Le plus gros mensonge de l’année par le Lancet : Non l’injection n’a pas sauvé 20 millions de personnes !

 

Le plus gros mensonge de l’année par le Lancet : Non l’injection n’a pas sauvé 20 millions de personnes !

Publié le 28 Septembre 2022

Le plus gros mensonge de l’année par le Lancet : Non l’injection n’a pas sauvé 20 millions de personnes

Un nouveau Lancet gate prétend que les vaccins anti-covid auraient sauvé 20 millions de personnes.

Lorsque le monde réel vous déplait, il suffit pour, se rassurer de se réfugier dans un monde virtuel que l’on peut modéliser à sa guise. L’impérial collège applique à nouveau cette recette magique pour transformer ses colossales erreurs de prédictions du monde réel en incroyable succès virtuel des vaccins.

Attention aux simulations présentées comme des faits établis

Nous avons à maintes reprises1,2,3,4,5 dénoncé les fausses nouvelles basées sur des simulations en médecine. Par leur conception et leurs hypothèses hasardeuses, les simulations de résultats médicaux sont toujours à risques de biais. Il faut tout particulièrement se méfier de leurs conclusions lorsqu’elles font la promotion d’un médicament rentable, que leurs auteurs sont liés aux firmes et que l’ensemble des médias du monde entier claironne « la bonne nouvelle », alors qu’il ne s’agit en aucun cas de faits établis, mais seulement d’espoirs résultant d’hypothèses incertaines.

Un article hallucinant du Lancet6 ose prétendre que la vaccination aurait sauvé plus de 20 millions de personnes en 2021 et le comité de lecture l’a accepté sans émettre de réserve !

Cet article fait la promotion de pseudo vaccins extrêmement rentables puisqu’ils ont rapporté près de 300 milliards de dollars depuis leur mise sur le marché.

Les auteurs de cette étude ne sont pas indépendants, mais liés pour les deux tiers aux marchands de vaccins ou aux organismes qui ont été les moteurs de la vaccination7.

Les folles conclusions de cet article ont été reprises sans aucune modération par plus de 50 médias du monde entier qui ont « oublié » de signaler qu’il ne s’agissait que de résultats de simulation. Nous en signalons quelques-uns8 qui ont ainsi démontré leur absence d‘esprit critique et/ou leur dépendance aux marchands de vaccin.

Tous les signaux d’alerte à la fake news sont donc réunis.

Comment biaiser une simulation

Pour chanter les louanges de la vaccination, des mathématiciens de l’Imperial College de Londres ont une nouvelle fois utilisé leur modèle totalement faux de simulation de propagation et de mortalité du COVID-19 entre le 8 décembre 2020 (lorsque les vaccins ont été déployés pour la première fois) au 8 décembre 2021 pour une simulation sans vaccin qu’ils ont comparée avec leur estimation du nombre des morts avec vaccins.

Ils déclarent sans ambages « nous avons estimé que 31,4 millions (95% CrI 30·6–32·1) décès dus au COVID-19 seraient survenus sans vaccination au cours de la première année de la vaccination » alors que la première année de l’épidémie sans vaccin avait entraîné « seulement »1,63 million de morts.

Et ils ne s’étonnent pas que leur simulation prédirait une mortalité 20 fois supérieure la seconde année ! Ils auraient dû s’intéresser à l’évolution des pays très peu vaccinés comme le Nigéria, le Cameroun ou Madagascar dans lesquels la seconde année sans vaccin a été marquée par un simple doublement de la mortalité pour vérifier l’absence de fiabilité de leurs prédictions.

Le même programme délirant de simulation avait prédit que sans confinement la Suède allait être dévastée par le covid. La Suède n’a pas confiné et le nombre de morts observé a été dix fois inférieur à l’estimation de l’impérial collège9.

Les auteurs de l’Imperial college n’ont apparemment pas tenu compte de leurs erreurs comme tout scientifique scrupuleux l’aurait fait.

Ils ont ensuite estimé l’impact des programmes de vaccination en retranchant du nombre de décès prophétisés par la simulation sans vaccin au nombre de décès estimés dans le monde réel avec vaccin.

Ils ont une fois de plus comparé les décès virtuels d’une simulation folle aux décès observés dans le monde réel.

Leur colossale surestimation de la simulation sans vaccin10 leur permet ainsi de prétendre que les vaccins auraient été colossalement efficaces.

Ils se prétendent scientifiques, mais au lieu d’analyser les différences observées dans le monde réel entre les pays selon leur stratégie anti-covid, ils comparent le monde virtuel de leur simulation au monde réel pour réciter leur crédo pro injection !

Revenons au monde réel : les vaccins n’ont sauvé personne !

Après 20 mois de vaccination, il est facile d’évaluer son impact réel sur l’évolution du nombre de contaminations et de la mortalité selon la période considérée et selon les stratégies sanitaires des différents pays en se basant sur les données publiées par l’OMS (disponibles à OMS Covid dashboard) et mises en graphiques par l’université John Hopkins (consultable à : OurWorldinData covid).

La comparaison des dix mois sans vaccin (de mars à décembre 2020) aux 20 mois avec les pseudos vaccins montre qu’au niveau mondial ces derniers ont été incapables de ralentir l’épidémie et qu’ils paraissent même avoir pu la stimuler, puisque le rythme mensuel des contaminations été multiplié par 6 depuis leur mise sur le marché.

De même, les pseudo vaccins se sont révélés incapables de diminuer la mortalité :

Dans leur article, les auteurs de l’impérial college accusent « la faible couverture vaccinale de nombreux pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure et des pays à faible revenu » d’être responsable de l’échec des injections, tant sur la transmission mondiale de l’épidémie que sur la mortalité.

Mais ont-ils seulement regardé les chiffres officiels de l’OMS qui montrent, au contraire, que l’épidémie a frappé beaucoup plus violement les pays riches ?

Et que la mortalité a été maximale dans les pays riches !

On peut donc décerner à cet article le qualificatif du plus gros canular du siècle, au Lancet, celui de la revue la moins pointilleuse pour la vérification des données.

Après revue de ses prédictions, on peut aussi attribuer à l’Impérial Collège le titre de cancre absolu des prophètes. En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante et qui a couté environ 6 milliards de livres aux éleveurs anglais. Lors de la crise de grippe H1N1 de 2009, ses prédictions du avaient annoncé 8 000 morts au Canada qui n’en a déploré que 428 ! Et ses simulations n’ont pas été plus avisées sur la maladie de la vache folle, la grippe aviaire, Ebola.

Mais pourquoi l’OMS et tant de dirigeants font-ils encore confiance à un devin qui se trompe presque toujours ?

 Par le Dr Gérard Delépine.

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