Othmane Benjelloun prépare sa sortie de Bank of Africa.
Publié le 08 novembre 2024
La conjugaison de l’âge, 90 ans, et la perte récente de sa femme Leila Meziane, l’amour de sa vie et mère de ses deux enfants, restés toujours très loin de ses affaires, pousse de plus en plus le milliardaire marocain à accélérer à contre-méritée.
Ce brillant parcours peut finir à tout moment et la cession de son navire amiral et porte-étendard de Financecom changer de pavillon, secouant tout le microcosme du monde de la banque,des assurances,du transport …
La décision serait déjà prise et la cession de Bank of Africa, devenue un secret de Polichinelle, est en voie d’être actée avec l’entrée en lice de l’Etat dans son capital avec des prolongements directs sur les autres composantes de ce puissant groupe multi-sectoriel qui a le vent en poupe.
Une grande partie des prérogatives étant déjà confiée à son fidèle lieutenant et homonyme, Brahim Touimi Bengelloun, le vieux magnat a présidé il y a quelques semaines les conseils d’administrations des entités de Financecom, sans faire allusion ni donner un signe précurseur signifiant son prochain effacement ni évoquant, même en plaisantant l’après Sir Othmane.
Car le vieux patriarche ne plaisante jamais ou presque jamais en public, sauf à table en famille, selon l’aveu même de sa regrettée Leila qui confiait un jour dans un rarissime entretien avec la presse, qu’il lui arrivait de se tordre de rire avec son humour qu’il aurait perdu après son décès.
Nulle crainte des actionnaires sur la santé de la troisième banque du pays ni sur celle du maître toujours à bord qui,continuera avec le sentiment du devoir accompli, de suivre de loin l’évolution de l’empire qu’il a crée de toutes pièces après l’acquisition de la BMCE, la maison-mère, par la grâce de la privatisation qui lui a très bien réussi et qui lui permettra de se reposer sur ses lauriers.
Publié le 08 novembre 2024
La conjugaison de l’âge, 90 ans, et la perte récente de sa femme Leila Meziane, l’amour de sa vie et mère de ses deux enfants, restés toujours très loin de ses affaires, pousse de plus en plus le milliardaire marocain à accélérer à contre-méritée.
Ce brillant parcours peut finir à tout moment et la cession de son navire amiral et porte-étendard de Financecom changer de pavillon, secouant tout le microcosme du monde de la banque,des assurances,du transport …
La décision serait déjà prise et la cession de Bank of Africa, devenue un secret de Polichinelle, est en voie d’être actée avec l’entrée en lice de l’Etat dans son capital avec des prolongements directs sur les autres composantes de ce puissant groupe multi-sectoriel qui a le vent en poupe.
Une grande partie des prérogatives étant déjà confiée à son fidèle lieutenant et homonyme, Brahim Touimi Bengelloun, le vieux magnat a présidé il y a quelques semaines les conseils d’administrations des entités de Financecom, sans faire allusion ni donner un signe précurseur signifiant son prochain effacement ni évoquant, même en plaisantant l’après Sir Othmane.
Car le vieux patriarche ne plaisante jamais ou presque jamais en public, sauf à table en famille, selon l’aveu même de sa regrettée Leila qui confiait un jour dans un rarissime entretien avec la presse, qu’il lui arrivait de se tordre de rire avec son humour qu’il aurait perdu après son décès.
Nulle crainte des actionnaires sur la santé de la troisième banque du pays ni sur celle du maître toujours à bord qui,continuera avec le sentiment du devoir accompli, de suivre de loin l’évolution de l’empire qu’il a crée de toutes pièces après l’acquisition de la BMCE, la maison-mère, par la grâce de la privatisation qui lui a très bien réussi et qui lui permettra de se reposer sur ses lauriers.
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