L’AFFAIRE LAFARGE : AU CŒUR DU ‘SCÉNARIO DU DIABLE » DES ÉTATS ET SERVICES OUEST-EUROPÉENS AVEC LES DJIHADISTES !

L’AFFAIRE LAFARGE : AU CŒUR DU ‘SCÉNARIO DU DIABLE » DES ÉTATS ET SERVICES OUEST-EUROPÉENS AVEC LES DJIHADISTES !

L’AFFAIRE LAFARGE : AU CŒUR DU ‘SCÉNARIO DU DIABLE » DES ÉTATS ET SERVICES OUEST-EUROPÉENS AVEC LES DJIHADISTES !
UNE ENQUETE DE LUC MICHEL :
TOUT CE QUE DISENT ET SURTOUT NE DISENT PAS LES MEDIAS DE L’OTAN (DONT
LA SÉLECTIVITÉ POSE QUESTION) …
Avec Syria Committees Website - Le Point/
« On peut donc légitimement se demander, étant donné les contacts
réguliers entre Lafarge et la DGSE, comment cette dernière pouvait ne
pas être au courant de l'étendue des activités de Lafarge en Syrie. Et
à quel point la DGSE, qui dispose de moins de filtres que la
diplomatie, en a rendu compte au chef de l'État français »
Matthieu Fauroux (journaliste, Réalisateur du docu
« Lafarge : les sombres affaires du roi du ciment »).
L’affaire Lafarge, dossier emblématique de ce « scénario du diable »
que les états et les services occidentaux jouent avec les djihadistes
depuis la guerre d’Afghanistan des Années ’80 (où les soviétiques
défendaient les intérêts vitaux de la civilisation européenne contre
l’alliance obscène du « McWorld » et du « Djihad »). Et où l’UE se
noie depuis les agressions contre la Libye et la Syrie ! Voilà une
firme française de premier plan qui fait « des affaires » avec Daech
et finance les terroristes. Avec la complicité de l’Etat français et
de ses services secrets, officiels et parallèles (un monde de
barbouzes, où apparaît aussi le FN) …
* Sur le « scénario du diable »,
Lire mon interview pour SITA :
INTERVIEW DE LUC MICHEL PAR LE SITE ARABE ‘SITA INSTITUTE’ :
DJIHADISMES – TERRORISME – IMMIGRATION. QUAND L’AGENDA PROCHE-ORIENTAL
S’IMPOSE EN EUROPE …


# « SYRIE : LAFARGE AURAIT SERVI D'INFORMATEUR AUX RENSEIGNEMENTS
FRANÇAIS » (LE POINT)
« Syrie : Lafarge aurait servi d'informateur aux renseignements
français », titre ‘Le Point’ (Paris) : « Les procès-verbaux d'audition
de l'ancien directeur de la sûreté de Lafarge en Syrie montrent que le
renseignement français n'ignorait rien de la situation du cimentier ».
Extrait 1 :
« Depuis l'affaire syrienne, l'image de Lafarge n'est plus synonyme de
fleuron de l'industrie française, mais de scandale d'État. Et plus
l'enquête ouverte en juin 2017 pour « financement du terrorisme »
contre le groupe avance, plus il apparaît que l'État français avait
parfaitement connaissance du pacte financier conclu entre le géant du
ciment et l'État islamique (EI) pour maintenir coûte que coûte
l'activité de son usine de Jalabiya, située à 90 kilomètres au nord de
Raqqa. »
Selon les « procès-verbaux d'audition de l'ancien directeur de la
sûreté de Lafarge, l'Hexagone savait tout « de la réalité du
financement » du groupe terroriste par la firme battant sous pavillon
tricolore. « Je ne faisais aucun tri dans les informations que je
donnais aux services des renseignements. Au cours des réunions, j'ai
donné toutes les informations », aurait en effet confié Jean-Claude
Veillard à la juge Charlotte Bilger, qui l'interrogeait le 12 avril.
L'homme de 64 ans, qui fait partie des sept personnes mises en examen
dans l'affaire, aurait rencontré à 33 reprises les différents services
de renseignements extérieurs et intérieurs en 2012 et 2014. Une
période au cours de laquelle Lafarge est soupçonné d'avoir versé près
de 5,6 millions de dollars à diverses factions armées par
l'intermédiaire du Syrien Firas Tlass, dont plus de 500 000 dollars à
Daech, selon un rapport rédigé en avril à la demande de Lafarge par le
cabinet américain Baker McKenzie et révélé par Le Canard enchaîné.
Lorsque la juge lui demande s'il était la seule source de la DGSE,
Jean-Claude Veillard répond : « Dans cette partie de la ­Syrie,
j'aurais la prétention de le croire (…) Depuis l'affaire syrienne,
l'image de Lafarge n'est plus synonyme de fleuron de l'industrie
française, mais de scandale d'État. Et plus l'enquête ouverte en juin
2017 pour « financement du terrorisme » contre le groupe avance, plus
il apparaît que l'État français avait parfaitement connaissance du
pacte financier conclu entre le géant du ciment et l'État islamique
(EI) pour maintenir coûte que coûte l'activité de son usine de
Jalabiya, située à 90 kilomètres au nord de Raqqa. Selon Libération,
qui a eu accès aux procès-verbaux d'audition de l'ancien directeur de
la sûreté de Lafarge, l'Hexagone savait tout « de la réalité du
financement » du groupe terroriste par la firme battant sous pavillon
tricolore. « Je ne faisais aucun tri dans les informations que je
donnais aux services des renseignements. Au cours des réunions, j'ai
donné toutes les informations », aurait en effet confié Jean-Claude
Veillard à la juge Charlotte Bilger, qui l'interrogeait le 12 avril.
L'homme de 64 ans, qui fait partie des sept personnes mises en examen
dans l'affaire, aurait rencontré à 33 reprises les différents services
de renseignements extérieurs et intérieurs en 2012 et 2014. Une
période au cours de laquelle Lafarge est soupçonné d'avoir versé près
de 5,6 millions de dollars à diverses factions armées par
l'intermédiaire du Syrien Firas Tlass, dont plus de 500 000 dollars à
Daech, selon un rapport rédigé en avril à la demande de Lafarge par le
cabinet américain Baker McKenzie et révélé par Le Canard enchaîné.
Lorsque la juge lui demande s'il était la seule source de la DGSE,
Jean-Claude Veillard répond : « Dans cette partie de la ­Syrie,
j'aurais la prétention de le croire ». »
Extrait 2 :
« Selon Veillard, qui a été candidat sur la liste FN aux municipales à
Paris en 2014, cette transparence entre une entreprise située dans une
zone sensible du globe et le renseignement français n'est pas un cas
unique. Loin de là. « Mon point d'entrée pour la DGSE était le point
d'entrée pour toutes les entreprises, qui n'était pas spécialement
dédié pour Lafarge en Syrie », aurait-il dit aux juges, comme le
rapportent nos confrères du Monde. Et outre la DGSE, Jean-Claude
Veillard ne manquait pas de contacts auprès de la DGSI et de la
Direction du renseignement militaire (DRM). « Ils étaient intéressés
par mes informations, ils n'avaient pas d'informations sur la
situation dans cette région de la Syrie », justifie-t-il. »
* Lire sur :
(attention Média de l’OTAN ! Lire avec esprit critique …)
# LA DGSE AU CŒUR DU SCANDALE LAFARGE
En mars 2018, "Complément d’enquête" révèlait déjà des contacts
réguliers entre le cimentier, accusé d'arrangements avec Daech, et les
services secrets français : « l'enquête révèle que le leader mondial
du ciment, fleuron de l'industrie française, a maintenu en activité,
jusqu'à septembre 2014, son usine de Jalabiya, située à 90 kilomètres
au nord de Raqqa, au prix d'arrangements avec plusieurs groupes armés,
dont Daech, qui a proclamé son bref « califat » à cheval sur la Syrie
et l'Irak en juin 2014. S'appuyant sur des courriels envoyés par la
direction de Lafarge, des témoignages d'anciens employés, ainsi qu'un
laissez-passer tamponné par le directeur des finances de la « wilaya »
(région) d'Alep de l'État islamique, daté du 11 septembre 2014,
l'enquête du Monde montrait que des accords avaient été conclus, via
des intermédiaires, avec Daech pour permettre aux camions transportant
les matériaux de traverser sans encombre les checkpoints tenus par les
djihadistes. De la même manière, le cimentier avait acheté, toujours
via une tierce personne, du pétrole raffiné à l'État islamique pour
faire fonctionner son usine de Jalabiya. Au total, le cimentier
français aurait versé, de juillet 2012 à septembre 2014, environ 5,6
millions de dollars à diverses factions armées par l'intermédiaire du
Syrien Firas Tlass, dont plus de 500 000 dollars à Daech, selon un
rapport rédigé en avril à la demande de Lafarge par le cabinet
américain Baker McKenzie et révélé par Le Canard enchaîné. »
* Lire sur :
(attention Média de l’OTAN ! Lire avec esprit critique …)
"Complément d’enquête" lève surtout le voile sur « la partie la plus
obscure du dossier » : que savait exactement le Quai d’Orsay sur ce
qui se tramait entre Lafarge et Daech ? Le gouvernement français
a-t-il fait pression pour que l’entreprise reste en Syrie malgré le
danger ? Un diplomate y sort de l’ombre pour dénoncer la position
ambiguë de l’Etat français …
* Voir sur :


# BARBOUZES – TRAITRES SYRIENS – FN :
CE QUE NE DISENT PAS ‘LIBERATION’ ET ‘LE POINT’ SUR LES DESSOUS DE L’AFFAIRE LAFARGE
Avec les généraux (traîtres) Manas et Firas Tlass on est au cœur des
barbouzeries françaises contre Damas. Et du monde interlope qui
gravitent autour de certaines factions du FN français (celles liées
aussi aux excroqueries de son financement, mais aussi au PS et à
l’Affaire Cahuzac).
L’ ex général Manaf Tlass, fils indigne d’un des fondateurs du Ba’ath
syrien, plus haut gradé à avoir déserté, avait appelé à l’été 2012
(avec l’appui médiatique de … Libération et des ses réseaux du FN,
curieux attelage barbouzard) les Syriens à « s’unir (…) pour
construire une nouvelle Syrie (sic) », dans une première déclaration
publique depuis sa défection le 6 juillet. Le général félon, qui
disposait de réseaux en France, notamment dans la fraction affairiste
du FN autour de Marine Le Pen, et surtout de relations à la DGSE,
pensait alors pouvoir jouer un rôle important comme pion de la
politique franco-américaine en Syrie. La famille – un des cousins
Abdul Razzaq Tlass … était un des premiers chefs de la pseudo ASL –
avait choisi semble-t-il une fuite politique personnelle, où les
calculs financiers jouent le rôle principal (notamment la
non-confisquation de leur patrimoine financier détenu en France). La
famille est propriétaire d’un important patrimoine en France, un
chantage du gouvernement français sur la confiscation de celui-ci
n’est sans doute pas à exclure. En Libye, en avril 2011, Moussa
Koussa, ministre, avait lui aussi choisi la trahison pour préserver
son patrimoine aux USA … Ce général félon, qui n’a pas seulement
trahit l’Armée syrienne mais aussi son ami d’enfance Bashar al Assad,
contrôlait alors un des principaux sites français de « soutien a la
Syrie », aussitôt fermé …
* Voir sur SYRIA COMMITTEES WEBSITE :
EX GENERAL FELON MANAF TLASS : ATTENTION TRAHISON !
* Et surtout en Anglais :
FORMER GENERAL MANAF TLASS : WARNING BETRAYAL! (LAST DEVELOPMENTS)
Un des romans géopolitiques à clé de feu Gérard de Villiers,
correspondant de la DGSE (qui se servait de ses livres pour des
opérations de désinformation), dans la série des SAS
Retour sur mes analyses de 2012 :
* Voir sur SYRIA COMMITTEES WEBSITE :
ON NE SAIT PLUS QUI TRAHIT QUI… “ … “LE CHEMIN DE DAMAS” OU L’
EX-GENERAL FELON MANAF TLASS CHEZ SAS ?
De Villiers avait publié en juin 2012 un double roman de la série SAS
sur les événements de Syrie, intitulé “LE CHEMIN DE DAMAS” (suivant
l’expression tirée de la conversion au Christianisme de l’apôtre
Paul). L’intrigue était que les USA cherchaient pour écarter Bachar Al
Assad du pouvoir un traître dans son le cercle intérieur des
dirigeants ba’athistes … Un scénario qui collait étroitement à la
trahison de l’ex-général félon Tlass ! Le plus haut gradé de l’armée
syrienne a avoir fait défection, issu de la puissante famille Tlass
dont fait partie un des fondateurs du Ba’ath syrien et compagnon du
père de Bachar, Haffez El Assad. « On ne sait plus qui trahit qui… »,
écrivait alors de Villiers …
Avec le scandale Lafarge, la famille Tlass resurgit, et toujours dans
l’orbite de la DGSE. « L’homme d’affaires syrien Firas Tlass (…) en
exil, est le partenaire minoritaire de Lafarge Cement Syria (LCS) »,
explique ‘Le Monde’. Se maintenir dans le pays sous Daech a un prix: «
LCS monnaye la sécurité de ses employés en versant «de 80 000 à 100
000 dollars» par mois à un intermédiaire, Firas Tlass, ex-actionnaire
minoritaire de l'usine, qui ventile ensuite les fonds entre
différentes factions armées, a relaté Bruno Pescheux, directeur de la
cimenterie de 2008 à 2014. Cela représentait pour l'EI «de l'ordre de
20 000 dollars» par mois, a-t-il précisé. En contre-partie,
l'organisation d'Abou Bakr al-Baghdadi édite en mai 2014 un
laissez-passer: «Prière d'autoriser le ciment venant de Lafarge à
passer les barrages», d'après une source proche de l'enquête. Et, le
29 juin, le jour-même où l'organisation autoproclame «le califat», une
rencontre est organisée entre un de ses cadres et le responsable de la
sécurité de la cimenterie » … Un cadre du FN !
# QUE VIENNENT FAIRE ME BOURDON ET LES RESEAUX SORÖS DANS CETTE AFFAIRE ?
A un moment de l’affaire Lafarge, on voir surgir l’omniprésent Me
Bourdon et sa galaxie d’Ong, liées aux Réseaux Sorös. Ces ONG accusent
Lafarge d'avoir financé L'EI en Syrie. Le cimentier Lafarge est alors
visé par la plainte de deux ONG et d'anciens employés qui l'accusent
d'avoir financé le groupe jihadiste Etat islamique (EI) pour
maintenir, en pleine guerre, l'activité d'un site en Syrie :
* Voir sur :
En ce début 2018, on voit à nouveau Me Bourdon intervenir dans le
dossier de Daech … Il est alors devenu l’avocat de djihadistes
français capturés et poursuivis en Irak !
* Voir sur :
A savoir que Sorös, qui n’est pas le « philanthrope » (sic) présenté
par l’officine de désinformation ‘Wikipedia’, mais a amassé, par la
spéculation sur les monnaies, la constitution d’un « empire minier »
en Amérique Latine et en Afrique et l’ingénierie fiscale, une fortune
de 34 milliards de dollars ! Sorös, dont la main droite (celle du
financier) n’ignore rien de ce que fait la gauche (les soi-disant
Ong), est engagé dans une guerre économique, et notamment une guerre
des mines en Afrique, où il tire à boulets rouges sur les intérêts
économiques français et en particulier ceux de la Françafrique …
« Grise est la théorie. 
Mais vert est l’arbre de la vie » disait le
vieux Goethe …

Commentaires