Parlement : Le PJD tire sur le Plan Maroc Vert d’Akhannouch !
Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la pêche / Archive - DR
Le PJD est revenu à la charge contre le Plan Maroc Vert. «Après son entrée en vigueur, il y a douze ans, il est temps d’effectuer une évaluation de ce Plan», a plaide le député de la Lampe Bouabid Labida lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, ce lundi 13 juillet.
«Le PMV a coûté un budget de 112 milliards de dirhams alors que le secteur agricole vit une situation difficile et critique», constate le parlementaire islamiste, notant que «la récolte des céréales, estimée cette année à 30 millions de quintaux, est la plus faible enregistrée ces dix dernières années, et le secteur de l'élevage connait un quasi-effondrement, notamment pour la volaille».
Le parlementaire a pointé également la suspension de l’irrigation dans certaines zones qui serait due «non pas seulement à la sécheresse mais aussi à la mauvaise gestion du ministère» de l’Agriculture, comme le rapporte le site du groupe PJD à la Chambre des représentants.
Dans son réquisitoire, le parlementaire pjdiste a égalemment invité Aziz Akhannouch à répondre aux critiques formulées dans le rapport de la Cour des comptes, publié en septembre 2019, et portant essentiellement sur des «dysfonctionnements» relevés dans la mise en place du Plan Halieutis.
Le pjdiste a saisi l'occasion pour décocher des flèches en direction des plans «Génération Green 2020-2030» et «Forêts du Maroc», présentés devant le roi Mohammed VI le 13 janvier à Agadir, soulignant qu’ils ont «été préparés sans aucune concertation avec le Parlement». La même observation a été exprimée par un député du PAM mais sur un ton plus diplomate.
Ces nouveaux griefs de la Lampe constituent le dernier épisode de la longue série de confrontations entre les islamistes et Aziz Akhannouch sur le PMV, Halieutis ou encore sur le fonds de développement du monde rural.
Dans sa réponse, le ministre de l’Agriculture et de la Pêche a estimé que le secteur agricole a montré sa capacité à faire face à la pandémie du coronavirus, se félicitant de l’approvisionnement des marchés de légumes, fruits, viandes et poissons.
Le PJD est revenu à la charge contre le Plan Maroc Vert. «Après son entrée en vigueur, il y a douze ans, il est temps d’effectuer une évaluation de ce Plan», a plaide le député de la Lampe Bouabid Labida lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, ce lundi 13 juillet.
«Le PMV a coûté un budget de 112 milliards de dirhams alors que le secteur agricole vit une situation difficile et critique», constate le parlementaire islamiste, notant que «la récolte des céréales, estimée cette année à 30 millions de quintaux, est la plus faible enregistrée ces dix dernières années, et le secteur de l'élevage connait un quasi-effondrement, notamment pour la volaille».
Le parlementaire a pointé également la suspension de l’irrigation dans certaines zones qui serait due «non pas seulement à la sécheresse mais aussi à la mauvaise gestion du ministère» de l’Agriculture, comme le rapporte le site du groupe PJD à la Chambre des représentants.
Dans son réquisitoire, le parlementaire pjdiste a égalemment invité Aziz Akhannouch à répondre aux critiques formulées dans le rapport de la Cour des comptes, publié en septembre 2019, et portant essentiellement sur des «dysfonctionnements» relevés dans la mise en place du Plan Halieutis.
Le pjdiste a saisi l'occasion pour décocher des flèches en direction des plans «Génération Green 2020-2030» et «Forêts du Maroc», présentés devant le roi Mohammed VI le 13 janvier à Agadir, soulignant qu’ils ont «été préparés sans aucune concertation avec le Parlement». La même observation a été exprimée par un député du PAM mais sur un ton plus diplomate.
Ces nouveaux griefs de la Lampe constituent le dernier épisode de la longue série de confrontations entre les islamistes et Aziz Akhannouch sur le PMV, Halieutis ou encore sur le fonds de développement du monde rural.
Dans sa réponse, le ministre de l’Agriculture et de la Pêche a estimé que le secteur agricole a montré sa capacité à faire face à la pandémie du coronavirus, se félicitant de l’approvisionnement des marchés de légumes, fruits, viandes et poissons.
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