POURQUOI LES PAUVRES MUSULMANS DOIVENT RESTER PAUVRES



POURQUOI LES PAUVRES MUSULMANS DOIVENT RESTER PAUVRES.

Allah a prescrit l’aumône légale, la zakat, pour figer les pauvres dans leurs conditions misérables et de préserver les riches contre leurs velléités de rébellion. Allah a créé les pauvres comme il a créé les riches. 

Les pauvres sont voués à le rester. Ils sont condamnés à le rester, chercher à inverser le cours de leur destin, c’est aller contre la volonté d’Allah, et commettre ainsi une fitna prise dans le sens de trouble, révolte, sédition, agitation, désordre, chaos.
Les musulmans ne doivent pas détester ce qu’Allah a choisi pour eux. Les jeux sont faits avant même qu’ils ne soient nés. Allah a écrit leurs histoires de vie, ils doivent juste se conformer à ses préceptes et de ne rien changer à l’ordre social qu’il avait fixé. Allah les comble de ses biens comme les en prive. Le riche n’a pas acquis sa richesse de par ses propres moyens licites ou illicites, c’est une fadhl, une grâce, une faveur venant d’Allah « C’est là la grâce d’Allah, qu’il attribue à qui Il veut. » (Boukhâri et Mouslim). Le pauvre ne doit donc pas convoiter ce qu’Allah avait mis en dépôt chez le riche qui doit lui donner la zakat, variable selon le montant de sa fortune. 

Le Coran contient plus de 80 versets concernant la zakât et l’obligation de s’en acquitter. Cette aumône est considérée comme un droit des pauvres de prélever dans le surplus des plus riches.
« Soyez assidus à la prière, faites l’aumône, vous retrouverez auprès d’Allah le bien que vous aurez acquis à l’avance, pour vous-même. »(2,110)
« Prélève une aumône sur leurs biens pour les purifier et les rendre sans tache. »(9, 103)
La pauvreté est une épreuve, un test voulu par lui. Les pauvres doivent faire preuve de patience, sabr s’y résigner et se satisfaire de leur sort s’ils ne veulent pas finir éprouvés au feu de l’enfer(51, 13). Selon la Tradition mahométane, les pauvres ne seront pas seulement les élus du Royaume des cieux, ils entreront au paradis 500 années avant les riches.
Toute tentative de résilience est par conséquent un sacrilège. Les pauvres ne doivent accepter l’existence dont ils ont été gratifiée par Allah. Et les riches ont le devoir de les entretenir car « Allah fructifie la bouchée de nourriture que l’un d’entre vous a donnée en aumône comme l’un d’entre vous élève son chamelon ou son poulain; » selon un hadith rapporté par Aïcha
[cité par Ibn Hibban)
Rien n’est gratuit chez les riches musulmans, ils ne font jamais rien pour rien.
C’est un investissement pour l’au-delà. Si Allah ne leur avait pas promis un ajr, littérairement un salaire, ils ne le feront certainement pas.
Appatés par les perspectives d’une vie opulente et luxurieuse pour l’éternité, ils achètent des actions au marché boursier d’Allah en croyant réaliser une plus-value comme un boursicoteur qui spécule en bourse.
Sauf que ce dernier n’utilise pas la pauvreté comme effet de levier contrairement au musulman.
Le meilleur des hommes n’est pas celui qui œuvre pour le bien commun de l’humanité mais celui qui fait l’aumône aux pauvres aux yeux de Mahomet les aide à se complaire dans l’assistanat.
Le mendiant musulman lui-même n’est pas à court d’argument pour réduire les âmes musulmanes pour lui donner la petite pièce et ce qui lui donneront Allah le leur remboursera au centuple.
Heureux les musulmans « philanthropes » et « charitables » qui ne font pas la bien pour le bien mais ils pe font pour gagner les prébendes divines mais à condition que leurs dons ne soient destinés qu’aux seuls musulmans. Et la charité bien ordonnée commence toujours par ses coreligionnaires et si jamais ils tendent la main aux non-musulmans c’est par pur calcul prosélyte.

L’Abbé Pierre n’est pas musulman.