Brigitte Macron gagne son procès en “diffamation” et empoche plein de fric au passage !

Brigitte Macron gagne son procès en “diffamation” et empoche plein de fric au passage !

Driiing, la sonnette du palais retentit. Un laquais tiré à 4 épingles, chaussé de brodequins aux boucles d’améthyste vient ouvrir la porte. C’EST LE FACTEUR !!!


Un courrier pour Madame Brigitte. C’est bien ici qu’elle crèche ?
Je vais le lui remettre, répond Dilal, le laquais endimanché.
Désolé, Monsieur, c’est personnel, il me faut une signature de la bénéficiaire.
Madame ne reçoit personne.

Ecoutez, mon brave, vous pouvez dire à votre patronne que j’apporte une bonne nouvelle, ça lui mettra peut-être le feu aux fesses.

Je vous envoie un de ses secrétaires… Madame se repose.
Faut que je vous le dise en bantou ou en ongota ? J’ai besoin de la nommée Brigitte Trogneux, épouse Macron, et vite, svp, j’ai pas que ça à faire. J’ai des colis Amazon à livrer.

Le préposé au courrier présidentiel fait les cents pas sur l’escalier de l’entrée. Arrive un jeune homme laqué-poudré-gominé, dans un Jonas & Cie gris marengo, il tend une main manucurée à l’agent des postes.

Vous voilà drôlement bien mis et me semblez êtes honnête, Monsieur, fait entendre l’agent des postes, mais c’est à la patronne que je dois remettre ce pli.

Explications :

Amandine Roy et Natacha Rey viennent d’être forcées par la JUSTICE de faire un virement de 8.000 € à Brigitte née Trogneux et un autre de 5.000 € à son frère Jean-Michel au titre de « préjudice moral » (un rien les touche…). Problème : personne ne veut/peut donner le RIB de JMT. Vous en dites quoi ?

(https://x.com/zoedesagan/status/1834201294656983427?s=03)

Le flouze doit donc être remis en mains propres à la supposée sœurette.

“Ce n’est pas une victoire, c’est une application normale de la loi“, a réagi Ennochi-le-rompu, avocat de Brichel, absente au délibéré comme au procès. Trop prise par ses obligations officielles.

Lors de l’audience en juin, il avait insisté sur le préjudice “énorme” causé par cette infox, qui avait “flambé partout” dans le monde. “Compte tenu de toutes ces reprises”, désormais, “nous poursuivons systématiquement” en justice. “Des poursuites sont en cours en France, et à l’étranger”, a-t-il précisé.

Je me demande si Candace est déjà au courant.

Pas en Belgique, j’espère, où j’ai notamment l’intention de poursuivre le combat.

La pauvre Natacha, sans moyens, gravement malade, va devoir débourser cette petite fortune, la célèbre usurpatrice, qui dispose de moyens INCOMMENSURABLES, va encaisser les sous (en double !). Le budget annuel de Brichel, avec son « statut », s’élève à 480.000 euros ! Six bureaux personnels, sept collaborateurs et une coiffeuse à 5.200 euros par mois…

Que va-t-elle en faire ?

Encore un appareil de bronzage, une nouvelle maquilleuse à domicile, des implants capillaires ? Peut-être quelques jours de vacances, mais franchement, avec 5.000 € on ne va pas très loin…..

Natacha, elle, n’a pas les moyens de payer les médicaments dont elle a un besoin urgent.

On s’attendait à ce genre de sentence, bien entendu, chacun sait que le nabot contrôle la justice, mais la nouvelle est dure à avaler.

Trêve de bavardage, je poursuis le dialogue :

Le gominé : nous avons interdiction de déranger la première dame.
Le facteur : La première quoi ?
Le gominé : l’épouse de Monsieur le président de la République française.
Le facteur, qui commence à en avoir plein les orteils : La loi, c’est la loi.

Le gominé : je suis absolument désolé, Monsieur le préposé, mais le rang de Madâme ne lui permet pas de frayer avec n’importe quoi.

Le facteur : Bon. Mais sa splendeur a le droit d’effleurer de ses doigts fins l’avis de passage que le n’importe qui a palpé de ses doigts de prolo ?

Le gominé : je m’assurerai de sa désinfection et le ferai repasser par les femmes de chambre de la première dame.
Le facteur : bien le bonjour à sa majesté ! Dites donc, on raconte de drôles de trucs sur la bourgeoise, vous êtes au courant ?

Le gominé : dehors, manant !

Et c’est ainsi que Brichel envoya une soubrette au bureau de poste du 51, de la Rue de la Boétie, pour prendre livraison du honteux montant.
Jamais billets de banque n’auront été utilisés à si mauvais escient.

Anne Schubert

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