Poutine menace d’attaquer l’Arabie Saoudite si les USA continuent de bombarder la Syrie.
Selon le quotidien The European Union Times, le président russe Vladimir Poutine
a distribué aux forces armées russes un « ordre d’action urgente »
autorisant « une frappe militaire de grande envergure contre l’Arabie
Saoudite au cas où les menaces occidentales contre la Syrie seraient exécutées»
La situation internationale est particulièrement tendue. Les
gouvernements américain, français et britannique soufflent le chaud et
le froid depuis la soit-disant « attaque chimique du président syrien
contre son peuple ».
Plusieurs sources (russes, israéliennes, syrienne, américaines) indiquent que les frappes pourraient commencer dès demain, à l’aide de missiles Tomahawks. Ces missiles sont de type « sol-sol », c’est-à-dire qu’ils sont conçus pour être tirés du sol (en l’occurrence, depuis des destroyers américains), pour viser une cible également au sol.
En cas d’attaque contre la Syrie, Poutine
attaquerait l’Arabie Saoudite.
Plusieurs sources (russes, israéliennes, syrienne, américaines) indiquent que les frappes pourraient commencer dès demain, à l’aide de missiles Tomahawks. Ces missiles sont de type « sol-sol », c’est-à-dire qu’ils sont conçus pour être tirés du sol (en l’occurrence, depuis des destroyers américains), pour viser une cible également au sol.
Il faut préciser que, auparavant,
l’Arabie Saoudite avait fait une « proposition qu’on ne peut pas refuser
» à la Russie : ou bien la Russie
lâche Damas, et obtient ainsi des gains et des avantages sur le
contrôle du marché pétrolier mondial, ou bien c’est l’Arabie Saoudite
qui lâchera ses hordes de terroristes tchétchènes sur les J.O. d’hiver
en Russie. L’information peut paraître surprenante, mais elle tout de même révélée par le journal britannique The Telegraph.
À noter que l’Égypte a annoncé, par le biais du général Abdel-Fattah al-Sissi, qu’aucun bateau de guerre n’aurait le droit de passer par le canal de Suez, pour attaquer la Syrie.
Aujourd’hui, le Conseil de Sécurité de l’ONU examinait une résolution rédigée par la Grande-Bretagne à l’encontre de la Syrie. La Chine et la Russie ont claqué la porte du conseil en cours de session.
Nul doute qu’ils opposeront leur Véto dans les prochains jours, lorsque cette résolution sera soumise au vote…
Aujourd’hui, le Conseil de Sécurité de l’ONU examinait une résolution rédigée par la Grande-Bretagne à l’encontre de la Syrie. La Chine et la Russie ont claqué la porte du conseil en cours de session.
Nul doute qu’ils opposeront leur Véto dans les prochains jours, lorsque cette résolution sera soumise au vote…
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