Pourquoi les médias ont peur de Robert F. #Kennedy Jr !?
Publié le 02/09/2023
President John F Kennedy with Robert F. Kennedy.
Aujourd'hui, 24 octobre 2020, il y a de nombreux rassemblements dans le monde entier. Les militants de ces pays s'unissent pour parler d'une même voix : Allemagne, Argentine, Bolivie, Pérou ...
TRES BONNE NOUVELLE ! Arrêt de la Cour suprême des USA. Presque personne n'a remarqué que Robert F. Kennedy jr. a gagné le procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques. Les vaccins Covid ...
L’évitement des conspirations sur l’assassinat du président John F. Kennedy
La semaine dernière, le New York Times a publié en première page un article tapageur s’en prenant à Robert F. Kennedy Jr., le rejeton de la famille politique la plus célèbre des États-Unis qui est également l’outsider défiant le président Joseph Biden dans la course à l’investiture Démocrate pour les élections présidentielles de 2024. Dernièrement, la campagne menée par Kennedy, mue d’un élan jusqu’alors surprenant, avait trébuché après que le candidat novice avait prononcé des propos imprudents, au cours d’un dîner privé, au sujet du biais ethnique des vulnérabilités induites par le virus du Covid, et qu’une vidéo montrant ces propos avait été diffusée frénétiquement sur les médias.
TRES BONNE NOUVELLE ! Arrêt de la Cour suprême des USA. Presque personne n'a remarqué que Robert F. Kennedy jr. a gagné le procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques. Les vaccins Covid ...
L’évitement des conspirations sur l’assassinat du président John F. Kennedy
La semaine dernière, le New York Times a publié en première page un article tapageur s’en prenant à Robert F. Kennedy Jr., le rejeton de la famille politique la plus célèbre des États-Unis qui est également l’outsider défiant le président Joseph Biden dans la course à l’investiture Démocrate pour les élections présidentielles de 2024. Dernièrement, la campagne menée par Kennedy, mue d’un élan jusqu’alors surprenant, avait trébuché après que le candidat novice avait prononcé des propos imprudents, au cours d’un dîner privé, au sujet du biais ethnique des vulnérabilités induites par le virus du Covid, et qu’une vidéo montrant ces propos avait été diffusée frénétiquement sur les médias.
Le Times et les autres médias dominants se montrent extrêmement hostiles au courant lancé par Kennedy, et les rédactions de ces médias ont pu espérer que ce tir de barrage aurait pu enrayer l’émergence de sa campagne.
Angoisse dans le fief : la campagne de Kennedy vient troubler une illustre famille politique.
Angoisse dans le fief : la campagne de Kennedy vient troubler une illustre famille politique.
Peter Baker — The New York Times — 6 août 2023
Il est peu probable que le contenu de cet article, signé par Peter Baker, le principal correspondant à la Maison-Blanche pour ce journal, ait appris quoi que ce soit de bien neuf à ses lecteurs, que ceux-ci soient des soutiens ou des opposants à Kennedy. Le début de l’article énonce que Kennedy “est devenu une source de profonde angoisse parmi ses nombreux frères et sœurs, cousins, nièces et neveux.” Le candidat est présenté comme un ancien toxicomane, mis à la porte des écoles privées qu’il a fréquentées, marié à trois reprises, et dont la seconde épouse s’est suicidée. En revanche, on ne trouve dans cet article que fort peu de commentaires sur les grandes réussites de sa longue et brillante carrière de procureur dans le domaine de l’environnement.
L’article se concentre principalement sur les relations à vif entre Kennedy et sa grande famille, constituée uniquement de Démocrates purs et durs, perplexes et attristés par son comportement étrange et auto-destructeur. L’article est perclus de citations négatives au sujet de ses opinions — “déplorables et fausses” selon sa sœur Kerry Kennedy, qualifiées de “moralement et factuellement fausses” par son frère Joseph P. Kennedy II, cependant que son neveu Joseph P. Kennedy III twittait “Je réprouve sans équivoque ce qu’il a dit.” L’article démarre sur une dénonciation prononcée par le seul petit-fils du président John F. Kennedy, affirmant que son cousin “à l’esprit conspirationniste” “ternissait l’héritage de son grand-père et de son illustre famille” du fait de son “projet orgueilleux”. J’ai compté dans cet article pas moins de 13 citations provenant de différents membres de la famille Kennedy, et la quasi-totalité de ces citations relevaient de la même veine peu flatteuse.
La tonalité générale de l’article est implacablement négative, et vise clairement à présenter le candidat démocrate non-aligné comme entretenant des opinions étranges, voire comme une personnalité déstabilisée, et certainement pas comme un personnage digne d’assurer un avenir à la nation des États-Unis. Il est plausible que des sbires très bien payés par le Parti démocrate ont passé soigneusement en revue chaque mot prononcé ou écrit par les divers membres de la famille Kennedy au cours de la décennie passée, pour en retirer les extraits les plus savamment choisis, ensuite publiés par les nombreux alliés médiatiques du Parti démocrate, dont le Times.
On peut donc supposer sans crainte de se tromper que chaque faux pas commis par Kennedy, et que la moindre tâche de boue le concernant, auront désormais été étalés dans la presse, et cela peut nous amener à entrevoir du sens derrière tout silence le concernant. J’ai donc lu l’article du Times avec attention, en me concentrant davantage sur ce qu’il omet étrangement de présenter, plutôt que sur les éléments qu’il présente.
Au fil des années, Kennedy a répété publiquement à de nombreuses reprises que son père comme son oncle étaient morts du fait d’un complot, et a désigné la CIA comme le coupable le plus plausible. Il est probable que plusieurs millions d’Étasuniens ont pu lire ses écrits ou écouter une de ses interviews à ce sujet, ce qui le positionne parmi la frange la plus explicite des “théoriciens du complot”, un terme fortement péjoratif que les médias s’emploient systématiquement à affubler à l’image des candidats politiques qui ne leur plaisent pas.
Mais à la lecture de l’intégralité des 2600 mots de cet article, on constate qu’il se concentre surtout sur les sujets concernant la famille Kennedy, et qu’il ne fait mention de ces assassinats qu’au travers d’une seule phrase lapidaire. Pourquoi le Times a-t-il presque complètement éludé une cible aussi facile, alors que celle-ci devrait au premier abord soutenir la thèse d’un Kennedy entretenant des opinions bizarres et irrationnelles ? Je pense que la meilleure explication est que les rédacteurs du Times savent parfaitement que les faits énoncés par Kennedy sur ce sujet sont très solides, et que s’attaquer à lui sur ce terrain ne ferait qu’amplifier largement leur diffusion, ce qui pourrait amener des millions d’autres Étasuniens à conclure que leurs propres médias les ont trompés depuis soixante ans, comme l’a précisément twitté Kennedy lui-même l’an passé :
Le reportage télévisé le plus courageux des soixante dernières années.
Il est peu probable que le contenu de cet article, signé par Peter Baker, le principal correspondant à la Maison-Blanche pour ce journal, ait appris quoi que ce soit de bien neuf à ses lecteurs, que ceux-ci soient des soutiens ou des opposants à Kennedy. Le début de l’article énonce que Kennedy “est devenu une source de profonde angoisse parmi ses nombreux frères et sœurs, cousins, nièces et neveux.” Le candidat est présenté comme un ancien toxicomane, mis à la porte des écoles privées qu’il a fréquentées, marié à trois reprises, et dont la seconde épouse s’est suicidée. En revanche, on ne trouve dans cet article que fort peu de commentaires sur les grandes réussites de sa longue et brillante carrière de procureur dans le domaine de l’environnement.
L’article se concentre principalement sur les relations à vif entre Kennedy et sa grande famille, constituée uniquement de Démocrates purs et durs, perplexes et attristés par son comportement étrange et auto-destructeur. L’article est perclus de citations négatives au sujet de ses opinions — “déplorables et fausses” selon sa sœur Kerry Kennedy, qualifiées de “moralement et factuellement fausses” par son frère Joseph P. Kennedy II, cependant que son neveu Joseph P. Kennedy III twittait “Je réprouve sans équivoque ce qu’il a dit.” L’article démarre sur une dénonciation prononcée par le seul petit-fils du président John F. Kennedy, affirmant que son cousin “à l’esprit conspirationniste” “ternissait l’héritage de son grand-père et de son illustre famille” du fait de son “projet orgueilleux”. J’ai compté dans cet article pas moins de 13 citations provenant de différents membres de la famille Kennedy, et la quasi-totalité de ces citations relevaient de la même veine peu flatteuse.
La tonalité générale de l’article est implacablement négative, et vise clairement à présenter le candidat démocrate non-aligné comme entretenant des opinions étranges, voire comme une personnalité déstabilisée, et certainement pas comme un personnage digne d’assurer un avenir à la nation des États-Unis. Il est plausible que des sbires très bien payés par le Parti démocrate ont passé soigneusement en revue chaque mot prononcé ou écrit par les divers membres de la famille Kennedy au cours de la décennie passée, pour en retirer les extraits les plus savamment choisis, ensuite publiés par les nombreux alliés médiatiques du Parti démocrate, dont le Times.
On peut donc supposer sans crainte de se tromper que chaque faux pas commis par Kennedy, et que la moindre tâche de boue le concernant, auront désormais été étalés dans la presse, et cela peut nous amener à entrevoir du sens derrière tout silence le concernant. J’ai donc lu l’article du Times avec attention, en me concentrant davantage sur ce qu’il omet étrangement de présenter, plutôt que sur les éléments qu’il présente.
Au fil des années, Kennedy a répété publiquement à de nombreuses reprises que son père comme son oncle étaient morts du fait d’un complot, et a désigné la CIA comme le coupable le plus plausible. Il est probable que plusieurs millions d’Étasuniens ont pu lire ses écrits ou écouter une de ses interviews à ce sujet, ce qui le positionne parmi la frange la plus explicite des “théoriciens du complot”, un terme fortement péjoratif que les médias s’emploient systématiquement à affubler à l’image des candidats politiques qui ne leur plaisent pas.
Mais à la lecture de l’intégralité des 2600 mots de cet article, on constate qu’il se concentre surtout sur les sujets concernant la famille Kennedy, et qu’il ne fait mention de ces assassinats qu’au travers d’une seule phrase lapidaire. Pourquoi le Times a-t-il presque complètement éludé une cible aussi facile, alors que celle-ci devrait au premier abord soutenir la thèse d’un Kennedy entretenant des opinions bizarres et irrationnelles ? Je pense que la meilleure explication est que les rédacteurs du Times savent parfaitement que les faits énoncés par Kennedy sur ce sujet sont très solides, et que s’attaquer à lui sur ce terrain ne ferait qu’amplifier largement leur diffusion, ce qui pourrait amener des millions d’autres Étasuniens à conclure que leurs propres médias les ont trompés depuis soixante ans, comme l’a précisément twitté Kennedy lui-même l’an passé :
Le reportage télévisé le plus courageux des soixante dernières années.
Le meurtre de mon oncle par la CIA a constitué un coup d’État réussi, dont notre démocratie ne s’est jamais remise. @TuckerCarlson https://t.co/qJ1sUdhe4t
— Robert F. Kennedy Jr (@RobertKennedyJr) 17 décembre 2022
Un an avant de publier ce tweet, Kennedy avait fait paraître un long article dans le San Francisco Chronicle, présentant les faits incontestables au sujet de l’assassinat de son propre père, et si ces faits devaient parvenir à l’attention du grand public dans son ensemble, ce seraient des décennies de mensonges médiatiques qui pourraient commencer à se voir exposés au grand jour.
Ce n’est pas Sirhan Sirhan qui a tué mon père. Le gouverneur Newsom devrait libérer cet homme
Robert F. Kennedy Jr. — The San Francisco Chronicle — 8 décembre 2021 — 1000 mots
Prenons pour exemple Bill Maher, le célèbre commentateur libéral, une personnalité qui ne se classerait certainement pas comme “théoricien du complot”. Lorsqu’il a accordé une interview à Kennedy il y a quelques semaines, et que Kennedy a fait mention d’éléments de preuves factuels au sujet de l’assassinat de son père en 1968, il s’est immédiatement déclaré comme tout à fait convaincu que Kennedy avait raison à ce sujet, et sur l’existence d’une conspiration derrière cet assassinat.
En outre, l’angle particulier choisi par le Times pour cet article aurait positionné le journal sur un terrain glissant. Avec treize différents membres de la famille Kennedy mentionnés ou cités dans cet article, toute discussion sérieuse sur les assassinats des années 1960 aurait pu révéler qu’un nombre important, voire la majorité des proches de Kennedy sont totalement d’accord sur l’existence d’une conspiration, ce qui aurait produit une grosse distorsion dans le processus d’entrave à la vérité maintenu depuis des décennies par ce journal. Si le peuple étasunien devait découvrir que l’ensemble de la famille Kennedy était composée de “théoriciens du complot sur l’assassinat de Kennedy”, peut-être que des dizaines de millions de consciences se seraient éveillées.
Prenons un autre article publié quelques mois auparavant par Michelle Goldberg, éditorialiste du Times, qui s’était inscrit au sein d’un gros barrage médiatique d’attaques et d’insultes contre les théories conspirationnistes de Kennedy et de ses soutiens. Bien qu’elle ait intégré les opinions de Kennedy sur les assassinats comme un élément de son irrationalité, elle n’a pas pu éviter de faire mention que David Talbot, le fondateur du webzine Salon, qui fut son chef et qui reste un journaliste très en vue sur le plan national, est pleinement d’accord avec Kennedy au sujet de ces faits historiques.
De fait, je considère que Brothers, le best-seller national de l’année 2005 produit par Talbot, est sans doute l’ouvrage le plus important au sujet de l’assassinat de Kennedy au cours des vingt dernières années, car il révèle que nombre de personnalités proches du haut du panier du gouvernement étasunien — et parmi lesquelles on compte la plupart de la famille Kennedy — avait presque immédiatement conclu que le 35ème président des États-Unis était mort des suites d’un complot. Un historien très en vue avait produit des éloges somptuaires sur les recherches menées par Talbot précisément dans le journal Times, et avait suggéré que l’existence d’une conspiration constituait un fait évident. Mais les rédacteurs des pages d’information du Times n’en avaient pas moins continué de détourner les yeux de ce fait, ce qui a pu amener leurs collègues moins expérimentés, parmi lesquels figure Goldberg, à rester parfaitement ignorants vis-à-vis de ces éléments de l’histoire nationale étasunienne.
Trou noir absolu au sujet du déni professé par Kennedy sur le SIDA
Lorsque des journalistes hostiles s’emploient à détruire un candidat, ils dirigent naturellement leur feu vers les points qu’ils considèrent comme les plus vulnérables, et font tout leur possible pour éluder ses plus grandes forces. Un candidat voulant mener campagne de manière astucieuse pourrait faire usage de ces biais dans sa feuille de route, car cela permet de produire le négatif photographique des sujets qu’il doit mettre en avant dans sa campagne. Aussi, si le Times et les autres organes médiatiques visent à éluder les conspirations sur l’assassinat de Kennedy, peut-être que ce sujet est précisément le bon à mettre en avant.
Mais il existe un autre sujet incendiaire sur lequel le silence qui entoure les positions de Kennedy a été beaucoup plus assourdissant, tant dans les médias dominants qu’au sein des médias alternatifs, au point que seule une toute petite fraction de la population étasunienne dispose de la moindre conscience des opinions entretenues par Kennedy à ce sujet. Sur la base de ses écrits extraordinairement controversés, le candidat Kennedy devrait apparaître comme incroyablement vulnérable, au point qu’une couverture de presse sur ce sujet devrait immédiatement détruire sa campagne et sa réputation. Pourtant, pas une seule publication hostile n’a jamais été vue sur ces faits, ce qui suggère que la situation véritable est en réalité fort différente de ce qu’elle apparaît. Peut-être que ce silence absolu induit que le Times et les autres organes médiatiques ont peur de ce sujet, de crainte qu’il puisse détruire l’ensemble de leur position dominante si ces faits sortaient au grand jour et que Kennedy s’avérait avoir raison.
Jusqu’à la fin de l’année 2021, je ne connaissais guère Kennedy ; j’avais vaguement entendu dire qu’il était devenu l’une des personnalités en vue dans la montée du mouvement anti-vaccination. Mes propres opinions sur les vaccins avaient toujours été des plus conventionnelles, guère différentes de celles promulguées par le Times, mais j’avais résolu de lire son nouveau livre pour accéder à son opinion sur cette facette du récit.
Quelle ne fut ma stupeur de découvrir que le sujet principal de son ouvrage était totalement différent de ce que j’avais été enclin à penser. Kennedy avait consacré presque la moitié de son livre — plus de 200 pages — à promouvoir la théorie selon laquelle le SIDA n’existait pas en tant que véritable maladie, et n’était qu’un montage médical frauduleux monté par le Dr. Anthony Faucy et ses alliés cupides de l’industrie pharmaceutique. Mais aucun des commentaires parus au sujet de son livre, fussent-ils positives ou critiques, n’y faisait jamais allusion. De fait, lorsque j’ai relaté le véritable sujet du livre de Kennedy à différentes personnes, celles-ci ont presque semblé penser que j’entretenais des hallucinations, en raison du fait que j’étais le seul à faire mention d’un sujet aussi frappant dans mes commentaires.
Le livre de Kennedy est rapidement devenu un best-seller d’Amazon, et il s’est rapidement vu opposer des attaques médiatiques extrêmement dures, avec notablement un article de 4000 mots produit par une vaste équipe de journalistes d’Associated Press. Mais comme je l’ai noté, bien qu’ils le dénoncent sur tous les autres sujets, aucun d’entre eux n’a jamais fait la moindre mention de ses affirmations explosives au sujet du SIDA.
Des efforts très importants avaient d’évidence été investis dans cette attaque, et la signature de l’article était partagée non seulement entre l’auteur de l’article en propre, mais également par cinq autres auteurs et chercheurs d’Associated Press, ce qui souligne l’ampleur des moyens journalistiques consacrés à détruire la réputation d’une personnalité qui s’était d’évidence fait des ennemis aussi puissants. Mais à la lecture de l’article, la phrase qui m’est venue à l’esprit est “the Sounds of Silence”, ou peut-être le célèbre indice de Sherlock Holmes du “chien qui n’avait pas aboyé”.
C’est presque la moitié du livre qui est attaqué — environ 200 pages — qui est consacrée à présenter et promouvoir l’affirmation stupéfiante voulant que tout ce qu’on nous a dit sur le VIH et le SIDA depuis plus de 35 ans relève probablement de l’arnaque.
Selon toutes les normes les plus raisonnables, Robert F. Kennedy, Jr. s’est de lui-même positionné comme le premier des “négationnistes sur le HIV et le SIDA” des États-Unis, et avant l’éclatement de la crise du Covid, le SIDA avait sans doute constitué depuis quarante ans la maladie la plus connue au monde ; les recherches et traitements consacrés à cette maladie ont absorbé quelque 2000 milliards de dollars. Aussi, s’engager à affirmer que cette maladie n’existe pas vraiment devrait apparaître comme relevant de la démence la plus absolue, allant de pair avec la théorie de la Terre plate. Mais pas un seul mot au sujet de cette situation stupéfiante n’apparaît dans le long article d’Associated Press, qui s’emploie pourtant à attaquer Kennedy sur presque tous les autres sujets possibles, de manière justifiée ou non. Est-ce que les six auteurs et chercheurs d’Associated Press ont omis de lire les plus de 200 pages consacrées à ce sujet dans le best-seller de Kennedy ?
Cette grande équipe de journalistes d’Associated Press semble avoir passé au moins dix jours à produire ce long article, qui sape le crédit de Kennedy sur presque tous les sujets controversés qu’ils ont réussi à trouver, allant jusqu’à mettre en lumière une photographie qui l’affiche simplement aux côtés de Roger Stone et Michael Flynn, des alliés de Trump.
Comment un Kennedy a construit un vaisseau amiral anti-vaccin au cœur de la crise Covid-19
Michelle R. Smith et. al. — The Associated Press — 15 décembre 2021 — 4000 mots
J’ai remarqué que le même silence absolu au sujet du SIDA a été maintenu dans le cadre d’une attaque semblable, lancée par le rédacteur en chef de Counterpunch.
Les vaccins, RFK Jr., et la science de la désinformation
Joshua Frank — Counterpunch — 14 janvier 2022 — 1900 mots
Alors que le livre de Kennedy dépassait le million de ventes, et que son influence continuait de croître, ce schéma d’omission se poursuivait donc, et devenait même de plus en plus étrange. À la fin du mois de février 2022, le New York Times a lancé une attaque cinglante en première page, affirmant que l’auteur et son livre nageaient en pleine irrationalité et propageaient de dangereuses fausses informations, mais l’article de 2600 mots ne faisait aucune mention de son sujet principal : le SIDA.
Qui plus est, l’auteur de l’article était Adam Nagourney, journaliste employé de longue date par le Times, identifié comme co-auteur d’une histoire du mouvement moderne pour le droit des homosexuels, et il ne fait aucun doute que l’épidémie de SIDA a dû constituer un point central de ses recherches pour son ouvrage paru en 2001 à ce sujet. Mais il ne fait aucune mention du fait que Kennedy affirme de manière incendiaire que le SIDA constitue une arnaque médiatique, une omission qui suggère possiblement qu’il craint que Kennedy pourrait avoir raison, et qu’il est préférable de maintenir hermétiquement fermées certaines portes.
La croisade lancée par Kennedy contre les vaccins anti-Covid angoisse sa famille et ses amis
Adam Nagourney — The New York Times — 26 février 2022 — 2600 mots
Comme je l’ai noté par la suite, ce silence produit un contraste très suspect vis-à-vis des déluges de feu médiatiques opposés à ceux qui avaient émis des doutes bien plus ténus au sujet du SIDA.
Depuis les années 1980, le SIDA a constitué un sujet explosif dans la sphère publique, et quiconque — scientifique ou néophyte — remettant en question le récit traditionnel à ce sujet se voyait vicieusement dénoncé comme ayant du sang sur les mains. Au début des années 2000, Thabo Mbeki, le président sud-africain, avait prudemment soulevé ce type de possibilité, et il avait été massivement diabolisé par les médias internationaux et la communauté universitaire. Pourtant, le best-seller produit par Kennedy sur ce même sujet va beaucoup plus loin, et consacre sept chapitres entiers à soutenir la cause selon laquelle le VIH et le SIDA ne constituent qu’une arnaque médiatique ; mais ses antagonistes médiatiques éludent totalement le sujet alors qu’ils s’emploient par ailleurs à faire feu de tout bois contre lui.
Une fois de plus, la seule explication plausible est que les journalistes hostiles, et leurs rédactions, ont reconnu que les preuves factuelles avancées par Kennedy étaient trop fortes et que lancer des attaques à ce sujet pourrait s’avérer contre-productif à une échelle désastreuse. Dès les années 1990, un ancien professeur de Harvard avait publiquement déclaré que le canular du SIDA constituait un scandale aussi énorme que la célèbre affaire Lysenko, et si une portion conséquente de l’opinion étasunienne devait conclure que le SIDA a bel et bien constitué un fantôme médical promus au cours des 35 dernières années par nos médias crédules et malhonnêtes, la crédibilité de ces derniers au sujet des vaccinations actuelles pourrait se trouver totalement annihilée.
Il aurait été chose des plus aisées pour les médias d’éclater le crédit de Kennedy, le présentant comme “un théoricien du complot dont le livre affirme que le SIDA est un canular,” et cette simple phrase courte aurait sur-le-champ porté un coup fatal à sa réputation.
— Robert F. Kennedy Jr (@RobertKennedyJr) 17 décembre 2022
Un an avant de publier ce tweet, Kennedy avait fait paraître un long article dans le San Francisco Chronicle, présentant les faits incontestables au sujet de l’assassinat de son propre père, et si ces faits devaient parvenir à l’attention du grand public dans son ensemble, ce seraient des décennies de mensonges médiatiques qui pourraient commencer à se voir exposés au grand jour.
Ce n’est pas Sirhan Sirhan qui a tué mon père. Le gouverneur Newsom devrait libérer cet homme
Robert F. Kennedy Jr. — The San Francisco Chronicle — 8 décembre 2021 — 1000 mots
Prenons pour exemple Bill Maher, le célèbre commentateur libéral, une personnalité qui ne se classerait certainement pas comme “théoricien du complot”. Lorsqu’il a accordé une interview à Kennedy il y a quelques semaines, et que Kennedy a fait mention d’éléments de preuves factuels au sujet de l’assassinat de son père en 1968, il s’est immédiatement déclaré comme tout à fait convaincu que Kennedy avait raison à ce sujet, et sur l’existence d’une conspiration derrière cet assassinat.
En outre, l’angle particulier choisi par le Times pour cet article aurait positionné le journal sur un terrain glissant. Avec treize différents membres de la famille Kennedy mentionnés ou cités dans cet article, toute discussion sérieuse sur les assassinats des années 1960 aurait pu révéler qu’un nombre important, voire la majorité des proches de Kennedy sont totalement d’accord sur l’existence d’une conspiration, ce qui aurait produit une grosse distorsion dans le processus d’entrave à la vérité maintenu depuis des décennies par ce journal. Si le peuple étasunien devait découvrir que l’ensemble de la famille Kennedy était composée de “théoriciens du complot sur l’assassinat de Kennedy”, peut-être que des dizaines de millions de consciences se seraient éveillées.
Prenons un autre article publié quelques mois auparavant par Michelle Goldberg, éditorialiste du Times, qui s’était inscrit au sein d’un gros barrage médiatique d’attaques et d’insultes contre les théories conspirationnistes de Kennedy et de ses soutiens. Bien qu’elle ait intégré les opinions de Kennedy sur les assassinats comme un élément de son irrationalité, elle n’a pas pu éviter de faire mention que David Talbot, le fondateur du webzine Salon, qui fut son chef et qui reste un journaliste très en vue sur le plan national, est pleinement d’accord avec Kennedy au sujet de ces faits historiques.
De fait, je considère que Brothers, le best-seller national de l’année 2005 produit par Talbot, est sans doute l’ouvrage le plus important au sujet de l’assassinat de Kennedy au cours des vingt dernières années, car il révèle que nombre de personnalités proches du haut du panier du gouvernement étasunien — et parmi lesquelles on compte la plupart de la famille Kennedy — avait presque immédiatement conclu que le 35ème président des États-Unis était mort des suites d’un complot. Un historien très en vue avait produit des éloges somptuaires sur les recherches menées par Talbot précisément dans le journal Times, et avait suggéré que l’existence d’une conspiration constituait un fait évident. Mais les rédacteurs des pages d’information du Times n’en avaient pas moins continué de détourner les yeux de ce fait, ce qui a pu amener leurs collègues moins expérimentés, parmi lesquels figure Goldberg, à rester parfaitement ignorants vis-à-vis de ces éléments de l’histoire nationale étasunienne.
Trou noir absolu au sujet du déni professé par Kennedy sur le SIDA
Lorsque des journalistes hostiles s’emploient à détruire un candidat, ils dirigent naturellement leur feu vers les points qu’ils considèrent comme les plus vulnérables, et font tout leur possible pour éluder ses plus grandes forces. Un candidat voulant mener campagne de manière astucieuse pourrait faire usage de ces biais dans sa feuille de route, car cela permet de produire le négatif photographique des sujets qu’il doit mettre en avant dans sa campagne. Aussi, si le Times et les autres organes médiatiques visent à éluder les conspirations sur l’assassinat de Kennedy, peut-être que ce sujet est précisément le bon à mettre en avant.
Mais il existe un autre sujet incendiaire sur lequel le silence qui entoure les positions de Kennedy a été beaucoup plus assourdissant, tant dans les médias dominants qu’au sein des médias alternatifs, au point que seule une toute petite fraction de la population étasunienne dispose de la moindre conscience des opinions entretenues par Kennedy à ce sujet. Sur la base de ses écrits extraordinairement controversés, le candidat Kennedy devrait apparaître comme incroyablement vulnérable, au point qu’une couverture de presse sur ce sujet devrait immédiatement détruire sa campagne et sa réputation. Pourtant, pas une seule publication hostile n’a jamais été vue sur ces faits, ce qui suggère que la situation véritable est en réalité fort différente de ce qu’elle apparaît. Peut-être que ce silence absolu induit que le Times et les autres organes médiatiques ont peur de ce sujet, de crainte qu’il puisse détruire l’ensemble de leur position dominante si ces faits sortaient au grand jour et que Kennedy s’avérait avoir raison.
Jusqu’à la fin de l’année 2021, je ne connaissais guère Kennedy ; j’avais vaguement entendu dire qu’il était devenu l’une des personnalités en vue dans la montée du mouvement anti-vaccination. Mes propres opinions sur les vaccins avaient toujours été des plus conventionnelles, guère différentes de celles promulguées par le Times, mais j’avais résolu de lire son nouveau livre pour accéder à son opinion sur cette facette du récit.
Quelle ne fut ma stupeur de découvrir que le sujet principal de son ouvrage était totalement différent de ce que j’avais été enclin à penser. Kennedy avait consacré presque la moitié de son livre — plus de 200 pages — à promouvoir la théorie selon laquelle le SIDA n’existait pas en tant que véritable maladie, et n’était qu’un montage médical frauduleux monté par le Dr. Anthony Faucy et ses alliés cupides de l’industrie pharmaceutique. Mais aucun des commentaires parus au sujet de son livre, fussent-ils positives ou critiques, n’y faisait jamais allusion. De fait, lorsque j’ai relaté le véritable sujet du livre de Kennedy à différentes personnes, celles-ci ont presque semblé penser que j’entretenais des hallucinations, en raison du fait que j’étais le seul à faire mention d’un sujet aussi frappant dans mes commentaires.
Le livre de Kennedy est rapidement devenu un best-seller d’Amazon, et il s’est rapidement vu opposer des attaques médiatiques extrêmement dures, avec notablement un article de 4000 mots produit par une vaste équipe de journalistes d’Associated Press. Mais comme je l’ai noté, bien qu’ils le dénoncent sur tous les autres sujets, aucun d’entre eux n’a jamais fait la moindre mention de ses affirmations explosives au sujet du SIDA.
Des efforts très importants avaient d’évidence été investis dans cette attaque, et la signature de l’article était partagée non seulement entre l’auteur de l’article en propre, mais également par cinq autres auteurs et chercheurs d’Associated Press, ce qui souligne l’ampleur des moyens journalistiques consacrés à détruire la réputation d’une personnalité qui s’était d’évidence fait des ennemis aussi puissants. Mais à la lecture de l’article, la phrase qui m’est venue à l’esprit est “the Sounds of Silence”, ou peut-être le célèbre indice de Sherlock Holmes du “chien qui n’avait pas aboyé”.
C’est presque la moitié du livre qui est attaqué — environ 200 pages — qui est consacrée à présenter et promouvoir l’affirmation stupéfiante voulant que tout ce qu’on nous a dit sur le VIH et le SIDA depuis plus de 35 ans relève probablement de l’arnaque.
Selon toutes les normes les plus raisonnables, Robert F. Kennedy, Jr. s’est de lui-même positionné comme le premier des “négationnistes sur le HIV et le SIDA” des États-Unis, et avant l’éclatement de la crise du Covid, le SIDA avait sans doute constitué depuis quarante ans la maladie la plus connue au monde ; les recherches et traitements consacrés à cette maladie ont absorbé quelque 2000 milliards de dollars. Aussi, s’engager à affirmer que cette maladie n’existe pas vraiment devrait apparaître comme relevant de la démence la plus absolue, allant de pair avec la théorie de la Terre plate. Mais pas un seul mot au sujet de cette situation stupéfiante n’apparaît dans le long article d’Associated Press, qui s’emploie pourtant à attaquer Kennedy sur presque tous les autres sujets possibles, de manière justifiée ou non. Est-ce que les six auteurs et chercheurs d’Associated Press ont omis de lire les plus de 200 pages consacrées à ce sujet dans le best-seller de Kennedy ?
Cette grande équipe de journalistes d’Associated Press semble avoir passé au moins dix jours à produire ce long article, qui sape le crédit de Kennedy sur presque tous les sujets controversés qu’ils ont réussi à trouver, allant jusqu’à mettre en lumière une photographie qui l’affiche simplement aux côtés de Roger Stone et Michael Flynn, des alliés de Trump.
Comment un Kennedy a construit un vaisseau amiral anti-vaccin au cœur de la crise Covid-19
Michelle R. Smith et. al. — The Associated Press — 15 décembre 2021 — 4000 mots
J’ai remarqué que le même silence absolu au sujet du SIDA a été maintenu dans le cadre d’une attaque semblable, lancée par le rédacteur en chef de Counterpunch.
Les vaccins, RFK Jr., et la science de la désinformation
Joshua Frank — Counterpunch — 14 janvier 2022 — 1900 mots
Alors que le livre de Kennedy dépassait le million de ventes, et que son influence continuait de croître, ce schéma d’omission se poursuivait donc, et devenait même de plus en plus étrange. À la fin du mois de février 2022, le New York Times a lancé une attaque cinglante en première page, affirmant que l’auteur et son livre nageaient en pleine irrationalité et propageaient de dangereuses fausses informations, mais l’article de 2600 mots ne faisait aucune mention de son sujet principal : le SIDA.
Qui plus est, l’auteur de l’article était Adam Nagourney, journaliste employé de longue date par le Times, identifié comme co-auteur d’une histoire du mouvement moderne pour le droit des homosexuels, et il ne fait aucun doute que l’épidémie de SIDA a dû constituer un point central de ses recherches pour son ouvrage paru en 2001 à ce sujet. Mais il ne fait aucune mention du fait que Kennedy affirme de manière incendiaire que le SIDA constitue une arnaque médiatique, une omission qui suggère possiblement qu’il craint que Kennedy pourrait avoir raison, et qu’il est préférable de maintenir hermétiquement fermées certaines portes.
La croisade lancée par Kennedy contre les vaccins anti-Covid angoisse sa famille et ses amis
Adam Nagourney — The New York Times — 26 février 2022 — 2600 mots
Comme je l’ai noté par la suite, ce silence produit un contraste très suspect vis-à-vis des déluges de feu médiatiques opposés à ceux qui avaient émis des doutes bien plus ténus au sujet du SIDA.
Depuis les années 1980, le SIDA a constitué un sujet explosif dans la sphère publique, et quiconque — scientifique ou néophyte — remettant en question le récit traditionnel à ce sujet se voyait vicieusement dénoncé comme ayant du sang sur les mains. Au début des années 2000, Thabo Mbeki, le président sud-africain, avait prudemment soulevé ce type de possibilité, et il avait été massivement diabolisé par les médias internationaux et la communauté universitaire. Pourtant, le best-seller produit par Kennedy sur ce même sujet va beaucoup plus loin, et consacre sept chapitres entiers à soutenir la cause selon laquelle le VIH et le SIDA ne constituent qu’une arnaque médiatique ; mais ses antagonistes médiatiques éludent totalement le sujet alors qu’ils s’emploient par ailleurs à faire feu de tout bois contre lui.
Une fois de plus, la seule explication plausible est que les journalistes hostiles, et leurs rédactions, ont reconnu que les preuves factuelles avancées par Kennedy étaient trop fortes et que lancer des attaques à ce sujet pourrait s’avérer contre-productif à une échelle désastreuse. Dès les années 1990, un ancien professeur de Harvard avait publiquement déclaré que le canular du SIDA constituait un scandale aussi énorme que la célèbre affaire Lysenko, et si une portion conséquente de l’opinion étasunienne devait conclure que le SIDA a bel et bien constitué un fantôme médical promus au cours des 35 dernières années par nos médias crédules et malhonnêtes, la crédibilité de ces derniers au sujet des vaccinations actuelles pourrait se trouver totalement annihilée.
Il aurait été chose des plus aisées pour les médias d’éclater le crédit de Kennedy, le présentant comme “un théoricien du complot dont le livre affirme que le SIDA est un canular,” et cette simple phrase courte aurait sur-le-champ porté un coup fatal à sa réputation.
Mais de nombreuses personnes auraient alors commencé à s’intéresser aux faits, et une fois ce processus entamé, la situation aurait peut-être pu s’inverser rapidement, et détruire la crédibilité de ceux qui le critiquent. Le silence absolu maintenu par les médias suggère qu’ils ont très peur de cette possibilité.
Comprendre l’amère controverse autour du VIH et du SIDA
Après avoir lu l’ouvrage de Kennedy en décembre 2021, j’avais publié une longue et favorable revue à son sujet, qui avait attiré l’attention de nombreux lecteurs et qui reprenait pleinement ses affirmations hérétiques au sujet du SIDA, ce qui avait contribué à les porter dans le débat public. Les sites internet alliés à Kennedy se sont mis à mettre mon article en avant, si bien qu’il apparaît peu probable que ses adversaires médiatiques aient pu rester non-informés du sujet après cela.
Comme les médias nous l’ont tous fait savoir, le SIDA est une maladie auto-immune mortelle, diagnostiquée pour la première fois au début des années 1980, affectant en premier chef les hommes homosexuels et les consommateurs de drogues par voie intraveineuse. La maladie, transmise par les fluides corporels, se transmet le plus souvent par rapports sexuels, transfusions sanguines, ou réutilisation d’aiguilles, et le VIH, virus responsable de la maladie, fut finalement découvert en 1984. Au fil des années, divers traitements médicaux ont été développés, dont la plupart se sont révélés inefficaces au départ, mais plus récemment, ils fonctionnent tellement bien qu’une personne séropositive, jadis condamnée à mort, ne subit plus désormais qu’une affection chronique mais contrôlable. La page Wikipedia actuelle décrivant le VIH et le SIDA compte plus de 200000 mots, et plus de 300 références.
Pourtant, selon les informations livrées par le bestseller numéro 1 d’Amazon écrit par Kennedy, cette image bien connue et solidement établie, que je n’avais pour ma part jamais remise en question, est presque entièrement fausse et frauduleuse, et relève pour l’essentiel du canular médical. Loin d’être responsable du SIDA, le virus VIH est probablement bénin et n’a rien à voir avec la maladie.
Comprendre l’amère controverse autour du VIH et du SIDA
Après avoir lu l’ouvrage de Kennedy en décembre 2021, j’avais publié une longue et favorable revue à son sujet, qui avait attiré l’attention de nombreux lecteurs et qui reprenait pleinement ses affirmations hérétiques au sujet du SIDA, ce qui avait contribué à les porter dans le débat public. Les sites internet alliés à Kennedy se sont mis à mettre mon article en avant, si bien qu’il apparaît peu probable que ses adversaires médiatiques aient pu rester non-informés du sujet après cela.
Comme les médias nous l’ont tous fait savoir, le SIDA est une maladie auto-immune mortelle, diagnostiquée pour la première fois au début des années 1980, affectant en premier chef les hommes homosexuels et les consommateurs de drogues par voie intraveineuse. La maladie, transmise par les fluides corporels, se transmet le plus souvent par rapports sexuels, transfusions sanguines, ou réutilisation d’aiguilles, et le VIH, virus responsable de la maladie, fut finalement découvert en 1984. Au fil des années, divers traitements médicaux ont été développés, dont la plupart se sont révélés inefficaces au départ, mais plus récemment, ils fonctionnent tellement bien qu’une personne séropositive, jadis condamnée à mort, ne subit plus désormais qu’une affection chronique mais contrôlable. La page Wikipedia actuelle décrivant le VIH et le SIDA compte plus de 200000 mots, et plus de 300 références.
Pourtant, selon les informations livrées par le bestseller numéro 1 d’Amazon écrit par Kennedy, cette image bien connue et solidement établie, que je n’avais pour ma part jamais remise en question, est presque entièrement fausse et frauduleuse, et relève pour l’essentiel du canular médical. Loin d’être responsable du SIDA, le virus VIH est probablement bénin et n’a rien à voir avec la maladie.
Mais après que l’on a trouvé des personnes infectées par le HIV, on leur a administré les premiers traitements anti-SIDA extrêmement lucratifs, qui étaient en réalité mortels, et ont tué nombre de ces personnes. Les premiers cas de SIDA avaient pour la plupart été provoqués par une utilisation très importante de certaines drogues interdites, et l’on avait commis une erreur de diagnostic en imputant la maladie au virus VIH. Mais comme Fauci et les entreprises pharmaceutiques avaient rapidement établi d’énormes empires sur la base de ce faux diagnostic, ils se sont battus bec et ongles durant plus de 35 ans pour maintenir cette erreur et la protéger, et ont fait usage de toute leur influence pour supprimer la vérité dans les médias tout en détruisant les carrières de tout chercheur honnête osant remettre en cause leur opération frauduleuse.
Dans le même temps, le SIDA constaté en Afrique était une chose tout à fait différente, sans doute provoquée par la malnutrition ou d’autres pathologies locales.
● La description ainsi livrée par Kennedy m’a davantage choqué que toute autre chose que j’aie jamais lue.
….
En 1985, on a découvert par des tests réalisés en laboratoire que l’AZT, un médicament qui existait déjà, tuait le virus VIH. Fauci a alors fait des pieds et des mains pour accélérer les essais cliniques comme traitement pour les personnes positives au VIH et en bonne santé, et l’accord de la FDA est tombé en 1987, ce qui a produit le premier moment de triomphe de Fauci. Vendu au prix de 10 000$ par an et par patient, l’AZT a été l’un des médicaments les plus chers de l’histoire, et comme les assurances maladies et les subsides gouvernementaux en couvraient le prix, les fabricants y ont trouvé une aubaine financière sans précédent.
Kennedy consacre un chapitre entier à l’histoire de l’AZT, et le récit qu’il en fait fait penser au style de Kafka ou peut-être à un film des Monty Python. Apparemment,
● La description ainsi livrée par Kennedy m’a davantage choqué que toute autre chose que j’aie jamais lue.
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En 1985, on a découvert par des tests réalisés en laboratoire que l’AZT, un médicament qui existait déjà, tuait le virus VIH. Fauci a alors fait des pieds et des mains pour accélérer les essais cliniques comme traitement pour les personnes positives au VIH et en bonne santé, et l’accord de la FDA est tombé en 1987, ce qui a produit le premier moment de triomphe de Fauci. Vendu au prix de 10 000$ par an et par patient, l’AZT a été l’un des médicaments les plus chers de l’histoire, et comme les assurances maladies et les subsides gouvernementaux en couvraient le prix, les fabricants y ont trouvé une aubaine financière sans précédent.
Kennedy consacre un chapitre entier à l’histoire de l’AZT, et le récit qu’il en fait fait penser au style de Kafka ou peut-être à un film des Monty Python. Apparemment,
Fauci avait subi des pressions considérables pour produire des avancées médicales justifiant ses vastes budgets, si bien qu’il aurait manipulé les tests menés sur les essais de l’AZT pour dissimuler la nature extrêmement toxique de ce traitement, qui tua rapidement nombre de patients qui en prenaient au travers de symptômes qui ont été décrits comme ceux du SIDA.
Ainsi, après l’approbation par la FDA en 1987, des centaines de milliers de personnes en parfaitement bonne santé, auxquelles on découvrit une infection au VIH, furent mises sous traitement à l’AZT, et l’on a attribué à tort les grands nombres de décès qui s’en sont suivis au virus, alors que c’était le médicament anti-viral qui en aurait été responsable.
Selon les experts scientifiques cités dans le livre, la vaste majorité des “morts du SIDA” d’après 1987 ont été en réalité tués par l’AZT.
…..
Jusqu’à l’épidémie de Covid, le SIDA a été considéré durant quarante années comme la maladie la plus connue au monde, ; les recherches et traitements consacrés à cette maladie ont absorbé quelque 2000 milliards de dollars et sont devenus le sujet central de recherche pour nombre d’experts scientifiques et médicaux. Suggérer que le VIH et le SIDA auraient pu constituer un montage de toute pièce, et que l’écrasante majorité des morts de cette maladie ont été tués par le médicament supposé traiter cette non-maladie dépasse l’entendement.
Mes livres scientifiques rappellent parfois qu’au cours de l’obscur XVIIIème siècle, les médecins occidentaux de premier plan traitaient toute sortes d’affection en pratiquant des saignées, une pratique de charlatan qui provoquait régulièrement le décès de leur patient, et même George Washington fait partie de ces victimes. De fait, certaines personnes ont affirmé que durant plusieurs siècles avant nos temps modernes, les traitements médicaux habituels supprimaient par inadvertance davantage de vies qu’ils n’en sauvaient, et que les personnes trop pauvres ou trop retardées pour consulter un médecin en tiraient bénéfice. Mais je n’avais jamais imaginé qu’une situation semblable puisse se produire au cours des décennies récentes de notre âge scientifique moderne.
À la lecture des journaux au début des années 1990, j’avais vaguement compris le débat concernant la véritable nature du SIDA, mais je n’avais jamais prêté une grande attention à la controverse à cette époque. Aussi, lorsque les médias se détournèrent du sujet, j’ai supposé que le débat avait été tranché dans le bon sens.
Mais selon le best-seller numéro 1 d’Amazon, écrit par Kennedy, ce n’est pas ce qui s’est produit. Il affirme que durant trente ans, l’ensemble des médias occidentaux a promu et maintenu un gigantesque canular médical, une conspiration orchestrée par le Dr. Anthony Fauci et ses alliés cupides de l’industrie pharmaceutique, et qui a coûté la vie à des centaines de milliers d’Étasuniens.
Des accusations aussi étranges me sont apparues comme quasiment impossibles, relevant davantage de la démence que d’une chose pouvant se produire dans le monde réel. Mais le récit qu’il expose au sein de ses 200 pages de texte est en réalité frappant de persuasion.
Produire des allégations extraordinaires exige évidemment des éléments extraordinaires pour les étayer. Les chapitres écrits par Kennedy au sujet du SIDA intègrent plus de 900 références à des sources, dont de nombreuses informations provenant de journaux universitaires et d’autres sources scientifiques pleinement reconnues. Mais bien que je dispose d’une bonne culture scientifique — j’ai fait mes études dans le domaine de la physique théorique —, je ne suis pas médeciin ni virologue, et encore moins spécialisé en matière de recherche sur le SIDA, et lire ces articles ne m’apporterait rien si j’essayais de le faire. J’ai donc été contraint de rechercher d’autres indications du fait que les 200 pages produites par Kennedy sur le SIDA constituaient autre chose que de la démence pure et simple.
Une longue liste de médecins et de scientifiques font les éloges de son livre, mais leurs noms et références me restent totalement étrangers, et comme on compte presque un million de médecins exerçant aux États-Unis, on pourrait sans doute en trouver pour faire les louanges d’à peu près n’importe quoi. Cependant, le premier commentaire présenté sur la quatrième de couverture a été écrit par le professeur Luc Montagnier, le chercheur qui a obtenu un prix Nobel après avoir découvert le virus VIH en 1984, et il écrit : “De manière tragique pour l’humanité, les fausses vérités provenant de Fauci et de ses sbires sont légions. RFK expose des décennies de mensonges.” En outre, on nous dit que dès la conférence internationale de San Francisco sur le SIDA organisée en juin 1990, le professeur Montagnier avait publiquement déclaré : “le virus du HIV est passif et inoffensif, il s’agit d’un virus bénin.”
Ce lauréat du prix Nobel a peut-être soutenu ce livre pour d’autres raisons, et peut-être également que le sens de sa déclaration de 1990 a été mal interprété. Mais il est certain que l’opinion du chercheur qui a remporté un prix Nobel pour avoir découvert le virus du VIH ne devrait pas être laissé totalement de côté lorsque l’on évalue le rôle possible de ce virus.
Et il est loin d’avoir été le seul. Kennedy explique qu’au cours de l’année qui a suivi, un microbiologiste de premier plan de Harvard a organisé un groupe comprenant certains des virologues et d’immunologues les plus distingués du monde, et qu’ils ont produit une déclaration commune, soutenue par trois autres prix Nobel, soulevant les mêmes questions :
L’opinion publique pense dans son ensemble qu’un rétrovirus dénommé VIH provoque un groupe de maladies appelées SIDA. De nombreux scientifiques en bio-médecine remettent à présent en question cette hypothèse. Nous proposons qu’une nouvelle évaluation en repartant du début des éléments existants en faveur et en défaveur de cette hypothèse soit menée par un groupe indépendant et qualifié. Nous proposons également que les études épidémiologiques critiques soient établies et menées à bien.
Selon le récit qu’en fait Kennedy, à ce stade, les chercheurs sur le SIDA et les médias dominants étaient totalement asservis à l’océan de financements publics et de publicités pharmaceutiques contrôlées par Fauci et ses alliés de l’industrie pharmaceutique, si bien que ces appels lancés par des scientifiques éminents ont été presque totalement ignorés et sont passés sous le radar.
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Jusqu’à l’épidémie de Covid, le SIDA a été considéré durant quarante années comme la maladie la plus connue au monde, ; les recherches et traitements consacrés à cette maladie ont absorbé quelque 2000 milliards de dollars et sont devenus le sujet central de recherche pour nombre d’experts scientifiques et médicaux. Suggérer que le VIH et le SIDA auraient pu constituer un montage de toute pièce, et que l’écrasante majorité des morts de cette maladie ont été tués par le médicament supposé traiter cette non-maladie dépasse l’entendement.
Mes livres scientifiques rappellent parfois qu’au cours de l’obscur XVIIIème siècle, les médecins occidentaux de premier plan traitaient toute sortes d’affection en pratiquant des saignées, une pratique de charlatan qui provoquait régulièrement le décès de leur patient, et même George Washington fait partie de ces victimes. De fait, certaines personnes ont affirmé que durant plusieurs siècles avant nos temps modernes, les traitements médicaux habituels supprimaient par inadvertance davantage de vies qu’ils n’en sauvaient, et que les personnes trop pauvres ou trop retardées pour consulter un médecin en tiraient bénéfice. Mais je n’avais jamais imaginé qu’une situation semblable puisse se produire au cours des décennies récentes de notre âge scientifique moderne.
À la lecture des journaux au début des années 1990, j’avais vaguement compris le débat concernant la véritable nature du SIDA, mais je n’avais jamais prêté une grande attention à la controverse à cette époque. Aussi, lorsque les médias se détournèrent du sujet, j’ai supposé que le débat avait été tranché dans le bon sens.
Mais selon le best-seller numéro 1 d’Amazon, écrit par Kennedy, ce n’est pas ce qui s’est produit. Il affirme que durant trente ans, l’ensemble des médias occidentaux a promu et maintenu un gigantesque canular médical, une conspiration orchestrée par le Dr. Anthony Fauci et ses alliés cupides de l’industrie pharmaceutique, et qui a coûté la vie à des centaines de milliers d’Étasuniens.
Des accusations aussi étranges me sont apparues comme quasiment impossibles, relevant davantage de la démence que d’une chose pouvant se produire dans le monde réel. Mais le récit qu’il expose au sein de ses 200 pages de texte est en réalité frappant de persuasion.
Produire des allégations extraordinaires exige évidemment des éléments extraordinaires pour les étayer. Les chapitres écrits par Kennedy au sujet du SIDA intègrent plus de 900 références à des sources, dont de nombreuses informations provenant de journaux universitaires et d’autres sources scientifiques pleinement reconnues. Mais bien que je dispose d’une bonne culture scientifique — j’ai fait mes études dans le domaine de la physique théorique —, je ne suis pas médeciin ni virologue, et encore moins spécialisé en matière de recherche sur le SIDA, et lire ces articles ne m’apporterait rien si j’essayais de le faire. J’ai donc été contraint de rechercher d’autres indications du fait que les 200 pages produites par Kennedy sur le SIDA constituaient autre chose que de la démence pure et simple.
Une longue liste de médecins et de scientifiques font les éloges de son livre, mais leurs noms et références me restent totalement étrangers, et comme on compte presque un million de médecins exerçant aux États-Unis, on pourrait sans doute en trouver pour faire les louanges d’à peu près n’importe quoi. Cependant, le premier commentaire présenté sur la quatrième de couverture a été écrit par le professeur Luc Montagnier, le chercheur qui a obtenu un prix Nobel après avoir découvert le virus VIH en 1984, et il écrit : “De manière tragique pour l’humanité, les fausses vérités provenant de Fauci et de ses sbires sont légions. RFK expose des décennies de mensonges.” En outre, on nous dit que dès la conférence internationale de San Francisco sur le SIDA organisée en juin 1990, le professeur Montagnier avait publiquement déclaré : “le virus du HIV est passif et inoffensif, il s’agit d’un virus bénin.”
Ce lauréat du prix Nobel a peut-être soutenu ce livre pour d’autres raisons, et peut-être également que le sens de sa déclaration de 1990 a été mal interprété. Mais il est certain que l’opinion du chercheur qui a remporté un prix Nobel pour avoir découvert le virus du VIH ne devrait pas être laissé totalement de côté lorsque l’on évalue le rôle possible de ce virus.
Et il est loin d’avoir été le seul. Kennedy explique qu’au cours de l’année qui a suivi, un microbiologiste de premier plan de Harvard a organisé un groupe comprenant certains des virologues et d’immunologues les plus distingués du monde, et qu’ils ont produit une déclaration commune, soutenue par trois autres prix Nobel, soulevant les mêmes questions :
L’opinion publique pense dans son ensemble qu’un rétrovirus dénommé VIH provoque un groupe de maladies appelées SIDA. De nombreux scientifiques en bio-médecine remettent à présent en question cette hypothèse. Nous proposons qu’une nouvelle évaluation en repartant du début des éléments existants en faveur et en défaveur de cette hypothèse soit menée par un groupe indépendant et qualifié. Nous proposons également que les études épidémiologiques critiques soient établies et menées à bien.
Selon le récit qu’en fait Kennedy, à ce stade, les chercheurs sur le SIDA et les médias dominants étaient totalement asservis à l’océan de financements publics et de publicités pharmaceutiques contrôlées par Fauci et ses alliés de l’industrie pharmaceutique, si bien que ces appels lancés par des scientifiques éminents ont été presque totalement ignorés et sont passés sous le radar.
Selon un journaliste, ce sont quelque 2000 milliards de dollars qui ont été dépensés au fil des années pour des recherches et des traitements contre le VIH et le SIDA, et dès lors qu’un grand nombre de carrières de recherche et de salaires dépendent de ce qui relève du “complexe industriel du VIH et du SIDA”, on n’a guère trouvé de critiques pour examiner les fondations premières de cet empire.
Jusqu’il y a une ou deux semaines, je n’avais jamais réfléchi à remettre en question l’orthodoxie concernant le SIDA. Mais la découverte du scepticisme affiché durant longtemps par un tel nombre d’experts réputés, dont pas moins de quatre lauréats du prix Nobel, dont rien de moins que le propre découvreur du virus VIH, a complètement fait changer mon point de vue.
Jusqu’il y a une ou deux semaines, je n’avais jamais réfléchi à remettre en question l’orthodoxie concernant le SIDA. Mais la découverte du scepticisme affiché durant longtemps par un tel nombre d’experts réputés, dont pas moins de quatre lauréats du prix Nobel, dont rien de moins que le propre découvreur du virus VIH, a complètement fait changer mon point de vue.
Je ne peux pas facilement ignorer ou rejeter les théories avancées par Kennedy, mais je peux les résumer brièvement et laisser chaque lecteur creuser davantage le sujet et se faire sa propre opinion.
Et pour être tout à fait juste avec l’auteur, il souligne également de manière répétée qu’il ne “peut pas adopter de position quant à la relation entre le VIH et le SIDA”, mais qu’il est simplement gêné par le fait que Fauci ait réussi à utiliser les financements de son gouvernement, couplés à l’influence des médias, pour supprimer un débat scientifique en cours et parfaitement légitime.
Selon Kennedy, l’ouvrage a pour but “de donner de l’air et de la lumière du jour aux voix dissonantes.”
Le récit qu’il produit au sujet des origines du lien entre VIH et SIDA est absolument stupéfiant.
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