POLLUTION : ZENATA, HAIN HAROUDA ET MOHAMMEDIA SONT AU BORD DE LA CATASTROPHE ÉCOLOGIQUE !


POLLUTION : Zenata, Hain Harouda et MOHAMMEDIA sont AU BORD DE LA CATASTROPHE ÉCOLOGIQUE !


Les cadavres de chiens, d’oiseaux plastiques, jonchent la plage, l’odeur est nauséabonde, les sables sont trop sales par le rejet de eaux usées et celle de l'industrie avoisinante. … 
En somme tous les ingrédients sont là pour une catastrophe écologique, avec tout ce que cela représente comme danger pour l’homme, pour la faune et pour la flore. 


mohammedia
 La bande de poussière noire est quotidienne sur la plage 
De la poussière noire, rejet de boues noires dans l’océan et des milliers d’habitants souffrant de maladies respiratoires : La ville de Mohammedia frôle la désastre écologique
Pourtant, la centrale thermique de l’ONEE continue de recevoir et d’emmagasiner des centaines de tonnes de charbon !!!
Depuis près de deux semaines, la paisible ville de Mohammedia, de Zenata, et Ain Harrouda sont au centre de la polémique. 
Tous les éléments d’une catastrophe écologique y sont en effet réunis, comme en témoignent les images publiées récemment par des acteurs associatifs. 

On y voit de la poussière noire et des déchets boueux charbonneux déversés directement dans la mer et par conséquent des eaux et du sable noircis sur les plages de la ville qui donnent froid dans le dos aux habitants. 
Un tiers d'entre eux souffre d’affections respiratoires notamment d’asthme, l’allergie et de toux chronique.

Dans son édition de ce mardi 23 mai dernier de l'année 2017, Assabah avait lancé l'Alerte et avait même publié un reportage sur cette catastrophe et la centrale thermique de l'Office national de l'eau et de l'électricité (ONEE) est pointée du doigt. 
Le quotidien écrit que le ruisseau noir qui part de la station jusqu’à la mer au niveau de la plage Oulad Hmimoune est surveillé par des agents de sécurité pour éloigner les curieux et les militants écologistes, vu l’impact de la vidéo qui a révélé cette pollution, véritable menace pour l’écosystème marin et la santé des baigneurs.

Assabah avait ajouté que les résidus noirs qui se répandent sur la ville de Mohammedia et Zénata n’épargnent aucune maison surtout dans les douars qui se situent à proximité de la station. 
Ceci, en dépit des protestations et des sit-in des différentes composantes de la société civile. 
Ce n’est qu’après la publication des photos-choc que les fumées noires dégagées par les cheminées de la centrale ont diminué.

D’après Assabah qui citait un acteur associatif, la réaction des autorités a été tardive. Ce qui a donné le temps aux responsables de la station de terrasser le ruisseau noir en le remblayant avec du sable. La station continue par ailleurs d'être alimentée quotidiennement par une dizaine de camions chargés de 330 tonnes de charbon.

Le quotidien rappelle que Nezha El Ouafi, secrétaire d’Etat chargée du développement durable, avait dépêché une équipe de la police écologique sur les lieux. Les enquêteurs ont découvert 4.000 taches noires à l’ouest de la plage proche du port. 

Des échantillons ont été prélevés pour être soumis à des analyses, au moment où une cellule a été créée pour veiller à une utilisation «plus propre du charbon» et à une meilleure gestion des déchets produits. 



Pour moi personnellement en tant que consultant en environnement, anti-criminalité environnementale, et également défenseur des droits de l'Homme.
J'ai constaté que les belles Vagues de Merdes et celle du mercure déversées en ces temps de Ramadan et aussi en ce moment ou ce confinement a été causé par le Coronavirus, qui lui peut contaminer les eaux usées et de nous créer des nouveaux clusters chez les habitants de Zenata, Ain Harrouda, Al Mansour, Paloma Beach, plage de Ait Hminoune et les avoisinants de cette plage qui risquent très gros avec cette catastrophique écologique en plus de l’épidémie du Covid-19. 
Nous avons averti toutes les organisations de la santé au niveau internationale, ainsi que le ministère de la santé, et les autorités locales de Ain Harrouda et la Kiyadat de Paloma Beach.


Bendriss Chahid
Consultant en communication


Une véritable catastrophe environnementale menace dangereusement la plage “Paloma”, aux environs de la capitale économique. Cette dite plage est située dans la commune urbaine de Ain Harrouda, à quelques kilomètres de Casablanca, et les eaux usées qui s’y déversent constituent les ingrédients principaux de ce désordre écologique et environnementale au niveau de écosystème marin. Le danger est que cette dernière a des conséquences néfastes et nocives, causées par les eaux usées qui ne sont pas traitées ! Et qui sont rejetées en plein mer.
Aujourd'hui Paloma plage est sinistrée par la démolition sauvage et anarchique des habitations de bord de mer en laissant les débris et les gravas emporter la mer ! Cette catastrophe est aussi causée par les déchets indsutriels de la Zone de Ain Harrouda et les eaux usées ménagers de l'habitat économique de Al Mansour I et Al Mansour II. Cependant, les riverains de la plage “Paloma”s’étonnent que les autorités compétentes ne lèvent pas la voix et ni le petit doigt pour dire stop à cette situation qui menace très dangereusement l'environnement, leur santé et celle de leurs enfants. ...                                                              En attendant que les hautes autoristés agissent pour mettre un arrêt difinitive à ce sacandale écologique et sanitaire.
Les citoyens aujourd’hui continuent à broyer du noir, tout en souhaitant qu’une oreille attentive à Rabat et réponde à leurs doléances et attentes.





Des usines qui n'épurent pas leurs eaux industrielles !

Comme pour Lesieur y a une station d’assainissement qui est installée depuis 2004 au cœur de l'usine. 
Les eaux traitées ou usées sont versées dans le réseau de Lydec. 
Coût du projet était fixé à : 20 millions de DH ! 
Pour une production propre dans les entreprises industrielles, Lesieur Cristal, l’une des grandes entreprises de production des huiles, de détergents et savonnerie, avait doté ses usines à Aïn Harrouda d’une station d'épuration des eaux industrielles rejetées par toutes les installations de production y compris le déchets de huile de palmes qui sont très dangereuses pour la faune et la flore. .... 
Cette démarche devrait concerner également toutes les usines nouvellement installées dans la nouvelle Zone industrielle de Ain Harrouda
La première des choses à faire en extra urgence c'est d'y songé en effet à obliger tous ces industrielles à moins polluer et à passer par des salle de traitement et dépuration des déchets de leurs productions et de leurs eaux usées toxiques. 
Ne pas faire la même catastrophe comme celle de Tanger au quartier industriel de Geznaya. ...





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