Les Influenceurs dans le Viseur du Fisc : La Chasse aux Revenus Cachés est Lancée !
C’est le quotidien Assabah qui a levé le voile sur cette affaire explosive. Les autorités fiscales marocaines ont lancé une offensive de grande envergure en contactant directement les influenceurs, les YouTubeurs et autres as de la toile. Les avertissements ont été clairs : déclarez vos revenus, payez vos impôts ! Les activités lucratives sur la Toile ne seront plus épargnées.
Alors que certains pensaient s’en sortir indemnes, la sentence est tombée. Ces stars du web, qui engrangent des sommes mirobolantes grâce à leurs contenus en ligne, se retrouvent aujourd’hui dans le collimateur du Fisc. Selon nos sources bien informées, la DGI dispose de moyens technologiques infaillibles pour traquer les revenus de ces vedettes des temps modernes.
Comment en sont-ils arrivés là ? $La recette du succès était pourtant simple : créer une chaîne en ligne, partager du contenu captivant, accumuler vues et likes, et voilà le jackpot ! Mais voilà, beaucoup d’influenceurs, YouTubeurs et créateurs de contenu ont négligé une chose essentielle : les lois fiscales.
Aujourd’hui, la DGI a décidé de mettre fin à cette impunité. Ils ont les chiffres, ils ont les statistiques. Il suffit de jeter un coup d’œil au nombre d’abonnés et de followers pour évaluer les sommes astronomiques engendrées en ligne.
Certains influenceurs empochent plus de 100 000 dirhams par mois, dépassant ainsi largement le seuil d’1 200 000 dirhams par an.
Et la note est salée : une retenue de 38 % est exigée sur ces revenus mirifiques, précisent nos sources.
Mais ce n’est pas tout ! La DGI a envoyé pas moins de 120 mises en demeure à des créateurs de contenu en ligne, les sommant de régulariser leur situation fiscale sur les trois dernières années d’activité. Un montant astronomique de 45 millions de dirhams est déjà estimé, et cela pourrait augmenter considérablement en fonction du nombre de vues et d’abonnés des chaînes.
Attention, l’objectif de la DGI n’est pas de punir, mais de sensibiliser. Ils veulent inciter les contrevenants à régler leurs impôts de manière amiable, évitant ainsi les saisies et autres mesures radicales pour éponger leurs dettes fiscales.
Le message est clair : la fête est finie pour les fraudeurs du web ! Le Fisc est en marche, plus déterminé que jamais à récupérer chaque dirham dû.
Les influenceurs sont prévenus, ils doivent s’acquitter de leurs obligations fiscales sous peine de voir leur empire numérique s’effondrer.
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