Vidéo. Conseil de la ville de Rabat : Nouvelles échauffourées entre PAM et PJD.
Une session extraordinaire du Conseil de la ville de
Rabat devait se tenir, hier mardi 15 août, avec à l'ordre du jour de
nombreux points importants restés en suspens.
Elle a finalement tourné
au vinaigre.
Le duel PAM-PJD a une nouvelle fois compromis les travaux.
C'est
sur demande du wali de Rabat que la session extraordinaire du Conseil
de la ville s'est tenue, hier mardi. L'objectif était de donner un coup
d'accélérateur à des projets d'envergure à l'instar de la nouvelle gare
routière, du parking souterrain, etc.
Mais le Conseil de la ville n'a pu aborder les points à l'ordre du jour. En cause: les protestations des élus du Parti authenticité et modernité (PAM). Lesquels s'en sont pris vigoureusement au maire de la ville, Mohamed Sadiki, estampillé Parti de la justice et du développement (PJD).
S'en est suivi un grand brouhaha.
Après une heure de joutes verbales, le président a demandé la levée de la séance. Quant aux projets d'envergure censés être discutés, ils ont été reportés sine die.
Pour rappel, ce n'est pas la première fois que des escarmouches entre PAM et PJD éclatent lors d'une session du Conseil de la ville de Rabat.
On s'en souvient, le 19 février 2016, des élus des deux partis en étaient venus aux mains.
Vraisemblablement, le discours royal du 29 juillet dernier n'a pas trouvé écho auprès de certains responsables qui gèrent la chose publique.
Mais le Conseil de la ville n'a pu aborder les points à l'ordre du jour. En cause: les protestations des élus du Parti authenticité et modernité (PAM). Lesquels s'en sont pris vigoureusement au maire de la ville, Mohamed Sadiki, estampillé Parti de la justice et du développement (PJD).
S'en est suivi un grand brouhaha.
Après une heure de joutes verbales, le président a demandé la levée de la séance. Quant aux projets d'envergure censés être discutés, ils ont été reportés sine die.
Pour rappel, ce n'est pas la première fois que des escarmouches entre PAM et PJD éclatent lors d'une session du Conseil de la ville de Rabat.
On s'en souvient, le 19 février 2016, des élus des deux partis en étaient venus aux mains.
Vraisemblablement, le discours royal du 29 juillet dernier n'a pas trouvé écho auprès de certains responsables qui gèrent la chose publique.
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