Rachid Nekkaz un grand voyou formé dans les casernes des généraux algérien expulsé du Maroc !

Rachid Nekkaz un grand voyou formé dans les casernes des généraux algérien expulsé du Maroc !


Publié le 18 mars 2025

Juste pour rappel, Rachid Nekkaz ce voyou notoire a tenté une carrière politique en France, car il est né en France en 1972 de parents kabyles, neuvième d’une fratrie de 12 enfants. Il a grandi dans la banlieue parisienne. 

D’après son site internet, il monte une start-up informatique en 1998 avant de la vendre pour investir dans l’immobilier. 

Ce grand voyou de naissance se lance ensuite dans la politique, présentant sa candidature aux présidentielles de 2007 et 2012, pour le «Parti Rachid Nekkaz». En vain, il ne parvient pas à obtenir les parrainages nécessaires. 

Marié à une Américaine, père d’un fils résidant aux États-Unis, il laissera la France après ces échecs. En 2013, il assure même avoir rendu son passeport français, condition nécessaire pour se présenter à la présidentielle en Algérie.

Ce grand voyou adepte des provocations, est un habitué des coups d’éclat. Il s’illustre déjà en 2007 lors de la présidentielle, quand, invité sur le plateau de LCI, il achète aux enchères le parrainage du maire de la commune de Norton-la-Poterie pour 1500 euros. 

Après tous ses échecs en France et en Algérie où il a passé plusieurs mois de prison sur ordre de Tebboune et Chengriha, ce grand voyou issu du cercle des généraux a décidé de jouer la carte de « l’ennemi Al Marrok » pour préparer sa candidature aux prochaines élections présidentielles contre le mafieux Tebboune. 

Et qui mieux que la grande ville touristique Marrakech pouvait être le meilleur commencement de sa « campagne présidentielle » contre un probable troisième mandat de Tebboune ? Ainsi, Rachid Nekkaz dans une vidéo avait dit que : La Koutoubia est algérienne et le Sahara occidental est un condominium algéro-marocain, allez-y comprendre ?

Après l'appropriation culturelle, le révisionnisme historique ? Le politicien-youtubeur-voyou algérien, Rachid Nekkaz, revendique depuis Marrakech, la mosquée Koutoubia mais aussi le royaume Almohades de Abdelmoumen. Tout un show sur YouTube pour appuyer sa proposition de condominium algéro-marocain sur le Sahara occidental (ça veut dire : Souveraineté exercée sur le Sahara marocain par les deux États à savoir l’Algérie et le Maroc sur ce territoire colonisé par le Maroc.

Rachid Nekkaz ce grand voyou aime les coups d’éclat. Homme d’affaires sans affaires, politicien sans électeurs, prisonnier sans martyr, il s’est fait un nom en France et en Algérie à coups de buzz médiatiques et de provocations opportunistes. Son dernier terrain de jeu ? L’histoire. Depuis Marrakech, il tente de réécrire le passé en offrant aux nationalistes algériens un os à ronger : la mosquée de la Koutoubia aurait été construite par un «sultan algérien».

L’argumentaire de Nekkaz le grand voyou s’appuie sur un raisonnement simpliste : Abdelmoumen, fondateur de l’empire almohade et bâtisseur de la Koutoubia, est né à Médroma, une ville aujourd’hui en Algérie. Donc, selon lui, la célèbre mosquée de Marrakech est algérienne. C’est oublier qu’au XIIe siècle, l’Algérie n’existait pas en tant qu’État. C’est aussi méconnaître l’histoire des Almohades, une dynastie qui, comme les Almoravides avant eux, a toujours placé ses capitales et ses centres de pouvoir dans l’ouest du Maghreb, soit le Maroc actuel.

En bon bateleur, faiseur de fables et bouffon de société ce Nekkaz voyou jongle entre les concepts selon ce qui sert son discours du jour. D’un côté, il rejette les frontières héritées du colonialisme pour prôner un Maghreb uni et sans divisions. De l’autre, il les invoque pour annexer symboliquement des pans entiers du patrimoine marocain. Curieusement, son indignation ne s’étend pas à la partition du Maroc opérée par la France, qui a amputé le royaume des régions de Touat, Tindouf et Béchar pour les rattacher à l’Algérie.

Mais là où le politicien pacifiste pro Union du Maghreb dévoile ses intentions plus nationalistes, c’est lorsqu’il propose une «co-souveraineté algéro-marocaine» sur le Sahara occidental, c'est à dire un condominium. Une idée sortie de nulle part, qui contredit même la position officielle de l’Algérie, laquelle prétend ne pas être partie prenante au conflit. En suggérant que l’Algérie cogère un territoire qu’elle n’a jamais administré, ni revendiqué, Nekkaz fait ce qu’il sait faire de mieux : jeter un pavé dans la mare et observer le chaos qui s’ensuit.

Derrière cette pseudo-conférence historique, il ne faut pas voir une base pour un débat politique sérieux, mais un énième coup médiatique à la manière d'un Youtubeur. 

La vidéo a été largement relayée par des comptes nationalistes algériens sur les réseaux sociaux, présentée comme une «victoire symbolique» sur le Maroc. 

La recette est connue : un mélange de révisionnisme historique, de nationalisme exacerbé et d’anti-marocanisme primaire, le tout servi par un personnage qui aime cultiver l’ambiguïté.

Mais la ficelle est grosse. Derrière ses discours sur l’unité maghrébine et la paix entre les peuples, Nekkaz alimente en réalité la fracture entre les deux pays. Il ne tend pas des ponts, il creuse des fossés. Il ne rapproche pas les peuples, il les divise en servant aux Algériens une histoire à la carte, calibrée pour flatter leur orgueil national. A défaut d'un «khawa khawa» (nous sommes des frères), Rachid Nekkaz est devenu l'incarnation du «khawa l khawi» (le vide sidéral).

On est habitués. L'obsession pour l'Histoire du Maroc est une maladie algérienne, incurable ? Ça s'explique mais ça ne se justifie pas. Ils n'ont pas d'Histoire car ils ont vu la succession des différents envahisseurs et il n'y a jamais un pouvoir central algérien. Leur maladie est allée plus loin car récemment ils ont réclamé la Tour Eiffel. On attend la suite. Après la Koutoubia et la tour Eiffel, on attend la Statue de la Liberté, le Golden Gate, Big Ben ou la cité impériale de Pékin. On attend la suite avec impatience.

En conclusion, il devient clair de dire que les marocains sont maintenant habitués de l'obsession pour l'Histoire du Maroc est une maladie algérienne, et pire encore incurable ? 

Ça s'explique mais ça ne se justifie pas. Certes, ils n'ont pas d'Histoire car ils ont vu la succession des différents envahisseurs et il n'y a jamais un pouvoir central algérien. Hélas, leur maladie est allée plus encore loin car récemment ils ont réclamé la Tour Eiffel. 

On attend la suite. Après la Koutoubia et la tour Eiffel, on attend la Statue de la Liberté, le Golden Gate, Big Ben ou la cité impériale de Pékin. On attend la suite avec impatience, car ce bougre – idiot -voyou de Nekkaz est en campagne pour la prochaine présidence, pour plaire aux décideurs militaires Algériens l'obligation de dénigrer le Maroc pour faire partie des candidats à l'élection présidentielle au lieu et place de Tebboune. 

A suivre : Ainsi va l'Algérie nouvelle de Tebboune !

Ahmed Gma partagé dans FB le 18.03.2025.

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