Les projets énergétiques ‘‘verts’’ qui ont pris du retard au Maroc

Les projets énergétiques ‘‘verts’’ qui ont pris du retard au Maroc



Suite aux résultats encourageants enregistrés au Maroc avec notamment la mise en exploitation de l’ensemble du complexe solaire Noor Ouarzazate (580 MW), Le Roi Mohammed VI avait donné ses instructions lors d’une séance de travail présidée par le Souverain en novembre 2018, afin de réviser à la hausse les ambitions initialement projetées en matière d’énergies renouvelables qui sont ainsi appelées à dépasser l’objectif actuel de 52 pc du mix électrique national à l’horizon 2030.

Le Roi avait aussi souligné la nécessité d’adopter un programme intégré additionnel visant à adosser à toutes les stations de dessalement d’eau programmées, des unités de production d’énergies renouvelables permettant de leur assurer une autonomie et des économies énergétiques et ce, en s’appuyant prioritairement sur les gisements disponibles à proximité des stations, à l’instar de l’éolien à Dakhla, voire même l’exploration de nouvelles sources d’énergie telle que la transformation énergétique des déchets (la Biomasse) dans les grandes métropoles comme l’agglomération de Casablanca.


Et dans le cadre du suivi régulier du Roi de ce secteur stratégique, le Souverain a présidé ce jeudi, comme annoncé hier soir par Infomédiaire Maroc, une séance de travail dédiée exclusivement à la stratégie des énergies renouvelables, ai cours de laquelle le Roi a relevé un certain nombre de retards pris dans l’exécution de ce vaste projet avant d’attirer l’attention sur la nécessité de faire aboutir ce chantier stratégique dans les délais impartis et suivant les meilleures conditions, en agissant avec toute la rigueur requise.

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