Les vaccins nous protégeraient, paraît-il ! Vraiment ?
Voici quelques éléments de réflexion sur ce qui se passe en France et dans le monde, depuis maintenant plus d'une année.
On est actuellement en train de nous vendre, à grand renfort marketing, des produits expérimentaux, sensés protéger toute la population d'une maladie saisonnière (la grippe, peu importe son nom, son millésime ou l'infinité de ses variants et autres recombinants).
Et dont plus de 99 % de la population soit en guérit, soit n'en a rien à faire…
A noter que les premières vaccinations généralisées ont commencé à se répandre vers les années 1970. Depuis un demi-siècle, la grippe saisonnière n'a toujours pas disparu, puisque chaque année nous avons le même matraquage marketing en début de "saison", puis en fin de saison, toujours le même discours : "cette année le vaccin a été un peu moins efficace que prévu, car les souches virales des vaccins ne correspondaient pas assez à ceux en circulation". Un demi-siècle du même mensonge.
Et aujourd'hui on essaie de nous faire croire que si nous passons tous à la messe politique du dieu vaccin Covid, le supposé cocotruc disparaîtra comme par enchantement ? Sérieux ? On y croit ?
Bien entendu toute cette panoplie d'ennemis ô combien invisibles, même pour les plus performants des microscopes électroniques à balayage, devient, par la magie du marketing vaccinal, et au fur et à mesure de la disponibilité de ces "seringues à laver plus blanc que blanc", de plus en plus contagieuse et de plus en plus dangereuse. Ce qui en soit est un autre pur non-sens pour un apprenti épidémiologiste ou biologiste de première année, qui vous confirmera que la thèse pasteurienne, la seule autorisée, admet que plus un virus est contagieux, moins il est dangereux. Et inversement. Mais comme le français, est un veau depuis un certain Général à deux étoiles, il est bien connu que le veau, à part se vautrer dans les grasses prairies et meugler un sch'ti coup de temps à autre, est un ignare parfait de la chose scientifique.
Pour informer ce troupeau mugissant, mais seulement comme il se doit, notre Sainte Télé est une servante zélée de nos protecteurs. Ses fidèles n'écoutent que cette messe continue et multi-quotidienne, orchestrée et bénie urbi et orbi chaque semaine par les papes de nos protecteurs gouverne-mentaux. Qui au printemps 2020 venaient nous égrener 24/24 h les morts attribués au méchant virus, nous montrer des images d'hôpitaux débordés (ils le sont depuis plus de 30 ans chaque hiver), nous montrer des services de pompes funèbres débordés, des cadavres entassés dans des gymnases, etc. ...
Ce genre de "grand spectacle" aide incontestablement à faire monter la mayonnaise de la panique organisée, et rabattre ainsi les brebis égarées vers le droit chemin du vélodrome d'hiver, pardon du vaccinodrome printanier, et ses enfants de chœur (médecins, infirmières et autres pompiers et vétérinaires) y officiant en tenue de cosmonaute digne de Star-treck, la seringue salvatrice à la main, le doigt sur la gâchette. Prêts à anéantir l'ennemi invisible, au péril de leur vie. Des héros ! Que nous avons applaudi sur nos balcons tous les soirs à 20 heures !
La dernière trouvaille, ce sera les vaccino-drive ! Pour ne louper personne. Même plus besoin de sortir de sa caisse à savon, pour recevoir la sainte hostie !
Aujourd'hui, le discours anxiogène a quelque peu été adapté à l'actualité, puisque les plus fragiles ayant été éliminés lors du premier confinement strict, il n'était plus possible de continuer ce décompte macabre. On ne meurt, heureusement, qu'une fois. Les malades, de moins en moins malades, refusent de plus en plus obstinément de passer de vie à trépas. Pour museler d'éventuelles anciennes contestations qui risquaient de refaire surface, après avoir soigneusement organisé une pénurie, on a obligé l'ensemble de la population à s'auto-museler, même à l'extérieur, seul dans la forêt ou sur la plage. Même par temps de canicule. Le monde est masqué. En même temps, comme les kits de tests PCR, commandés et livrés sur toute la planète depuis 2017 (!!!) commençaient à être opérationnels, on a augmenté le nombre de tests.
Et forcément le nombre de "positifs" à "quelque chose" a explosé. Ouf ! on tenait un nouveau démon à éradiquer : le CAS !
Mais, pour tenter de ne pas trop s'écarter de la réalité du "terrain", il a fallu inventer toutes sortes de cas. Cas qui ne sauraient d'ailleurs pas qu'ils sont des cas s'ils ne se faisaient pas tester. Juste pour se rassurer. Et pour encore gonfler d'avantage les chiffres, on ne se gêne pas pour annoncer que si un auto-test rapide donne un résultat positif, il faudra confirmation par un test PCR classique. Ça permettra d'additionner les deux tests pour une même personne. Personne ne sait d'ailleurs comment sont comptabilisés les personnes qui doivent pour une raison ou une autre se faire tester tous les deux jours.
C'est le docteur Knock de Jules Romain poussé à l'absurde : "tout bien portant est un malade qui s'ignore ! Le triomphe de la médecine !" On a donc trouvé quelques cas symptomatiques, d'autres sans symptômes, et pour couronner le tout, on a réussi à prétendre que les uns et les autres pouvaient être contagieux ou pas.
Antoine Béchamp doit être mort, …. de rire. En attendant, nous rions jaune. Car notre société a été coupée en deux : d'un côté ceux qui n'écoutent que le discours officiel et qui on forcément peur, terrorisés derrière leur masque, se décapant les mains jusqu'au sang, sinon le corps entier, au gel hydroalcoolique devenu de fait l'eau bénite à l'entrée de chaque magasin ou édifice public encore entrouvert, et de l'autre, ceux qui prennent un minimum de recul et, par exemple, regardent ce qui se passe réellement. Et pourquoi !
Depuis une année, on nous culpabilise avec le fait que nous devons protéger les plus fragiles d'entre nous, et surtout les plus anciens. Intention à priori très respectable. Mais est-il sensé et seulement possible de protéger des personnes qui ont dépassé leur espérance de vie ? Après une année nous pouvons donc faire un premier bilan qui démontrera la réussite ou l'échec de cette "politique".
Dans les statistiques de notre vénérable institution, l'INSEE, l'Institut National des Statistiques et Etudes Economiques, on trouve toutes sortes d'informations qui ne sont pas montrées aux JT de 13 ou 20 heures. Bien entendu il faut un peu les chercher, et les mettre en forme pour pouvoir les exploiter.
On peut télécharger différents fichiers sous forme de tableur, ce qui permet ensuite de refaire d'autres calculs et classements. Et d'en extraire des graphiques.
Par exemple, le suivant qui nous montre le nombre de décès par région (y compris Dom-Tom), pour la période du 1er janvier au 29 mars des années 2019, 2020 et 2021. Période qui représente chaque année le "pic" de la saison hivernale dite grippale.
Plusieurs remarques s'imposent :
En métropole, hormis l'Ile de France, le Grand-Est, la Corse et la Bretagne, dans toutes les autres régions françaises, il y une surmortalité plus ou moins marquée en ce début d'année 2021.
Quelle en est la raison ? Virus ou vaccin ? Ou les deux ? Ou confinement ? Ou les trois ?
Pour tenter de cerner d'un peu plus près cette question épineuse, voici un deuxième graphique qui lui, nous donne le nombre de décès par région et aussi par classe d'âge, toujours entre le 1er janvier et le 29 mars pour l'année 2019.
Année qui a la particularité de ne pas avoir été marquée par une épidémie grippale particulière. Et qui peut donc être considérée comme une année "normale". Bien que le nombre de décès total soit le plus élevé des années précédant 2020.
Nous voyons sans surprise, qu'une catégorie d'âge se démarque nettement de toutes les autres, c'est celle en vert des plus de 85 ans, qui représentent le plus souvent plus du double de la catégorie précédente, celle des 75 à 84 ans.
Je rappelle ici, que selon les estimations de 2019, l'espérance de vie est, pour les hommes de 79.7 ans et 85.6 ans pour les femmes. Actuellement, en ce début 2021 elle n'est plus que de 79.2 ans pour les hommes et 85.2 ans pour les femmes.
On peut donc considérer qu'en temps "normal", la majorité des décès concerne des gens qui ont dépassé leur espérance de vie "normale".
Plus précisément, si l'on recalcule en pourcentage pour la France entière, on arrive à 80.52 % des personnes décédées en 2019 qui ont plus de 65 ans, dont 44.6 % ont plus de 85 ans !!!
Au total, pour la France entière, nous avons 166 641 personnes décédées entre le 1er janvier et le 29 mars 2019.
Voyons donc ce qui s'est passé en 2020. (graphique suivant).
Année du coronavirus, où les différentes "mesures" prises alternativement, et contradictoirement, puisque d'abord, pas de masque, puis masque obligatoire en intérieur, et ensuite même tout seul en forêt ou sur la plage (il faut bien protéger les oiseaux en forêt et le mouettes sur la plage). Et aussi les plus anciens d'entre nous, que le masque que nous portons tous est sensé protéger, même si nous ne sommes pas malades. Tout comme les distanciations physiques.
Si ces mesures étaient efficaces, le pourcentage d'anciens décédés en 2020 devrait donc être inférieur à 2019. Puisque dans la foulée on nous affirme sans rougir que la grippe saisonnière à disparu, grâce aux mesures de distanciation et autres mascarades. Tout comme les maladies cardio-vasculaires et autres cancers.
Hélàs mille fois hélàas, il n'en est rien puisque le même graphique recalculé en pourcentage nous dit que pour 2020 cette fois, c'est 82.34% des plus de 65 ans qui sont décédés, (au lieu de 80.52%) dont 44.18% des plus de 85 ans (au lieu de 44.6%).
Et au total, il n'y a eu "que" 166 448 personnes de décédées en 2020 entre le 1er janvier et le 29 mars. Soit pratiquement la même chose qu'en 2019. Ça n'a commencé à se "gâter" qu'ensuite. Puisque jusqu'à la mi-mars 2020, dans la plupart des régions nous étions en-dessous des années précédentes.
La courbe des décès n'est montée qu'à partir de la mi-mars pour atteindre son apogée le 1er avril (ce n'est pas un poisson), et redescendre ensuite aussi vite qu'elle était montée.
La courbe suivante est plus parlante que mille mots :
On y voit parfaitement le pic printanier, puis le "rien à signaler" qui suit, jusqu'à mi novembre (deuxième confinement à partir du 30 octobre), puis retour au niveau habituel. Jusqu'à un sursaut qui semble se dessiner la semaine du 4 au 10 avril. Affaire à suivre de près.
La courbe par quinzaine donne une fausse impression , puisque la dernière quinzaine qui y figure est celle du 21 mars au 1er avril. Nous ne sommes donc pas actuellement en sous-mortalité comme on peut le lire ici ou là, mais au niveau des années précédentes. Ce qui confirme de toutes façons que l'hystérie gouverne-mentale n'est en aucun cas sanitairement justifiée, et répond donc à d'autres objectifs, nettement moins présentables.
Logiquement, si toutes les mesures restrictives (mascarade, distanciations, et surtout vaccination) portaient leurs fruits, nous devrions, en ce début d'année 2021, voir une baisse de la mortalité, surtout que la vaccination a commencé officiiellement à partir du 30 décembre 2020. Et que l'on nous a toujours martelé que les vaccins ne seraient efficaces qu'une quinzaine de jours après l'injection.
En occultant le fait que la vaccination, au moins en théorie, n'est pas un médicament curatif, mais préventif. Et que vacciner des personnes fragiles en pleine (soi-disant) épidémie n'est certainement pas la meilleure idée qu'on puisse avoir, si on veut vraiment prendre soin de nous…. C'est exactement ce qu'il faut faire si on veut "fabriquer" des variants à la pelle. Et c'est ce qui semble se passer si on en croit nos "protecteurs".
Qu'en est-il donc ?
ÂGE | 2019 | 2020 | 2021 | Diff.2019 – 2020 | Diff. 2019 - 2021 |
0 – 24 | 1522 | 1490 | 1282 | - 32 | - 240 |
25 – 49 | 5356 | 5223 | 4861 | - 133 | - 495 |
50 – 64 | 16826 | 16702 | 16111 | - 124 | - 715 |
65 – 74 | 24158 | 25109 | 25957 | + 951 | + 1 799 |
75 – 84 | 34428 | 34762 | 38396 | + 334 | + 3 968 |
Plus de 85 ans | 84351 | 83162 | 89698 | - 1 189 | + 5 347 |
Totaux 1er trim. | 166 641 | 166 448 | 176 305 | - 193 | + 9 664 |
Nous voyons donc, sans surprise, que les années 2019 et 2020, jusqu'à la fin mars se ressemblent quasi comme des sœurs jumelles. Alors que l'épidémie, rebaptisée abusivement pandémie, était arrivée en France probablement et au moins depuis octobre-novembre 2019. Dans toute épidémie, lorsqu'il y a des décès qui s'en suivent, il y a un ordre "logique" au processus. Tout d'abord c'est le nombre de consultations qui va augmenter, puis les hospitalisations, puis les réanimations, et enfin les décès. Il y a donc forcément un décalage temporel entre une extrémité de cette "chaîne" et l'autre.
Si l'on admet (ça reste toujours à prouver) qu'un méchant virus a décidé de semer la zizanie chez les bipèdes, avec ou sans "aide" de tiers plus ou moins mal intentionnés (rien n'est réellement prouvé non plus ni dans un sens ni dans l'autre), il est assez normal que l'on ait un décalage de plusieurs semaines, voire de mois pour que l'emballement prenne naissance. Selon la légende, ce serait un rassemblement évangélique à Mulhouse (entre le 17 et 24 février 2020) qui aurait mis le feu aux poudres en Gaule profonde. Selon des empêcheurs de mentir en boucle, ce seraient les militaires qui participaient aux jeux paramilitaires à …. Wuhan en octobre 2019 qui auraient ramenés les méchantes bébêtes avec eux. Comme pour l'origine même du supposé Covid19, rien n'est certain. Nous sommes en plein brouillard.
Pour en revenir à notre tableau précédent, nos "autorités" vont bien entendu avoir le jeu facile de nous déclarer que c'est les variants et autres mutants du cocotruc qui ont causé la surmortalité du 1er trimestre 2021.
Ce qui permettra, jusqu'à un certain point, de masquer la surmortalité due aux vaccins. Je dis jusqu'à un certain point, parce qu'il faut bien entendu continuer tout au long de cette année de noter les décès par régions et classes d'âge, et parallèlement de tenir à jour le tableau suivant, qui nous donne la proportion de personnes vaccinées selon la région.
Et de rapprocher les deux tableaux (surmortalité globale et régionale et couverture vaccinale régionale).
Toute la mafia vaccinale se retranche toujours derrière le fait qu'il n'y a jamais de lien entre un vaccin et un problème plus ou moins grave.
Et aujourd'hui c'est encore pire, puisque les laboratoires ont réussi à se dégager totalement de toute responsabilité. L'état prétend assumer, alors que l'on sait très bien que la dénégation ira, comme pour tout le reste jusqu’à l'absurde.
Ceci pour la partie purement statistique des faits actuels.
Petit calcul subsidiaire :
La surmortalité effective de 2021 par rapport à 2019 pour les plus de 65 ans est de 11 114 décès.
La population française est d'environ 67 millions d'habitants.
16.06 % d'entre eux seraient à ce jour vaccinés et quasi exclusivement des personnes de plus de 60 ans, soit
10 720 000.
Ce qui amène à 0.1 % le pourcentage de surmortalité par rapport aux vaccinés. (11114x100/10 720 000).
On voit qu'avec des chiffres pareils, les vendeurs de chimères pseudo-vaccinales ont encore de "beaux" jours devant eux. Pour noyer le poisson (mort)… dans la mare de leurs turpitudes…
Et que nous ne sommes pas près de sortir de l'auberge, puisqu'on nous interdit même d'y entrer….
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