Nos ancêtres les Gaulois…


Nos ancêtres les Gaulois… heeuuu les extraterrestres – (1980)


Maurice Chatelain, ancien directeur de la Nasa, explique l'origine extraterrestre de l'humanité aux frères Bogdanoff, d'après les tablettes Sumériennes.
La censure du nouvel ordre mondial n'était pas encore implantée dans le monde à ce moment-là. On voit bien la différence avec la dictature financière française des 3 derniers présidents 38 ans plus tard.
Les années 80 étaient la belle époque mais je l'ignorais...
Oda
Ingénieur français, Chatelain arrive aux USA pour vivre et travaille pour North American Aviation, un sous-traitant de la NASA qui installe le système de communications d'Apollo. Cependant, lorsque Apollo 11 a alunit, Chatelain n'est plus employé par eux.

Déclarations fracassantes

En 1975, Chatelain publie un livre sur le thème d'une ancienne colonisation de notre planète par des extraterrestres (les "anciens astronautes") où il traite de l'Atlantide, révise le calendrier Maya, et Apollo 11, se présentant comme ancien responsable des systèmes de communications de la NASA, et l'un des concepteurs du programme Apollo
Dans son livre, il déclare avoir connaissance d'informations internes sur la mission Apollo 11 et les ovnis, et fournit la transcription supposée d'une conversation radio entre l'équipage et la base terrestre de la NASA, baptisée Mission Control :
Apollo 11 : Qu'est-ce que c'est ? Qu'est-ce que c'est, bon sang ! Je veux absolument le savoir. Les engins sont énormes, je vous dis... Mon dieu, mais c'est incroyable... Mission Control : Quoi...que se passe-t-il ?
Apollo 11 : Ils sont là, sous la surface.
Mission Control : Qu'est-ce qui se passe ? Mission Control appelle Apollo 11.
Apollo 11 : Affirmatif, nous sommes ici tous les 3. Et ils sont là depuis pas mal de temps, à en juger par les installations... Je vous dis qu'il y a d'autres vaisseaux spatiaux là-bas. Ils sont alignés de l'autre côté du cratère.
Selon Chatelain, Il existe bien dans notre ciel de mystérieux "objets volants non identifiés" pilotés par des êtres vivants d'une intelligence supérieure et qui possèdent une technique encore inimaginable pour nous . Il pense, après avoir étudié la périodicité des grandes "vagues" d'observations que les "pilotes" des engins extra-terrestres venant de civilisations de systèmes stellaires très éloignés profitent de la conjonction des 4 "grosses" planètes du système solaire : Neptune, Uranus, Saturne et Jupiter pour ralentir leur vitesse grâce à l'attraction gravitationnelle énorme des 4 planètes. D'abord en orbite autour de Titan, un des satellites de Jupiter, les engins venus d'ailleurs se mettraient ensuite en orbite d'attente autour de Mars avant d'atteindre, 800 jours plus tard, la proximité de la Terre .
Lors d'une interview donnée en 1979, il insiste sur le fait que la durée de transmission du dialogue entre Mission Control et Apollo 11 permettait techniquement à la NASA de censurer des informations. Il soutient par ailleurs que tout le monde à la NASA savait que les astronautes observaient des ovnis (dont Neil A. Armstrong qui en aurait vu 2 au bord d'un cratère), mais que la consigne était stricte : ne jamais en parler. Tous les vols Apolloet Gemini furent suivis, à distance et quelquefois de très près, par des vaisseaux spatiaux d'origine extraterrestre. A chaque fois, les astronautes en informaient Mission Control, qui leur enjoignait de garder le silence le plus complet, dira-t-il. Pour lui, il se peut que certains de ces ovnis soient issus de la lune de Saturne, Titan. Cette hypothèse se fonde sur un incident passé inaperçu, survenu au cours des années 1970s : une sonde de la NASA, en approche de Titan, connut une soudaine panne de tout son matériel photo et radio, a priori inexplicable.

Enquête

Lorsque James E. Oberg contacte les employeurs de Chatelain, il apprend que ce dernier n'était plus employé par eux lorsque Apollo 11 a atterri sur la Lune. S'il n'était plus employé par un sous-traitant de la NASA, il n'a pu être présent dans la "salle secrète" où il aurait pu entendre les communications confidentielles des astronautes à la surface de la Lune. Il était un ingénieur bas-niveau travaillant pour un sous-traitant de la NASA qui fabriqua les systèmes de communications d'Apollo. Son statut de "chef des communications" était faux.