Voici les armes biologiques conçues pour tuer uniquement les personnes d’une race particulière !

 

Voici les armes biologiques conçues pour tuer uniquement les personnes d’une race particulière !

Ceci n'est pas un complot ni une fake news.                                  C'est un fait. 

En effet, le Guardian a dévoilé dès 2019, et dans l'indifférence générale, que des armes biologiques ont été conçues pour tuer uniquement les personnes d'une race particulière.

L’Université de Cambridge avertit que le monde doit se préparer à une arme biologique qui cible les groupes ethniques sur la base de la génétique.  Les scientifiques avertissent que les humains devraient craindre d’être anéantis par un agent pathogène tueur spécifiquement conçu pour tuer les personnes d’une race particulière, en fonction de leur matériel génétique (ADN).

Un nouveau rapport du Centre pour l’étude du risque existentiel de l’Université de Cambridge indique que les gouvernements du monde ont échoué lorsqu’il s’agit de se préparer contre des menaces telles que les armes biologiques futuristes alimentées par l’intelligence artificielle (IA) et la manipulation génétique. De telles armes auraient le pouvoir de cibler un ADN spécifique et de tuer certaines races de personnes en laissant indemnes d’autres pans de la population.

Imaginez qu’il soit pulvérisé sous la forme de la conspiration du chapeau en papier d’aluminium des chemtrails et qu’il anéantisse certaines parties de la population. Les auteurs avertissent : « La technologie devient de plus en plus sophistiquée à des prix toujours plus bas, démocratisant la capacité de nuire plus rapidement et plus mortellement. Dans un cas particulièrement grave, une arme biologique pourrait être construite pour cibler un groupe ethnique spécifique en fonction de son profil génomique ».

Une arme biologique est tout agent infectieux, tel qu’une bactérie, un virus ou une toxine, qui est utilisé intentionnellement pour infliger des lésions corporelles à des personnes, des animaux ou la nature. Ils peuvent être utilisés pour causer des pertes massives, des perturbations sociales, des pertes économiques et des problèmes environnementaux comme moyen de guerre ou de terrorisme. Les armes biologiques sont difficiles à manipuler après leur libération car ce sont des agents infectieux qui se propagent de manière incontrôlable au-delà de la zone cible.

Les développements scientifiques rapides et les détournements possibles des réalisa-tions scientifiques pour créer des armes biologiques en font un domaine de préoccupation croissante pour la communauté du désarmement.

La seule utilisation majeure confirmée d’armes biologiques a été l’attaque japonaise contre la Mandchourie dans les années 1930. Cependant, le nombre d’États ayant des programmes de guerre biologique a été estimé entre 16 et 20. Le nombre d’États ayant la capacité de fabriquer des armes biologiques est supérieur à 100. En raison du secret avec lequel ces programmes sont menés et du fait que les installations de production d’armes biologiques sont plus faciles à dissimuler que celles des armes nucléaires et chimiques, il est difficile de savoir exactement combien d’États possèdent des armes biologiques ou de détecter des programmes d’armes biologiques. Un autre problème est la nature à double usage de nombreuses installations; il est difficile de distinguer les usages défensifs des usages offensifs.

Les armes biologiques sont considérablement moins chères que les armes nucléaires et chimiques et ont un rapport effet/quantité important. En d’autres termes, une quantité relativement faible d’agent biologique peut causer un nombre relativement important de décès – équivalent, selon certaines évaluations, à ceux résultant de l’utilisation nucléaire. Ils ne nécessitent pas de systèmes de livraison complexes et leur facilité de fabrication augmente avec les progrès de la science.

Compte tenu de leur prix abordable, de leur efficacité et de leur flexibilité, les armes biologiques sont de plus en plus considérées comme une option attrayante par les acteurs non étatiques, faisant du bioterrorisme l’une des principales menaces concernant ce type d’armes. L’utilisation d’agents biologiques pour forcer l’éradication de la production de drogue est promue par les USA, notamment en Colombie.

Les États-Unis développent des agents infectieux qui tuent les plantes médicinales. Cette stratégie controversée comporte de grands risques de saper les interdictions internationales sur les armes biologiques, de présenter des risques pour la santé humaine et de poser des dangers pour l’environnement. Le Protocole de Genève de 1925 a interdit l’utilisation des armes biologiques ainsi que des armes chimiques. Cependant, il contient de sérieuses limitations : il n’interdit pas le développement, la production et le stockage d’armes biologiques, et certains pays affirment le droit de riposter s’ils sont attaqués avec des armes biologiques.

La Convention sur les armes biologiques et à toxines (BTWC), entrée en vigueur en 1975, a complété le Protocole de Genève. C’était le premier traité multilatéral de désarmement à interdire la production et l’utilisation de toute une catégorie d’armes. La BTWC compte actuellement 165 États parties et 12 signataires. Il vise à interdire le développement, la production, le stockage, l’acquisition, la conservation, le transfert et l’utilisation d’armes biologiques par quiconque.

Cependant, contrairement à la Convention sur les armes chimiques, le traité manque de procédures de vérification et de conformité, et il n’y a pas d’organe de mise en œuvre pour surveiller le respect. Une tentative a été faite en 1991 pour établir un système de vérification, mais les pourparlers ont échoué en raison essentiellement d’un retrait de la coopération des États-Unis. Plusieurs développements dans les années 1990 ont révélé que la BTWC n’empêche pas les États de mener des programmes d’armes biologiques (exemple : la Russie et l’Irak, tous deux signataires de la Convention avaient mené des programmes clandestins d’armes biologiques) montrant que le régime actuel est inadéquat.

Pour lutter efficacement contre la menace des armes biologiques, il faut un certain nombre d’actions qui se renforcent mutuellement, notamment un régime d’interdiction renforcé et une volonté politique accrue. 

Au fil du temps, cela augmentera la transparence et renforcera la confiance que tous les États parties respectent la Convention, tout en dissuadant les contrevenants potentiels. 

Mais pour y parvenir, il faut une plus grande sensibilisation du public et des pressions sur les gouvernements pour qu’ils durcissent le régime.

 

 

A lire demain sur Tradinews Maroc : 

- Le programme d’armes biologiques du Pentagone n’a jamais pris fin !

- L’ambassade américaine vient de retirer de son site web tous les documents relatifs aux laboratoires d’armes biologiques en Ukraine !

 

 

 

 

 

 

 


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