Analyse de l’hystérie et de la russophobie occidentale : Le monde de l’autre côté du miroir, descente dans le terrier du lapin blanc…
Pour toute personne rationnelle et sensée, le monde semble être devenu complètement fou, tout du moins le monde occidental. Le bombardement illégal mené en Syrie par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, fait partie de ces symptômes de l’hystérie collective, que les gens encore capables d’utiliser leur cerveau ont du mal à appréhender. À quoi joue-t-on ?
Même un excellent analyste comme , ne comprenant pas le côté réel, hystérique et irrationnel de cette russophobie qui frappe l’Occident, des élites, jusqu’au peuple via les journalistes. Une russophobie qu’il n’arrive pas à justifier totalement de manière rationnelle par des arguments du type « volonté de cacher la merde sous le tapis ».
L’Occident, qui se nomme lui-même pompeusement « communauté internationale », pour donner plus de poids à ces quelques dizaines de pays sur les presque 200 que compte le monde, a une nouvelle fois violé le Droit international dans lequel elle se drape, comme Tartuffe le faisait avec la dévotion.
Et monsieur Le Drian peut bien gloser sur la légitimité de l’action de la France dans ces frappes, si vous dites devant un juge que vous avez frappé un inconnu parce qu’il a prétendument frappé quelqu’un d’autre, le tout sans preuves solides, vous allez avoir des ennuis.
La France peut pérorer sur le prétendu blocage de l’ONU par la Russie pour justifier son « action », cela n’en rend pas moins la chose illégale. Si l’ONU a été créée c’est justement pour éviter de telles actions illégales comme celle que nos trois pseudo-Zorro ont mené en Syrie.
L’ONU est là pour régler par la discussion et la négociation ce qui se réglait avant par les armes. Si dès que les discussions n’aboutissent pas sur ce qu’ils veulent certains pays décident de n’en faire qu’à leur tête, en s’essuyant le derrière avec la Charte de l’ONU et le Droit international, alors à quoi servent-ils ?
À rien… Et c’est bien là que réside le danger de ce genre d’actions irréfléchies et stupides de l’Occident, qui, se croyant tout puissant et autorisé (par qui ?) à jouer les gendarmes du monde, bafoue les règles qui régissent le vivre-ensemble sur notre petite planète. Si ces règles ne sont plus respectées par une partie des « joueurs » alors pourquoi les autres devraient-ils continuer à les respecter ?
Les Islandais (qui sont très légalistes) ont un dicton qui s’applique parfaitement à ce qui se passe : « C’est avec des lois que l’on bâtit un pays, c’est en les bafouant qu’on le détruit ». Et ce qui est valable à l’échelle d’un pays l’est aussi à l’échelle du monde. C’est d’ailleurs l’avertissement que Vladimir Poutine a lancé après cette attaque.
« Dans le cas où des actions similaires faites en violation de la Charte de l’ONU se répétaient, cela provoquera inévitablement le chaos dans les relations internationales», a ainsi déclaré le président de la fédération de Russie.
À force de s’asseoir sur la Charte de l’ONU et les règles qui avaient été établies après la Seconde Guerre Mondiale pour éviter qu’un tel carnage ne se reproduise, l’Occident les vide complètement de leur substance jusqu’à les tuer en les dé-légitimant.
Sans parler du fait que Paris semble oublier que les États-Unis ont eux-aussi bloqué à plusieurs reprises le Conseil de sécurité de l’ONU (entre autre sur les questions concernant Israël), sans que cela n’émeuve le Quai d’Orsay.
Et ce alors qu’Israël s’est fait épingler par Human Rights Watch pour l’utilisation régulière de munitions au phosphore sur les zones habitées de Gaza, y compris un centre de l’ONU qui se trouve là-bas ! En trois ans ces munitions utilisées de manière illégale dans des zones où vivent des civils ont fait 12 morts et des dizaines de blessés (et les brûlures au phosphore sont tout sauf bénignes), dont des enfants.
Là contrairement au cas syrien, pas de déclaration outrée de Paris, Londres ou Washington, pas de menaces de bombarder Tel-Aviv pour faire cesser ces crimes de guerre, et ces violations de toutes les conventions internationales !
Quand Kiev bombarde la station d’épuration de Donetsk (remplie de plus de 200 tonnes de chlore servant à purifier l’eau) avec des munitions au phosphore de manière avérée et prouvée, où sont les cris d’orfraie du Quai d’Orsay ? Parce que de tels bombardements, en plus du risque de priver 1,5 millions de personnes d’eau potable, pourraient provoquer un véritable désastre sanitaire, humanitaire et écologique qui feraient bien plus que 40 morts non prouvés, si le bâtiment où est stocké le chlore prenait feu !!!
Quand l’armée ukrainienne vise délibérément les civils de manière répétée et régulière depuis quatre ans, et que les faits sont autrement plus étayés et prouvés que cette histoire d’attaque chimique à Douma qui s’est révélée être un faux monté de toutes pièces, nous n’avons pas vu les avions de Washington, Londres et Paris bombarder Kiev pour faire cesser le massacre dans le Donbass, dont le compteur est à bien plus de 10 000 morts !!!
Quand les États-Unis votent à l’ONU contre une résolution condamnant la glorification du nazisme (aux côté de l’Ukraine d’ailleurs), et que des pays de l’UE s’abstiennent de voter sur cette résolution, alors que l’Europe et la France en particulier ont souffert du Nazisme, où est la patrie des droits de l’homme ?
Quand les États-Unis et la Grande-Bretagne ont violé la Charte de l’ONU en attaquant l’Irak en 2003 sans mandat de l’organisation, le tout sur base d’informations complètement bidons, personne n’est allé bombarder Washington et Londres pour faire cesser cette guerre illégale qui a fait bien plus que 40 morts !!!
Quand l’Arabie Saoudite bombarde le Yémen, faisant des victimes civiles par dizaines à chaque bombardement (y compris dans des camps de réfugiés), et met en place avec d’autres puissances arabes un blocus du pays qui provoque la pire crise humanitaire de la planète (dixit l’ONU), avec 7 millions de personnes au bord de la famine et un million touché par le choléra, où sont les missiles et les avions occidentaux pour faire cesser ces atrocités ? Riyad n’a pas été noyée sous les bombes occidentales que je sache. Pourquoi ce deux poids deux mesures ?
Au nom de quoi ou de qui l’Occident se permet-il de jouer les gendarmes du monde, décidant qui est un dictateur et qui est un dirigeant acceptable ? Qui mérite d’être bombardé, et qui ne le sera pas sur base des mêmes crimes avérés ou imaginaires ? Quel pays mérite de subir un coup d’État parce que le dirigeant actuel ne fait pas ce qu’ils veulent, et quel autre peut garder son président ou son roi/prince, pourvu qu’il acquiesce aux quatre volontés de certains ?
Ce que je vais dire maintenant s’adresse aux Occidentaux, qu’ils soient membres de ces élites complètement folles, ou simples citoyens. Si je m’adresse à vous en disant « vous » et non « nous », c’est parce que j’ai déjà quitté mentalement et psychologiquement l’Occident bien avant de le quitter physiquement. Avant même de partir pour le Donbass, cela faisait des décennies que je ne me reconnaissais plus dans ce qui était ma « patrie », et que bon nombre de mes concitoyens m’étaient déjà aussi étrangers que les habitants d’une autre planète.
Personne, pas même Dieu, ne vous a donné autorité sur le monde. Vous n’êtes que quelques pays au milieu des nombreux autres que compte ce monde. Un monde qui n’est lui-même qu’un grain de sable dérivant dans l’immensité du cosmos aux côtés de milliards d’autres.
Vous n’êtes RIEN ! Ni gendarmes, ni dirigeants du monde, ni Dieu ! Rien ni personne ne vous a investi d’une mission (divine) vous accordant le droit de décider pour le reste des pays du monde de ce que doit être leur vie.
Au nom de quoi VOS règles seraient-elles celles qui doivent s’appliquer au monde entier ? Vous avez réellement cru que le monde tournait autour de votre petit nombril ? Encore une fois vous n’êtes RIEN ! Poussière vous étiez, poussière vous redeviendrez, tout le reste n’est que vanité des vanités. Les seules règles que le monde doit accepter de suivre sont celles que tous ont approuvé, c’est-à-dire la Charte de l’ONU et les conventions internationales. Vous savez, celles avec lesquelles vous vous torchez allègrement quand cela ne vous arrange pas ?
Il est temps pour vous tous d’ouvrir les yeux : l’époque de vos empires coloniaux glorieux est terminé ! L’empire romain a disparu, l’empire britannique s’est évaporé, l’empire français a été dissout, et l’empire américain est en pleine désintégration sous nos yeux. Rien n’est éternel en ce monde, rien n’est permanent ! Et les empires, comme les être vivants, naissent, vivent et meurent ! C’est inéluctable.
Votre monde, votre hégémonie s’écroule. Et vous êtes là à courir en rond, telles des poules hystériques à qui on a coupé la tête, sans comprendre que vous êtes déjà foutus. Non les ressources (restantes) du monde ne vous appartiennent pas ! Non vous n’avez aucun droit d’exproprier les peuples qui vivent sur les terres où elles se trouvent sous prétexte que vous en avez besoin, que vous êtes prétendument des démocraties et eux non, et que vous avez la puissance militaire pour prendre par la force ce qui vous intéresse (ce qui n’a rien de démocratique malgré toutes vos gesticulations et votre propagande bien huilée pour déguiser tout cela sous des buts humanitaires) !
La période d’hégémonie à laquelle vous avez eu droit avec la chute de l’URSS a pris fin. Oui la Russie, la Chine et d’autres ont décidé de mettre un terme à votre capacité de nuisance en développant leurs moyens de défense pour ne plus être les cibles faciles de votre avidité.
Et c’est en partie ça qui vous rend aussi fous. Comme un sale gosse à qui ses parents n’ont jamais dit non, vous tapez une crise d’hystérie, hurlant et vous roulant par terre, avant de frapper votre malheureux voisin de bac à sable qui a commis le crime de refuser de vous donner son râteau ! Et quand d’autres enfants du bac à sable s’interposent calmement, vous hurlez de plus belle, menaçant de vous en prendre à eux, au lieu de comprendre et d’admettre que vous êtes en tort, et que vous feriez mieux de vous comporter correctement plutôt que de continuer à jouer les terreurs.
Pourquoi une réaction aussi puérile de la part de gens censés être des « élites », des « gouvernants », et même des journalistes et donc normalement des gens avec un minimum d’intelligence ? Sont-ils tous débiles, ou tous mûrs pour l’asile psychiatrique ? C’est là qu’Emmanuel Todd échoue dans toute sa rationalité à comprendre ce qui semble totalement illogique.
C’est parce qu’Emmanuel Todd cherche de la logique et de la rationalité là où il n’y en a pas, c’est-à-dire dans des réactions qui tiennent du subconscient bien plus que de la décision consciente.
Tout le monde a des névroses plus ou moins profondes, des désaccords entre son subconscient (son moi profond) et son conscient (sans parler de la persona, c’est-à-dire l’image que l’on veut donner de nous même aux autres, l’hypocrisie personnelle et collective venant ajouter une dose de conflit). Et en Occident, ceux qui courent après le pouvoir (et l’obtiennent assez souvent) sont parmi les plus névrosés, le pouvoir et l’argent agissant comme des calmants puissants pour apaiser leurs angoisses existentielles issues de ces conflits violents qui existent entre les différentes parties de leur psyché, sans régler le problème de fond.
En face d’eux, ils ont des dirigeants d’une toute autre carrure. Comme l’a très bien dit Todd, les dirigeants russes sont d’un niveau intellectuel très supérieur aux dirigeants occidentaux. Et surtout d’une bien plus grande sagesse issue de leur pragmatisme et de leur plus grande honnêteté. Poutine est le premier à pointer régulièrement ce qui ne va pas en Russie, sur quoi il a échoué. Même devant les médias occidentaux. Dans cette fameuse interview donnée à NBC le mois dernier il pointe le fait que beaucoup de Russes vivent encore en dessous du seuil de pauvreté, et il dit que nombreux problèmes sont toujours non résolus.
Il ne nie pas la réalité comme le font les dirigeants occidentaux, pour qui tout va très bien dans le meilleur des mondes si nous les écoutons. Et surtout il applique la règle du « je fais ce que je dis », qui va totalement à l’encontre de la règle du « deux poids deux mesures » appliquée par l’Occident.
La Russie promeut le Droit international en montrant l’exemple avec une patience exemplaire, car Poutine a bien compris que ce n’est qu’ainsi que le message peut passer : en mettant en accord les paroles et les actes, pas en faisant le contraire de ce qu’on dit. Son intervention en Syrie s’est faite sur une base totalement légale, en respectant la Charte de l’ONU, et elle essaye de trouver une solution politique au conflit en mettant les différentes factions autour de la même table.
De même pour la réintégration de la Crimée au sein de la fédération de Russie, qui n’en déplaise aux esprits chagrins pro-OTAN s’est bien faite en conformité totale avec le Droit international (allez ouvrir la Charte de l’ONU, et surtout allez ouvrir un livre d’histoire et regardez quels ont été les résultats du référendum qui a eu lieu en Crimée en 1991 et de celui de 1994).
Et sur le dossier du conflit dans le Donbass, c’est la Russie qui a fait son maximum pour qu’ait lieu une discussion directe entre Kiev, la RPD et la RPL, qui a aussi poussé pour obtenir les accords de Minsk, et qui continue aujourd’hui de faire son maximum pour qu’ils soient appliqués, là où Paris et Berlin se contentent de déclarations molles et souvent à côté de la réalité (comme lorsque la France a repris cette rhétorique ukrainienne délirante de la Russie pays agresseur).
Et c’est cela l’élément qui manque à Emmanuel Todd pour finir son analyse. La Russie de par son comportement qu’elle veut le plus droit et honnête possible, joue le rôle de miroir pour les pays occidentaux. Un miroir qui leur renvoie l’image hideuse de ce que l’Occident donneur de leçons (qu’il n’applique pas à lui-même) est devenu, par opposition à ce que la Russie incarne désormais. Et je dis cela sans angélisme aucun. Poutine n’est pas un ange, mais un homme pragmatique et droit (autant qu’on peut l’être dans sa position), et la Russie n’est pas un pays parfait, mais un pays qui croit en certaines valeurs qu’elle est prête à défendre, avec patience et détermination (et tenter d’empêcher que la situation ne dérape en nouvelle guerre mondiale et ne finisse en conflagration nucléaire en fait partie, d’où la très grande patience et retenue des Russes que beaucoup prennent pour de la faiblesse). Rien ni personne n’est parfait en ce monde.
Mais quand les pays qui se vantent d’être des démocraties, virent de plus en plus à la dictature tout en imposant leurs règles au monde, et se retrouvent face à un pays qui fait l’exact opposé de ce qu’elles font, tout en appliquant ce qu’elles clament défendre, c’est là qu’on atteint le point de dissonance cognitive.
Et on en revient à cette histoire de névrose. Il n’y a rien de pire pour un névrotique que d’être mis brutalement face à ses contradictions internes. Car la plupart des gens ne sont pas assez honnêtes avec eux-mêmes pour faire face au reflet que leur renvoie le miroir. Ils préfèrent se cacher, faire comme s’ils n’avaient rien vu, ou pire, casser le miroir, pour ne plus avoir à faire face à ce reflet hideux de ce qu’ils sont réellement !
Et par son insistance à défendre le Droit international, jusqu’à presque l’incarner de manière symbolique et psychologique, la Russie est devenue ce miroir qui brandit devant les yeux de l’Occident le reflet putride de ses vanités et de ses crimes commis au nom de ces mêmes vanités. Et comme tout névrosé atteint à un stade avancé, l’Occident réagit de manière hystérique, préférant cracher, et même tenter de détruire le miroir, plutôt que de régler le problème à la source.
Vous pouvez insulter le miroir, le couvrir pour ne plus le voir, ou le casser, cela ne changera rien à la réalité, c’est-à-dire à ce que vous êtes devenu : un empire sur le déclin, décadent et névrotique, dévoré par ses contradictions internes et son incapacité à se remettre en question et à admettre la réalité.
La planète dispose de ressources limitées, la façon dont nous vivons actuellement n’est pas soutenable sur le long terme, et vous ne pourrez pas vous accaparer ce qui reste pour continuer encore un peu à avoir votre « dose ».
Je m’adresse là à tous, simples citoyens, journalistes et élites politiques. Dans votre fuite en avant complètement folle pour ne pas voir ce reflet putride dans le miroir, vous êtes prêts à provoquer un conflit d’envergure mondiale à coup de déclarations et d’actes complètement hystériques parce que vous n’êtes tout simplement pas capables de vous remettre en question !!!
L’être humain est prétendument l’animal le plus intelligent sur cette planète. Cessez de l’affirmer comme étant une vérité établie, alors que vos actes quotidiens prouvent le contraire ! Prouvez-le ! Servez-vous de votre cerveau, pour l’amour de Dieu !
Pour une fois dans votre vie, faites face au miroir, acceptez le reflet pas très reluisant qu’il vous renvoie, faites lui face, et décidez de changer ce qui ne va pas chez vous plutôt que d’essayer de détruire le miroir ! La Russie n’est pas responsable de l’état déplorable de l’Occident et des valeurs qu’il prétend défendre (tout en les foulant aux pieds). Vous en êtes tous individuellement et collectivement responsables ! Oui VOUS !
Et ne venez pas me bassiner avec ces histoires du « ils ont le pouvoir, nous non » ! Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux, disait très justement Étienne de La Boétie ! Arrêtez de vous traîner à genoux en vous plaignant que vos genoux vous font mal ! Relevez-vous ! Vous êtes des milliards, ils sont quelques milliers ! Ils n’ont aucun super pouvoir, ils n’ont que le pouvoir que VOUS leur conférez ! Leur seul pouvoir est celui que VOUS LEUR DONNEZ !
Et si vous croyez qu’à vous seul vous ne pouvez rien faire, rappelez-vous que ce sont de petites gouttes de pluie qui rassemblées finissent par former des fleuves puis des océans immenses, dont la force est incommensurable. Mais pour cela il vous faut d’abord faire en sorte que le reflet que vous renvoie le miroir vous donne envie de vous regarder dedans. Et ça il n’y a QUE VOUS qui puissiez faire sur vous-même le travail nécessaire !
Nous sommes aujourd’hui à la croisée des chemins. Vous avez le choix ! Laisser faire des élites et des peuples complètement névrotiques, jusqu’à la destruction mutuelle, pour du pétrole, du gaz, des métaux, des morceaux de papier, et un peu de pouvoir qui calme leurs angoisses existentielles ; ou prendre votre destin et celui du monde en main, pour offrir à vos enfants un avenir meilleur dans un monde plus équilibré.
À vous de décider si vous voulez descendre dans le terrier du lapin blanc et passer de l’autre côté du miroir, où si vous préférez rester dans vos illusions rassurantes, jusqu’à ce que la Matrice dans laquelle vous vivez s’écroule sous le poids de ses contradictions internes et des contraintes du monde réel, et que le train fou dans lequel vous vous êtes embarqué va s’écraser contre le mur de la réalité au milieu du champ de ruines que sera devenu le monde.
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