L’imam Othman Al-Khamis : « Les non-musulmans doivent se convertir, payer un impôt ou mourir ! Les apostats doivent être mis à mort. » (Vidéo)

L’imam Othman Al-Khamis : « Les non-musulmans doivent se convertir, payer un impôt ou mourir ! Les apostats doivent être mis à mort. » (Vidéo)


L’imam Othman Al-Khamis : « Les non-musulmans doivent se convertir, payer un impôt ou mourir ! Les apostats doivent être mis à mort. » (Vidéo)


Dans sa séance hebdomadaire de fatwas, mise en ligne sur sa chaîne YouTube, le cheikh koweïtien Othman Al-Khamis a décrété que les apostats doivent être mis à mort.

Dans une vidéo mise en ligne le 9 janvier 2019, le cheikh Al-Khamis a déclaré que l’apostasie revient à mépriser l’islam. Dans une vidéo du 14 octobre 2015, il a affirmé que seuls les infidèles peuvent être réduits en esclavage, ajoutant que ceux qui ne vénèrent pas Allah doivent se convertir à l’islam, s’acquitter de la taxe de la jizya, être réduits en esclavage ou être combattus et tués.
Il a exhorté les musulmans à ne pas avoir honte de leur religion et à ne pas plaindre les apostats, Al-Khamis a ajouté qu’il ne faut pas avoir pitié des infidèles, qui sont punis pour avoir refusé d’obéir à Allah.
Extraits : [1] 
Le 9 janvier 2019 :
Othman Al-Khamis : On ne tue pas un apostat pour en faire [de nouveau] un musulman. Les apostats commettent un crime, comme les auteurs d’adultère. Si le coupable d’adultère est marié, il est lapidé. S’il n’est pas marié, il est flagellé. Si les conditions pour trancher la main d’un voleur sont réunies, on tranche les mains des voleurs. On tue les meurtriers. Ce sont toutes des peines pour les actes commis par ces gens. Il en va de même pour l’apostasie. Un individu qui commet l’apostasie est mis à mort. Pourtant, on le laisse [en vie] s’il se repent. […]
Un tel individu est puni, car l’apostasie équivaut à mépriser l’islam. Il est donc puni comme s’il maudissait le prophète Mohammed ou Allah. C’est pourquoi un apostat est tué. Il ne s’agit pas d’essayer de lui imposer l’islam. L’islam n’a pas besoin et ne veut pas de mercenaires. Nous ne disons pas : « Deviens musulman ou nous te massacrerons. » […] 
Le 14 octobre 2015
Othman Al-Khamis : Seuls les infidèles peuvent être réduits en esclavage. Les musulmans ne peuvent pas être réduits en esclavage. S’il y a des combats entre musulmans à cause de la fitnaou pour toute autre raison… Les musulmans ne doivent pas être réduits en esclavage. Seuls les infidèles peuvent être réduits en esclavage. […]
Je demande aux gens de ne pas avoir honte de leur religion et d’éviter de dire : « Non, cela appartient au passé, l’islam ne l’enjoint pas… » Non ! Soyez fermes dans votre religion, proclamez-la et dites : « Oui, c’est ma religion ! » Ceux qui ne veulent pas vénérer Allah devraient être réduits en esclavage, contraints de payer la taxe de capitation de la jizya, se convertir à l’islam ou être combattus. Ce sont les quatre options, et il n’y a pas de cinquième option. Premièrement, un individu est appelé à se convertir à l’islam : « Vénère Allah ! Allah t’a créé pour que tu puisses Le vénérer. » S’il dit : « Je ne veux pas vénérer Allah », nous lui disons : « Si tu vis sur la terre d’Allah sans Le vénérer, tu dois payer la jizya. » Mais s’il dit : « Je ne paierai pas la jizya ! »… S’il refuse de vénérer Allah ou de payer la jizya, nous lui dirons : « Nous n’avons pas d’autre choix que de te combattre. » Nous le combattons donc pour cette raison. Si nous le tuons, il va en Enfer, et si nous le capturons, il devient un esclave.
Dans un tel cas, il est réduit en esclavage de force. Etant donné qu’il a refusé de devenir volontairement un esclave respecté [d’Allah], il deviendra un esclave méprisable contre sa volonté. Il en va ainsi pour les gens qui ne vénèrent pas Allah. N’ayez pas pitié d’eux. Ce sont des infidèles qui refusent de vénérer Allah. Ils refusent d’obéir à Allah. Ils sont hostiles envers Allah et Le maudissent. On ne doit pas être aveuglé par la miséricorde envers les ennemis d’Allah. 

Ce sont des agresseurs. Cela équivaut à faire preuve de miséricorde envers un criminel qui tue des gens, leur vole leur argent, viole l’honneur de leurs femmes et leur fait du mal… Puis quelqu’un viendrait et dirait : « Il est vrai qu’il a tué cinq ou six personnes, mais nous devons être indulgents. » Non, on ne doit pas pardonner à une telle personne.

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