La DGSN attire l’attention des journalistes au sujet de « la procédure » relative à la couverture médiatique « des opérations sécuritaires » au Maroc
Covid-19 – La DGSN attire l’attention des journalistes au sujet de « la procédure » relative à la couverture médiatique « des opérations sécuritaires » au Maroc
« Un homme averti en vaut deux », comme dit l’adage. Et pour cause, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a fait état de la mise en place de mécanismes institutionnels, centraux et régionaux, à la disposition des professionnels du secteur médiatique pour organiser la couverture médiatique des opérations sécuritaires, et plus particulièrement celles inscrites dans le cadre de l’application de l’état d’urgence sanitaire, a rapporté jeudi la MAP, citant un communiqué.
Selon ce communiqué de la DGSN: « Ces mécanismes, mis en place au regard des particularités des fonctions des services de la Sûreté nationale sur la voie publique et dans le souci de préserver les droits et libertés des citoyens et des éléments de la police, ont permis d’interagir activement avec l’ensemble des demandes de couverture médiatique émanant des établissements médiatiques nationaux et internationaux ».
La DGSN qui veille à faciliter les missions des supports médiatiques pour couvrir et filmer les interventions sécuritaires sur la voie publique, affirme que cette opération est régie par une procédure administrative qui requiert impérativement la coordination préalable avec les cellules préfectorales de communication, de manière à garantir le respect des règlements juridiques et éthiques réglementant le travail policier et journalistique.
Dans ce sens, la DGSN a fait savoir qu’elle a réagi, avec sérieux et positivité, au contenu d’un communiqué publié par la représentativité syndicale de la presse marocaine sur les tenants et aboutissants relatives au filmage par un journaliste d’un agent de police, alors qu’il exerçait ses fonctions dans l’application de l’état d’urgence sanitaire à Casablanca.
Les services de la DGSN ont procédé, durant l’état d’urgence sanitaire, à des opérations de contrôle sécuritaire des déplacements des citoyens, rappelle le communiqué, indiquant que lors de l’exercice de ces fonctions, les éléments de la police sont responsables de l’intégrité physique des citoyens et de leurs droits et libertés garantis par la loi, en l’occurrence, le droit à la protection des données à caractère personnel et la préservation de leurs photos et identités contre toute publication ou diffusion sans leur consentement, ajoute le communiqué.
« Un homme averti en vaut deux », comme dit l’adage. Et pour cause, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a fait état de la mise en place de mécanismes institutionnels, centraux et régionaux, à la disposition des professionnels du secteur médiatique pour organiser la couverture médiatique des opérations sécuritaires, et plus particulièrement celles inscrites dans le cadre de l’application de l’état d’urgence sanitaire, a rapporté jeudi la MAP, citant un communiqué.
Selon ce communiqué de la DGSN: « Ces mécanismes, mis en place au regard des particularités des fonctions des services de la Sûreté nationale sur la voie publique et dans le souci de préserver les droits et libertés des citoyens et des éléments de la police, ont permis d’interagir activement avec l’ensemble des demandes de couverture médiatique émanant des établissements médiatiques nationaux et internationaux ».
La DGSN qui veille à faciliter les missions des supports médiatiques pour couvrir et filmer les interventions sécuritaires sur la voie publique, affirme que cette opération est régie par une procédure administrative qui requiert impérativement la coordination préalable avec les cellules préfectorales de communication, de manière à garantir le respect des règlements juridiques et éthiques réglementant le travail policier et journalistique.
Dans ce sens, la DGSN a fait savoir qu’elle a réagi, avec sérieux et positivité, au contenu d’un communiqué publié par la représentativité syndicale de la presse marocaine sur les tenants et aboutissants relatives au filmage par un journaliste d’un agent de police, alors qu’il exerçait ses fonctions dans l’application de l’état d’urgence sanitaire à Casablanca.
Les services de la DGSN ont procédé, durant l’état d’urgence sanitaire, à des opérations de contrôle sécuritaire des déplacements des citoyens, rappelle le communiqué, indiquant que lors de l’exercice de ces fonctions, les éléments de la police sont responsables de l’intégrité physique des citoyens et de leurs droits et libertés garantis par la loi, en l’occurrence, le droit à la protection des données à caractère personnel et la préservation de leurs photos et identités contre toute publication ou diffusion sans leur consentement, ajoute le communiqué.
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