Les vidéos dérangeantes madame la démocratie 😉 .

 

Les vidéos dérangeantes d'un système de gouvernance anarcho-oligarchique. 



Madame Fatema Ezzahra Tamni.

La Corruption endémique Maroc : Un chiffre édifiant présenté par une députée du Parti : Congrès National Ittihadi

Depuis le 21 juin 2023 cette militante ne cesse de dénoncé et de mettre en valeur les abus du pouvoir législatif dans le pays.

La députée de la FGD Fatima Tamni, mardi 20 juin 2023, à la Chambre des représentants.


Cette députée de la Fédération de la gauche démocratique (FGD) Fatima Tamni a poussé un coup de gueule, mardi à la Chambre des représentants, lors de la séance plénière consacrée à la discussion du rapport 2021 de la Cour des comptes. « Le coût de la corruption au Maroc s’élève à 50 milliards de dirhams par an », a-t-elle notamment martelé.




Benali exige le procès d'Akhannouch si son implication dans un conflit d'intérêt est prouvée.

















Un duel a couteau tiré entre un journaliste qui dénonce les malversations et un ministre de la justice qui veut bâillonner la presse locale, et les réseaux sociaux !












Une commission d'éthique auto-reverse à la marocaine ?
En démocratie un ou une parlementaire a droit de critiquer la gestion d'un chef du gouvernement ou même un ministre et de
 


L'oligarchie est une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir est détenu par un petit groupe d'individus riches et puissants, souvent issus d'une élite économique, politique ou philanthropique.

Dans la société d’aujourd’hui il y a quelque preuve qui démontre que le régime oligarchique est bien présent en voici quelques-unes. 

Les inégalités économiques : Dans de nombreux pays, les richesses et les ressources sont concentrées entre les mains d'une petite élite, tandis que la majorité de la population vit dans la pauvreté. L'oligarchie économique est renforcée par l'existence de politiques fiscales qui favorisent les riches et les grandes entreprises. 

Un autre impact est notamment l'influence politique des lobbies : Les lobbies d'entreprises et les groupes de pression financent des campagnes électorales, font du lobbying auprès des politiciens et influencent l'élaboration des politiques publiques. 

Cette influence politique est souvent réservée aux personnes ayant une grande richesse et des réseaux de pouvoir. 

Ce qui peut limiter l’accès au pouvoir pour les personnes ayant de plus faibles moyens. 

On pense notamment aux États-Unis sur ce sujet. Il y a également le manque de diversité : Dans de nombreux secteurs de la société, tels que les grandes entreprises, les médias et les universités, les personnes ayant des antécédents similaires et une richesse similaire sont surreprésentées. 

Cette homogénéité peut renforcer une oligarchie culturelle et économique. Par la suite, la concentration des médias : 

Dans de nombreux pays, les grands médias sont détenus par un petit nombre de groupes, ce qui peut avoir un impact sur la manière dont l'information est transmise et influencer la perception publique de certaines questions ❓ 








L'article du journal 

Chambre des représentants : Rim Chabat renvoyée devant la Commission d'éthique.


Publie le mardi 28 janvier 2025 

Le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi Alami, a pris une décision ferme lundi en renvoyant la députée Rim Chabat, du Front des forces démocratiques (FFD), devant la Commission d’éthique de l’institution. 

Cette décision intervient après que l’élue a brandi une grande affiche dénonçant l’état déplorable du transport urbain à Fès et son impact négatif sur le développement touristique de la région.

Lors de la session mensuelle consacrée aux questions au Chef du gouvernement, centrée sur les réalisations dans le secteur touristique, Rim Chabat a saisi l’occasion pour attirer l’attention sur la gestion des bus urbains dans la ville de Fès. Elle a présenté une affiche illustrant des images des véhicules exploités par la société en charge, dont une photo marquante montrant un bus en flammes à la suite d’une panne mécanique.

Le geste a immédiatement suscité la réprobation de Rachid Talbi Alami, qui a dénoncé une atteinte aux prérogatives des collectivités territoriales, seules responsables de la gestion du transport urbain. Selon lui, cette question échappe tant aux compétences du gouvernement qu’à celles du Parlement.

En illustrant son intervention, Rim Chabat n’a pas mâché ses mots. « Est-ce avec ces (ordures) et ces bus de rebut que vous avez envoyés à Fès que nous allons accueillir les touristes ? », a-t-elle lancé, en pointant du doigt les véhicules délabrés et dépourvus de freins. 

Elle a également dénoncé un désintérêt manifeste pour la région de Fès-Meknès, qu’elle estime trop souvent reléguée au second plan, malgré son potentiel touristique.

Face à cette sortie jugée « inappropriée », Rachid Talbi Alami a rappelé les dispositions des articles 135 et 141 de la Constitution, précisant que la gestion des services de transport urbain relève exclusivement des collectivités territoriales. « Les institutions constitutionnelles doivent respecter les cadres réglementaires en vigueur », a-t-il martelé, ajoutant que soulever des problématiques qui sortent du périmètre de compétences de la Chambre des représentants constitue une atteinte aux prérogatives des autres institutions.

Le président de la Chambre a également souligné que l’action de la députée Rim Chabat enfreint l’indépendance constitutionnelle des collectivités territoriales. 
Ces dernières, selon lui, doivent pouvoir exercer leurs responsabilités sans interférences, conformément aux modes de formation de leurs instances par des élections démocratiques.

Pour cette raison, Talbi Alami a confirmé que le cas de Rim Chabat sera examiné par la Commission d’éthique, une procédure qui pourrait déboucher sur des sanctions à l’encontre de la députée.

Il est important de noter que la situation du transport urbain à Fès est au centre d’une vive polémique. 
La qualité des services offerts par la société en charge est régulièrement critiquée par les habitants, qui dénoncent des bus vétustes et des infrastructures insuffisantes. 
Ces lacunes ont donné lieu à plusieurs manifestations locales, exigeant une réforme en profondeur pour améliorer les services publics.

La session a également été marquée par une intervention du député Mustapha Ibrahimi, membre du groupe Justice et Développement (PJD), qui a présenté une liste des lois et décrets sur la protection sociale adoptés sous les gouvernements précédents. 

Contrairement à Rim Chabat, cette initiative a été jugée conforme aux cadres constitutionnels par Rachid Talbi Alami.




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