Crise économique : Des Marocains vendraient leurs reins en Turquie !
Vendre une partie de son corps pour survivre! Voilà quelque chose dont la survenue était, jusqu’à un passé récent, inimaginable au Maroc.
Mais il semble que les temps ont changé : Crise économique et changements de mœurs obligent.
Il parait en effet, d’après le journal Assabah dans son édition du jour relayée par le360, qu’un réseau de trafic d’organes s’est établi entre le Maroc et la Turquie pour assurer le prélèvement et la vente de reins pour la somme modique de 50.000 dirhams!
Détaillant le modus operandi, le journal rapporte que le voyage organisé touristique est l’une des techniques à laquelle ont recours des réseaux mafieux pour pour dissimuler leur trafic illégal.
Ainsi, les candidats à ce commerce illégal se rendent en Turquie en tant que touristes accueillis, dès leur arrivée, par des intermédiaires.
Pour détourner l’attention de la police turque, ces derniers les hébergent dans des hôtels classés et leur organisent même des voyages organisés dans ce pays. Comme la législation turque est très sévère vis-à-vis du trafic d’organes, puisque ce crime est passible de 15 ans de prison, ces réseaux fabriquent de faux papiers aux futurs donneurs avec la complicité de certaines cliniques.
Il parait en effet, d’après le journal Assabah dans son édition du jour relayée par le360, qu’un réseau de trafic d’organes s’est établi entre le Maroc et la Turquie pour assurer le prélèvement et la vente de reins pour la somme modique de 50.000 dirhams!
Détaillant le modus operandi, le journal rapporte que le voyage organisé touristique est l’une des techniques à laquelle ont recours des réseaux mafieux pour pour dissimuler leur trafic illégal.
Ainsi, les candidats à ce commerce illégal se rendent en Turquie en tant que touristes accueillis, dès leur arrivée, par des intermédiaires.
Pour détourner l’attention de la police turque, ces derniers les hébergent dans des hôtels classés et leur organisent même des voyages organisés dans ce pays. Comme la législation turque est très sévère vis-à-vis du trafic d’organes, puisque ce crime est passible de 15 ans de prison, ces réseaux fabriquent de faux papiers aux futurs donneurs avec la complicité de certaines cliniques.
Les mêmes sources soulignent que les Marocains séjournent dans ce pays pendant plusieurs semaines avant de subir le prélèvement de leurs reins.
Après l’opération, ces «patients» sont relogés dans d’autres hôtels et subissent des opérations esthétiques pour camoufler le commerce illégal initial.
Après l’opération, ces «patients» sont relogés dans d’autres hôtels et subissent des opérations esthétiques pour camoufler le commerce illégal initial.
Ce n’est qu’après avoir passé quelques jours de convalescence qu’ils retournent au Maroc où ils perçoivent 50.000 dirhams pour le rein vendu.
Le journal explique que la plupart des clients candidats à la transplantation de cet organe sont de richissimes arabes.
Le journal explique que la plupart des clients candidats à la transplantation de cet organe sont de richissimes arabes.
Ces demandeurs préfèrent subir ces opérations en Turquie où ils trouvent une importante logistique d’accueil dirigée par des réseaux organisés avec des médecins spécialisés dans la greffe d’organes.
Les statistiques officielles indiquent, en effet, que 20.000 patients attendent une transplantation de rein, tandis que 2.000 autres sont en attente pour une greffe du foie.
Les statistiques officielles indiquent, en effet, que 20.000 patients attendent une transplantation de rein, tandis que 2.000 autres sont en attente pour une greffe du foie.
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