Union constitutionnelle : Mohamed Sajid ne fait plus l’unanimité.
C'est au tour de Mohamed Sajid de
faire face à une fronde au sein de son parti.
Plusieurs figures de l’Union constitutionnelle (UC) montent, en effet, au créneau pour dénoncer la gestion du secrétaire général qui semble avoir, selon eux, d’autres priorités que le parti du Cheval.
Al Ahdath Al Maghribia et Akhbar Al Yaoum, qui évoquent le sujet dans leurs éditions du lundi 2 octobre, rapportent ainsi qu’un mouvement de contestation, au sein du parti, dénonce le «statu quo» que vit l’UC depuis que Mohamed Sajid en a pris les commandes, il y a de cela deux ans.
Plusieurs instances du parti sont, en effet, gelées depuis 2015, ce qui n’est pas pour rassurer les partisans. Les détracteurs de Sajid, qui ont constitué leur propre mouvement au sein du parti, considèrent d'ailleurs que la gestion actuelle de l’UC ne respecte pas les statuts du parti qui prévoient, par exemple, la tenue de sessions régulières.
Certains vont jusqu’à critiquer la manière dont l’UC a géré les négociations pour la constitution du gouvernement, vu que Mohamed Sajid «n’a pas respecté les recommandations des autres leaders du parti et a préféré prendre des décisions d’une manière unilatérale».
La crise au sein de l’UC n’en est certes qu’à ses débuts et le secrétaire général peut encore la désamorcer. Cependant, elle témoigne de l’ampleur de la crise que vivent plusieurs partis, particulièrement ceux de la majorité gouvernementale.
De quoi pousser leurs dirigeants à se remettre en cause et à se rappeler que les fonctions gouvernementales ne doivent pas les empêcher d’assumer leurs responsabilités envers leurs partis.
Plusieurs figures de l’Union constitutionnelle (UC) montent, en effet, au créneau pour dénoncer la gestion du secrétaire général qui semble avoir, selon eux, d’autres priorités que le parti du Cheval.
Al Ahdath Al Maghribia et Akhbar Al Yaoum, qui évoquent le sujet dans leurs éditions du lundi 2 octobre, rapportent ainsi qu’un mouvement de contestation, au sein du parti, dénonce le «statu quo» que vit l’UC depuis que Mohamed Sajid en a pris les commandes, il y a de cela deux ans.
Plusieurs instances du parti sont, en effet, gelées depuis 2015, ce qui n’est pas pour rassurer les partisans. Les détracteurs de Sajid, qui ont constitué leur propre mouvement au sein du parti, considèrent d'ailleurs que la gestion actuelle de l’UC ne respecte pas les statuts du parti qui prévoient, par exemple, la tenue de sessions régulières.
Certains vont jusqu’à critiquer la manière dont l’UC a géré les négociations pour la constitution du gouvernement, vu que Mohamed Sajid «n’a pas respecté les recommandations des autres leaders du parti et a préféré prendre des décisions d’une manière unilatérale».
La crise au sein de l’UC n’en est certes qu’à ses débuts et le secrétaire général peut encore la désamorcer. Cependant, elle témoigne de l’ampleur de la crise que vivent plusieurs partis, particulièrement ceux de la majorité gouvernementale.
De quoi pousser leurs dirigeants à se remettre en cause et à se rappeler que les fonctions gouvernementales ne doivent pas les empêcher d’assumer leurs responsabilités envers leurs partis.
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