Le ministère de l'Intérieur embarrassé par le ministre Baitas.

Publié le samedi 15 mars 2025
Ce qui s'est passé au juste ?
Le gouverneur de la province de Sidi Ifni, Lahcen Sedki, a émis une directive officielle aux chefs des collectivités territoriales de la province interdisant l'utilisation de véhicules de la commune et d'équipements collectifs pour toute activité politique ou électorale. 😢
Ce qui s'est passé au juste ?
Le gouverneur de la province de Sidi Ifni, Lahcen Sedki, a émis une directive officielle aux chefs des collectivités territoriales de la province interdisant l'utilisation de véhicules de la commune et d'équipements collectifs pour toute activité politique ou électorale. 😢
Cette décision intervient après une polémique autour de la diffusion d'images d'un camion appartenant au groupe Tioughza stationné devant le garage d'une maison attribuée à la famille du ministre Mustapha Baitas, membre du parti Rassemblement national des indépendants (RNI).
Le camion aurait été utilisé pour transporter de l'aide liée à la "Joud Association Humanitaire", soupçonnée d'être liée aux activités du parti. Dans ce contexte, le gouverneur a souligné dans une lettre officielle que « certains dirigeants communautaires ont exploité les véhicules et mécanismes publics à des fins politiques et électorales, ce qui constitue une violation de l'article 94 et des articles suivants de la loi organique des communes, qui fixe les conditions d'utilisation des biens publics ».
Sedki a souligné que l’utilisation des ressources collectives pour servir des intérêts partisans contredit les principes de neutralité et d’égalité des chances et porte atteinte à la crédibilité de la gestion collective.
Le camion aurait été utilisé pour transporter de l'aide liée à la "Joud Association Humanitaire", soupçonnée d'être liée aux activités du parti. Dans ce contexte, le gouverneur a souligné dans une lettre officielle que « certains dirigeants communautaires ont exploité les véhicules et mécanismes publics à des fins politiques et électorales, ce qui constitue une violation de l'article 94 et des articles suivants de la loi organique des communes, qui fixe les conditions d'utilisation des biens publics ».
Sedki a souligné que l’utilisation des ressources collectives pour servir des intérêts partisans contredit les principes de neutralité et d’égalité des chances et porte atteinte à la crédibilité de la gestion collective.
Il a également appelé les dirigeants communautaires à respecter strictement les lois et à veiller à ce que l’utilisation des mécanismes collectifs reste .limitée à la défense de l’intérêt public.
Le travailleur a indiqué que toute violation de ces directives sera sanctionnée par des sanctions légales strictes, afin de maintenir la transparence et de protéger les fonds publics de toute exploitation illégale.
Cet incident a suscité un large débat sur la nécessité de renforcer les contrôles sur la propriété collective, notamment à l’approche du processus électoral, et des appels à des mesures plus strictes pour empêcher l’utilisation abusive des ressources publiques à des fins politiques.
Le travailleur a indiqué que toute violation de ces directives sera sanctionnée par des sanctions légales strictes, afin de maintenir la transparence et de protéger les fonds publics de toute exploitation illégale.
Cet incident a suscité un large débat sur la nécessité de renforcer les contrôles sur la propriété collective, notamment à l’approche du processus électoral, et des appels à des mesures plus strictes pour empêcher l’utilisation abusive des ressources publiques à des fins politiques.
☆ Quand vous avez un 1er ministre qui utilise "sa" Fondation Joud à des fins électoralistes.
Ceci ne peut exister qu'au Maroc.
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