Enquête à Khémisset après les accusations de Najat Aatabou.
Suite à la diffusion de la vidéo de la chanteuse Najat Aatabou
dans laquelle elle accuse les autorités locales de khémisset d’avoir
dilapidé les deniers publics, le ministère de l’Intérieur a décidé
d’envoyer une inspection sur place.
L’information est rapportée aujourd’hui par le journal Assabah
qui affirme qu’une commission se rendra prochainement pour inspecter
les projets mis en place par le conseil municipal et tenter de clarifier
les dysfonctionnements observés dans le cadre des chantiers lancés dans
la ville.
Il est également question d’enquêter sur les responsables locaux que la chanteuse accuse de s’être enrichis sur le dos des citoyens et d’avoir reçu des pots-de-vin, ajoute le journal. Cette commission prévoit d’interroger la chanteuse ainsi que le président du Conseil municipal de Khémisset Abdelhamid Belflil sur l’affaire dite de la licence d’alcool.
Le maire accuse la chanteuse d’avoir publié la vidéo après le refus de la municipalité de lui accorder une licence d’alcool pour son restaurant, ce que l’interprète de « J’en ai marre » réfute catégoriquement menaçant de porter plainte.
Cette affaire trouve son origine dans la diffusion d’une vidéo dans laquelle la chanteuse populaire énumère les différents dysfonctionnements observés dans sa ville natale. On y voit un jardin sans espaces verts, des routes en chantier alors que des trottoirs venaient à peine d’être posés, des arbres plantés mais laissés à l’abandon.
Par MAP -Il est également question d’enquêter sur les responsables locaux que la chanteuse accuse de s’être enrichis sur le dos des citoyens et d’avoir reçu des pots-de-vin, ajoute le journal. Cette commission prévoit d’interroger la chanteuse ainsi que le président du Conseil municipal de Khémisset Abdelhamid Belflil sur l’affaire dite de la licence d’alcool.
Le maire accuse la chanteuse d’avoir publié la vidéo après le refus de la municipalité de lui accorder une licence d’alcool pour son restaurant, ce que l’interprète de « J’en ai marre » réfute catégoriquement menaçant de porter plainte.
Cette affaire trouve son origine dans la diffusion d’une vidéo dans laquelle la chanteuse populaire énumère les différents dysfonctionnements observés dans sa ville natale. On y voit un jardin sans espaces verts, des routes en chantier alors que des trottoirs venaient à peine d’être posés, des arbres plantés mais laissés à l’abandon.
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