Génocide à Gaza : Une grande manifestation à Rabat pour dénoncer la situation humanitaire catastrophique des palestiniens.

Génocide à Gaza : Une grande manifestation à Rabat pour dénoncer la situation humanitaire catastrophique des palestiniens.

"C'est une honte, Gaza est sous le feu", "Levez le blocus", "Maroc, Palestine, un seul peuple", ce sont les quelques slogans scandés par les manifestants réunis à l'appel de différentes organisations politiques et syndicales notamment les partis de gauche.

Pour les manifestants, "Israël commet un nettoyage ethnique à Gaza".

Plusieurs milliers de Marocains ont manifesté, dimanche 20 juillet 2025 à Rabat contre la situation humanitaire insoutenable et catastrophique des Palestiniens dans la bande de Gaza.
Les manifestants ont défilé sur l'une des principales avenues du centre-ville de la capitale en brandissant des drapeaux palestiniens et des pancartes appelant notamment à la fin du blocus israélien à Gaza.

"C'est une honte, Gaza est sous le feu", "Levez le blocus", "Maroc, Palestine, un seul peuple", ont scandé les manifestants réunis à l'appel de différentes organisations politiques et syndicales notamment les partis de gauche.

Les quelque deux millions de Palestiniens assiégés par Israël à Gaza sont au bord de la famine après plus de 21 mois de conflit, déclenché par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023.

"Les Palestiniens sont affamés et tués sous les yeux du monde entier. Il est de notre devoir de dénoncer cette situation dramatique insoutenable", a notamment déclaré l'un des manifestants.

Pour les manifestants, "Israël commet un nettoyage ethnique à Gaza. Et notre participation à cette manifestation est une manière d'amplifier la voix des Palestiniens", a-t-elle dit.

Plusieurs manifestations de grande ampleur ont eu lieu dans le royaume depuis le début de la guerre à Gaza, en soutien aux Palestiniens.

Le Maroc a officiellement appelé "à l'arrêt immédiat de la guerre israélienne sur Gaza", sans remettre en question la normalisation avec l’État hébreu.