Le Maroc "pays arabe le plus démocratique", selon l'Arab Reform Initiative.
Le Think Tank indépendant Arab Reform Initiative vient
de livrer la cinquième édition de son indice sur la démocratie dans les
pays arabes, le Maroc occupe de nouveau la tête du classement,
profitant notamment des répercussions de la Constitution de 2011.
Le
Maroc est, pour la quatrième fois consécutive, le pays qui se classe en
tête de l’indice de la démocratie dans les pays arabes, élaboré par le
think tank indépendant Arab Reform Initiative.
Cet indice évalue les degrés de démocratisation d’une dizaine de sociétés arabes, à savoir la Jordanie, l’Arabie Saoudite, la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, la Palestine, le Liban, le Koweït, le Bahreïn et l’Egypte.
Les rédacteurs du rapport expliquent que le Maroc tire aujourd’hui profit des multiples réformes engagées depuis la nouvelle Constitution de 2011, celle-ci ayant renforcé la stabilité politique et sociale du pays et contribué à une transformation démocratique.
L’indice du royaume s’établit à 735 points sur 1.000, ce qui le place devant les autres pays qui restent en dessous de la barre des 700 points. Cependant, le rapport précise que le retard dans la formation du gouvernement et le blocage politique qui s’en est suivi, et qui n’a pas été pris en compte par le Think Tank, aurait pu affecté le score du Maroc.
Le Maroc arrive en tête dans un contexte marqué par la dégradation du contexte démocratique dans plusieurs des pays étudiés. C’est le cas par exemple de l’Arabie Saoudite, pays qui se maintient dernier de ce classement, ou encore l’Egypte qui a connu la plus grave dégradation en raison de la persistance d’un contexte politique fragile.
En tout, le rapport note la dégradation des conditions démocratiques dans cinq des dix pays étudiés. En revanche, la Tunisie a su se démarquer en affichant la meilleure progression de cet indice.
Cet indice évalue les degrés de démocratisation d’une dizaine de sociétés arabes, à savoir la Jordanie, l’Arabie Saoudite, la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, la Palestine, le Liban, le Koweït, le Bahreïn et l’Egypte.
Les rédacteurs du rapport expliquent que le Maroc tire aujourd’hui profit des multiples réformes engagées depuis la nouvelle Constitution de 2011, celle-ci ayant renforcé la stabilité politique et sociale du pays et contribué à une transformation démocratique.
L’indice du royaume s’établit à 735 points sur 1.000, ce qui le place devant les autres pays qui restent en dessous de la barre des 700 points. Cependant, le rapport précise que le retard dans la formation du gouvernement et le blocage politique qui s’en est suivi, et qui n’a pas été pris en compte par le Think Tank, aurait pu affecté le score du Maroc.
Le Maroc arrive en tête dans un contexte marqué par la dégradation du contexte démocratique dans plusieurs des pays étudiés. C’est le cas par exemple de l’Arabie Saoudite, pays qui se maintient dernier de ce classement, ou encore l’Egypte qui a connu la plus grave dégradation en raison de la persistance d’un contexte politique fragile.
En tout, le rapport note la dégradation des conditions démocratiques dans cinq des dix pays étudiés. En revanche, la Tunisie a su se démarquer en affichant la meilleure progression de cet indice.
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