sociaux, les opinions divergeant entre ceux qui la considéraient comme une application appropriée de la loi pour protéger les droits personnels et ceux qui la considéraient comme une décision sévère, ce qui a conduit l'affaire à attirer l'attention du public.
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