Le Kremlin lance un ultimatum à Boris Johnson : soit vous étayez vos affirmations avec de vraies preuves, soit vous vous excusez.
Le Kremlin lance un ultimatum à Boris Johnson : soit vous étayez vos affirmations avec de vraies preuves, soit vous vous excusez.
Boris Johnson a creusé lui-même, avec le Royaume-Uni, un très grand trou.
Pas étonnant que le Royaume-Uni (et ses maîtres américains) tentent agressivement de corrompre de faire du lobbying auprès de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) afin de valider le mensonge au sujet de l’empoisonnement de Sergei Skripal et de sa fille.
Si May, Boris et le reste des marionnettes du gouvernement britannique ne parviennent pas à ce que l’OIAC incrimine la Russie pour l’empoisonnement qui a eu lieu à Salisbury, alors toute la mascarade du Deep State jouée par May et Boris s’effondrera complètement et causera beaucoup d’embarras au Premier ministre et à son cabinet de fous, qui investissent tant de capital politique dans le hoax de l’agent neurotoxique.
Gardez à l’esprit que l’OIAC a parfaitement bien réussi à étouffé les fausses « attaques d’armes chimiques de Assad » qui se sont révélées plus tard être effectuées par des « rebelles modérés » financés par les États-Unis, de sorte qu’il y a de bonnes chances pour que l’OIAC joue avec cette dernière histoire de « roman d’espionnage » de Deep State.
Pendant ce temps, le Kremlin passe à l’offensive. Le porte-parole Dmitry Peskov a envoyé un message clair au Royaume-Uni….soit le Royaume-Uni étayera ses affirmations sur l’implication de Moscou dans l’empoisonnement de l’ex-agent double Sergei Skripal et de sa fille, soit il devra s’excuser.
RT rapporte …
Le ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson, a déclaré lundi que la Russie avait tort de nier la responsabilité de l’empoisonnement de Skripal par un agent neurotoxique « . Le déni russe est de plus en plus absurde », a déclaré M. Johnson à la presse à Bruxelles. « C’est une stratégie russe classique … ils ne trompent plus personne », a-t-il ajouté.
Peskov a riposté en accusant le Royaume-Uni de « calomnie incompréhensible et déraisonnable » contre Moscou.
« Tôt ou tard, il devra rendre compte de ces allégations sans fondement, soit en les soutenant avec des preuves, soit en présentant des excuses », a déclaré le porte-parole du président russe.
Lundi dernier, le Premier ministre britannique Theresa May a confronté Moscou à un ultimatum pour révéler les détails du complot présumé de Skripal. Après que sa demande ait été rejetée, le Royaume-Uni a annoncé des sanctions contre Moscou, notamment l’expulsion de 23 diplomates, la limitation des relations diplomatiques et le gel des avoirs de l’État russe au Royaume-Uni.
En réponse, le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré samedi que 23 diplomates britanniques devaient quitter la Russie et que le British Council serait fermé en représailles pour « actions provocatrices et accusations sans fondement » sur l’empoisonnement de Skripal et de sa fille Yulia.
Lundi, le Royaume-Uni s’apprête à remettre des échantillons de l’agent neurotoxique utilisé dans l’empoisonnement de Skripal à l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC). Johnson a accusé dimanche la Russie de créer et de stocker l’agent neurotoxique du nom de ‘Novichok’ qui, selon Londres, a été utilisé dans l’attaque de Skripal. Le responsable britannique a affirmé que le Royaume-Uni avait « des preuves … collectées au cours des 10 dernières années » que Moscou développait des agents neurotoxiques « dans le but de commettre un meurtre ».
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova a rejeté l’allégation selon laquelle la substance, considérée comme une invention de l’ère soviétique, était un « projet » russe.
Elle a dit que dans l’ère postsoviétique, le Royaume-Uni, la Slovaquie, la République tchèque, la Suède et même les États-Unis ont étudié la substance avec un vif intérêt et pourraient être à l’origine de la toxine utilisée dans l’incident avec Skripal et sa fille.
Source : ici
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