Violence à l’égard des femmes et des enfants : L’arsenal législatif marocain est ‘‘avancé’’.
Le Maroc dispose d’un arsenal constitutionnel et législatif avancé et d’une jurisprudence solide en matière de lutte contre la violence à l’égard des femmes et des enfants, a souligné le président délégué du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire, premier président de la Cour de cassation, Mustapha Fares.
Intervenant lors d’une conférence organisée par l’amicale Hassania des magistrats, autour du traitement juridique de la violence contre les femmes et des enfants après la publication de la loi contre la violence à l’égard des femmes et la loi relative à la lutte contre la traite des êtres humains, Fares a indiqué dans une allocution lue en son nom que l’action judiciaire doit être accompagnée sur le plan législatif, institutionnel, et réglementaire en vue de relever le seuil des garanties et de mettre en place une nouvelle culture sociétale fondée sur les valeurs de dialogue, d’écoute, de responsabilité et de la reddition des comptes.
Le phénomène de la violence à l’égard des femmes et des enfants est d’une complexité qui dépasse les déterminants juridiques et judiciaires, exigeant une approche globale dans la mesure où tous les intervenants assument la responsabilité, a-t-il souligné, ajoutant que le pouvoir judiciaire est conscient de la responsabilité constitutionnelle, juridique et morale, en tant que garantie fondamentale de la protection des droits et des libertés et de la préservation de l’intégrité physique et morale de la société, en particulier les femmes et les enfants. M. Fares a également noté que cette responsabilité n’aboutira pas qu’à travers la mise en œuvre d’un plan stratégique bien planifié, ouvrant toutes les voies à un dialogue sérieux et une action commune avec les différentes autorités et les composantes sociétales, tout en assurant la mise en place de tous les mécanismes juridiques, financiers, humains et organisationnels nécessaires.
A cette occasion, il a salué les efforts importants déployés par les magistrats de la Cour de cassation et les magistrats de la juridiction de la famille dans tous les tribunaux du Royaume, en dépit des contraintes et des difficultés qui se posent.
Et d’ajouter que cette rencontre constitue une occasion pour mettre en exergue les efforts consentis par le pouvoir judiciaire et les différentes parties prenantes en vue de pallier les déficiences pour traiter les aspects de la violence à l’égard des femmes et des enfants.
Cette conférence scientifique, marquée par la présence d’une pléiade de chercheurs, militants des droits de l’Homme, magistrats, universitaires et acteurs de la société civile s’est articulée autour de la stratégie de lutte contre les formes de violence à l’encontre de la femme et l’enfant, la protection juridique de la femme et de l’enfant à la lumière de la loi de lutte contre la traite des êtres humains et les garanties juridiques et institutionnelles pour la protection des femmes et des enfants contre la violence.
Le Maroc dispose d’un arsenal constitutionnel et législatif avancé et d’une jurisprudence solide en matière de lutte contre la violence à l’égard des femmes et des enfants, a souligné le président délégué du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire, premier président de la Cour de cassation, Mustapha Fares.
Intervenant lors d’une conférence organisée par l’amicale Hassania des magistrats, autour du traitement juridique de la violence contre les femmes et des enfants après la publication de la loi contre la violence à l’égard des femmes et la loi relative à la lutte contre la traite des êtres humains, Fares a indiqué dans une allocution lue en son nom que l’action judiciaire doit être accompagnée sur le plan législatif, institutionnel, et réglementaire en vue de relever le seuil des garanties et de mettre en place une nouvelle culture sociétale fondée sur les valeurs de dialogue, d’écoute, de responsabilité et de la reddition des comptes.
Le phénomène de la violence à l’égard des femmes et des enfants est d’une complexité qui dépasse les déterminants juridiques et judiciaires, exigeant une approche globale dans la mesure où tous les intervenants assument la responsabilité, a-t-il souligné, ajoutant que le pouvoir judiciaire est conscient de la responsabilité constitutionnelle, juridique et morale, en tant que garantie fondamentale de la protection des droits et des libertés et de la préservation de l’intégrité physique et morale de la société, en particulier les femmes et les enfants. M. Fares a également noté que cette responsabilité n’aboutira pas qu’à travers la mise en œuvre d’un plan stratégique bien planifié, ouvrant toutes les voies à un dialogue sérieux et une action commune avec les différentes autorités et les composantes sociétales, tout en assurant la mise en place de tous les mécanismes juridiques, financiers, humains et organisationnels nécessaires.
A cette occasion, il a salué les efforts importants déployés par les magistrats de la Cour de cassation et les magistrats de la juridiction de la famille dans tous les tribunaux du Royaume, en dépit des contraintes et des difficultés qui se posent.
Et d’ajouter que cette rencontre constitue une occasion pour mettre en exergue les efforts consentis par le pouvoir judiciaire et les différentes parties prenantes en vue de pallier les déficiences pour traiter les aspects de la violence à l’égard des femmes et des enfants.
Cette conférence scientifique, marquée par la présence d’une pléiade de chercheurs, militants des droits de l’Homme, magistrats, universitaires et acteurs de la société civile s’est articulée autour de la stratégie de lutte contre les formes de violence à l’encontre de la femme et l’enfant, la protection juridique de la femme et de l’enfant à la lumière de la loi de lutte contre la traite des êtres humains et les garanties juridiques et institutionnelles pour la protection des femmes et des enfants contre la violence.
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