Cette vérité que le régime algérien ne dit pas ouvertement à son à son peuple sur la mise à mort du gazoduc Maghreb-Europe !

 

Cette vérité que le régime algérien ne dit pas ouvertement à son à son peuple sur la mise à mort du gazoduc Maghreb-Europe !


Comme il était prévu et annoncé par Algérie Part depuis plusieurs semaines, la mise à mort du gazoduc Maghreb-Europe est officiellement prononcée par la Présidence algérienne depuis dimanche 31 octobre. 

Or, les dessous cette annonce prévisible et attendue depuis plusieurs semaines n’ont aucun lien avec les considérations politiques avancées par le régime algérien. 

 

Explications. 

En effet, officiellement les autorités algériennes ont justifié la fin au contrat du Gazoduc Maghreb Europe (GME) qui alimentait l’Espagne en passant par le Maroc par les « pratiques à caractère hostile du Royaume marocain à l’égard de l’Algérie, des pratiques qui portent atteinte à l’unité nationale ». 

Mais en réalité, et Algérie Part l’a dit à maintes reprises, de nombreux experts certifient que l’Algérie n’avait plus grandement besoin de ce gazoduc en raison de l’effondrement successif ces dernières de ses capacités d’exportation du gaz naturel en raison d’une chute de la production nationale et d’une augmentation conséquente de la consommation interne qui dépasse aujourd’hui les 52 % des parts du gaz produit par les plus importants gisements du pays.

Depuis 2018/2019, la consommation nationale du gaz naturel a dépassé nettement le volume des exportations gazières du pays vers l’étranger. En effet, le montant du volume des exportations du gaz naturel en Algérie en 2018 avait atteint les 36,3 millions de tonne d’équivalent pétrole (TEP). En 2019, ce même volume a baissé jusqu’à 25,2 millions TEP, a-t-on pu confirmer au cours de nos investigations au cours desquelles nous avons obtenu des rapports internes à Sonatrach qui décrivent et relatent les tenants et aboutissants de ses activités commerciales ou de production. 

En revanche, concernant les volumes de gaz naturel vendus sur le marché national et destiné donc à la consommation intérieure, les chiffres sont nettement plus élevés. En effet, en 2018, les volumes du gaz naturel dédiés à la consommation nationale étaient de l’ordre de 42,3 millions TEP. En 2019, ces volumes ont augmenté jusqu’à 43,6 millions TEP.

En vérité, depuis 2020, l’Algérie ne peut exporter que 45 ou 49 milliards de m3/an de gaz naturel alors qu’elle exportait plus de 65 milliards de m3/an au début des années 2000. Et cette capacité des exportations va s’affaiblir d’une année à autre pour baisser jusqu’à moins de 40m3/an dans les deux ou trois prochaines années étant donné que la part de la consommation nationale va dépasser les 55 % du gaz produit localement dans notre pays sans oublier l’épuisement progressif de nos réserves nationales et des gisements les plus stratégiques du pays comme Hassi R’mel qui pourrait se tarir dangereusement à partir de 2030 faute de nouvelles découvertes majeurs et de nouvelles mises en production de nouveaux champs gaziers.

C’est pour ces raisons purement économiques que l’Algérie ne peut plus se permettre d’entretenir encore le gazoduc Maghreb-Europe. Avec ces capacités actuelles d’exportation, l’Algérie peut à peine rentabiliser les deux gazoducs qui sont à sa disposition, à savoir le Medgaz, entré en service en 2011, avec une capacité de 8 milliards de m3/an en plus du gazoduc Enrico Mattei avec une capacité de 32.5 milliards de m3/an mis en service en 1983 pour rallier l’Algérie à l’Italie via la Tunisie. Ces deux gazoducs peuvent transférer en Europe l’équivalent de 40 milliards de m3/an, soit presque la totalité de la capacité des exportations gazières algériennes.

Pour les autres petites quantités supplémentaires, la compagnie nationale des hydrocarbures la Sonatrach compte sur le Gaz Naturel Liquéfié (GNL) qu’elle peut exporter grâce à ses navires méthaniers. La Sonatrach dispose effectivement d’une flotte de 8 méthaniers (environ 1 millions de m3 GNL) avec différents types de capacité de transport qui lui permettent de desservir aussi bien la région de la Méditerranée que les longues routes.

Il s’agit des méthaniers Cheikh El-Mokrani (75.000 m3), Cheikh Bouamama (75.000 m3), Global Energy (75.000 m3), Abane Ramdane (125.000 m3), Berge Arzew (138.000 m3), Lalla Fatma n’Soumer (145.000 m3), Ougarta (172.000 m3), Tessala (172.000 m3). Il faut savoir que le groupe Sonatrach est classé parmi les 10 exportateurs mondiaux de gaz naturel liquéfié au niveau mondial avec une capacité de total nominale de liquéfaction de l’ordre de 34 Gm3 par an. Mais comme pour le gaz naturel, le GNL n’est pas exploité à la hauteur de son potentiel prometteur en raison de nombreuses pannes techniques et arrêts de production des complexes au niveau des zones industrielles d’Arzew GL1Z  et GL2Z et de Skikda GL1K.  La chute de la production nationale du gaz naturel porte également un préjudice à la production du GNL.

Tous ces paramètres purement économiques justifient la fin du recours de l’Algérie au gazoduc Maghreb-Europe. Notre pays devra dans les 5 prochaines années se concentrer sur sa demande intérieure et consommation interne.  

Au rythme actuel de la production nationale, notre pays ne pourra plus prétendre à l’exportation du gaz naturel vers l’étranger à partir de 2027/2028. 

C’est dire enfin que la fin du gazoduc Maghreb-Europe est le symbole d’une page qui se tourne dans l’industrie des hydrocarbures en Algérie. Une page qui n’a strictement aucune relation avec les problématiques politiques mises en exergue mises en avant par le pouvoir algérien dans son bras-de-fer contre le Maroc. Cette rhétorique guerrière n’est qu’une subterfuge pour masquer la amère réalité économique du pays et le déclin de la richesse gazière.

 

Commentaires pertinents et virulents de certains algériens qui disent la vérité en face.  


Vangelis, drôle de nom , il y a un adage arabe qui dit assorakho ala kaddi Al Alam. Quand tu dis la phrase «  ça tout le monde le sait « «  tu me fais penser à quelqu’un n’est ce pas . C’est ton ex ministre des affaires étrangères le fameux abdelkader benmsahel qui a voulu calomnier la RAM en prétendant qu’elle transportait juste du haschich !
Et voilà il n’en fallait pas longtemps à ce que le monde entier découvre que c’est Air Algérie, et le consulat algérien à Marseille avec le fils de votre président de façade qui s’adonnaient au narcotique.
Je te réfère à l’article dans ce même numéro qui parle des stewards impliqués et qui vaguent à leurs fonctions comme si rien n’était ce qui montre qu’ils sont protégés par un général parrain de cette mafia algérienne.
Autre chose quand tu dis hmaroc en ajoutant un h moi je vais rien ajouter au mot alkheria comme prononcé par les espagnols. ...
Et je n’ajoute rien au nom de ton président fantoche tabboune qu’on a honte de prononcer en famille quand on est bien élevé et bien éduqué.
Et pour terminer je te fais remarquer que tout ce que tu as vomi dans ton commentaire s’applique à ton Algérie à toi.
Mon ami vous êtes dans la merde 2021 avec 20 milliards de déficit et 2022 avec plus de 30 milliards de déficit et vos caporaux de frança vous ont mis dans le fond du baril et vous n’en sortirez jamais de cette catastrophe !

 

 Les mouches à merde de Chengriha lboual Mouloud ,Zkhria 75, Vengelis et tous les harkis de service ,votre putain de bled arriéré et sous développé est entrain de s’effondrer et capituler après la magistrale claque que lui a infligé le royaume Chérifien au conseil de sécurité, une défaite cuisante du bourricot Lahmamra et le porc Bellani, un échec cuisant du régime mafieux et sanguinaire des caporaux et à leur tête Chengriha l’ignare et en plus analphabète, ce criminel de guerre qui a égorgé des milliers d’algériens durant la décennie noire et personne n'en parle ! ... 

Le mafieux régime nauséabond n’a vu que le feu dans la résolution du conseil de sécurité est allé pleurniché chez les russes pour sauver la face mais c’est sans compter sur les alliés du Maroc qui ont refuser catégoriquement toute modification, ce qui montre que même l’allié russe est désarmé et inneficace devant la force diplomatique du royaume. Bon maintenant parlons un peu du gazoduc Maghreb Europe que les caporaux viennent de fermer ,et bien la raison principale est la chute drastique des réserves confirmées de gaz .la production est constamment en baisse depuis 2003 ,selon les experts Algeriens et internationaux, ces réserves seront complètement épuisés vers 2030 .la fermeture du gazoduc Maghreb-Europe dont la capacité est 13,5 milliards de m³ et la migration vers le gazoduc Medgaz dont la capacité est 8 milliards de m³ ne peut s’expliquer que par une très
grande diminution des réserves réelles,car s’il s’avère que la SONATRAQ a une capacité d’export de plus de 8 milliards de m³ vers l’Espagne ça s’appelle tirer une balle dans le pied. Donc dans les deux cas c’est une sombre perspective qui attend le bled harki qui basculera probablement vers le scénario Vénézuélien. Bon concernant le Maroc et contrairement à ce que véhicule la propagande harki ,l’impact sur production électrique du royaume Chérifien sera insignifiante car seulement 9% de cette production par le gaz est assurée par deux centrales électriques, la centrale de Tahddart d’une puissance de 550 mégawatts qui sera transformée au fuel et la centrale Ain beni Mathar a cycle combiné ( énergie solaire et gaz ) d’une puissance de 450 mégawatts, cette dernière verra son cycle à gaz transformé au charbon. 

La production énergétique au Maroc est basée sur un mix constitué de 37% d’énergie renouvelable (solaire, éolien et hydraulique), de 45% d’électricité a base de charbon et 18 % à base d’hydrocarbures (fuel, gaz et pétrole).

Donc la fermeture de ce gazoduc n’aura aucun impact sur la production électrique nationale. Mieux que ça encore ceci va pousser le gouvernement à accélérer les deux projets énergétiques : Gas to power & Gas to industry, ces deux projets dont les études sont très avancées et sont en phases finales pour les débuts d’exécution. 

Ça consiste à exploiter les gisements de Tendrara, Larache et Mescala dans la région d’Essaouira, même si c’est trois gisements sont de petite et moyenne taille, leur exploitation tous les trois assurera au Maroc une autosuffisance pour les 60 années à venir, la stratégie Gas to power & industry consiste en la construction d’un réseau de pipelines et gazoduc qui seront reliés au gazoduc Maghreb Europe situé sur le territoire Marocain et qui est devenu propriété de l’état Marocain selon les closes du contrat signé en 96 entre le royaume du Maroc, l’Algérie et l’Espagne, ce réseau sera couplé à une flotte de camions-citernes méthanier et au transport ferroviaire pour acheminer le gaz produit depuis les trois sites gaziers marocains. 

Une infrastructure de dernière génération sera mise en place pour la transformation du gaz en GNL et GPL pour faciliter son transport et stockage. 

Donc vous voyez sales harkis , esclaves de Taboune cocaïne et Chengriha le pisseur, pendant que votre régime est aveuglé par la haine du Maroc, enragé par un ridicule droit de passage du gazoduc de quelques millions de dollars, ce droit ( royalties) qui s’applique dans tout les pays du monde n’est pas une faveur du régime harki et les livraisons de gaz au Maroc se faisaient aux prix courants sur le marché mondial, contrairement aux mensonges du régime mafieux et ses relais nauséabonds de propagande, donc je disais que le Maroc est très avancé dans sa stratégie gazière et associé à de solides partenaires réussira sûrement sa stratégie qui sera opérationnelle début 2024

 

 

 

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