A la UNE
L’analyste
politique Rachid Lazreq estime qu’il faudra s’attendre à voir des
ministres et des responsables sévèrement sanctionnés par le Roi Mohammed
VI, avant même la Fête du trône, en raison des retards enregistrés dans
la réalisation de projets de développement dans la ville d’Al Hoceïma
et sa région. Des retards qui sont à l’origine du déclenchement du
mouvement de protestation.
Dans une déclaration accordée à Le Site Info, Rachid Lazreq relève que « le Hirak du Rif a démontré que chaque partie essaie de jeter la responsabilité sur l’autre. Chose qui a fait que ce Hirak nous a fait vivre une situation particulière. Parmi les faits saillants, on note l’absence de responsabilité solidaire du gouvernement ».
Il fait remarquer que depuis qu’El Othmani est chef de gouvernement, les membres du partis sont déstabilisés étant donné que c’est Benkirane qui tire les ficelles dans les coulisses. « Tout cela a favorisé l’émergence d’un terrain fertile pour la propagation de phénomènes négatifs ».
Dans ce sens, l’analyste politique note que la lutte politique entre les partis a poussé certains ministres à traîner les pieds et à « un manquement dans l’accomplissement de leurs devoirs ». Selon lui, un tel comportement a généré un climat de perte de confiance entre les habitants de la province d’Al Hoceïma et les élus à l’échelle territoriale et gouvernementale.
Des têtes pourraient tomber avant la Fête du Trône.
Dans une déclaration accordée à Le Site Info, Rachid Lazreq relève que « le Hirak du Rif a démontré que chaque partie essaie de jeter la responsabilité sur l’autre. Chose qui a fait que ce Hirak nous a fait vivre une situation particulière. Parmi les faits saillants, on note l’absence de responsabilité solidaire du gouvernement ».
Il fait remarquer que depuis qu’El Othmani est chef de gouvernement, les membres du partis sont déstabilisés étant donné que c’est Benkirane qui tire les ficelles dans les coulisses. « Tout cela a favorisé l’émergence d’un terrain fertile pour la propagation de phénomènes négatifs ».
Dans ce sens, l’analyste politique note que la lutte politique entre les partis a poussé certains ministres à traîner les pieds et à « un manquement dans l’accomplissement de leurs devoirs ». Selon lui, un tel comportement a généré un climat de perte de confiance entre les habitants de la province d’Al Hoceïma et les élus à l’échelle territoriale et gouvernementale.
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