Sahara marocain. Sonné par ses cuisantes défaites, le régime vert-kaki rappelle le “Pitbull” Ramtane Lamamra

 

Sahara marocain. Sonné par ses cuisantes défaites, le régime vert-kaki rappelle le “PitbullRamtane Lamamra

 Le 11 Juillet 2021


Viré comme un malpropre le 31 mars 2019, Ramtane Lamamra vient d’être re-nommé ministre des Affaires étrangères dans le nouveau gouvernement dirigé par Aymen Benabderrahmane.

Le retour en grâce de celui que les médias algériens surnommaient “le Pitbull de la diplomatie” à coloration vert-kaki, intervient après une traversée du désert qui aura duré deux ans. 

 

Son pedigree de marocophobe impénitent, -c’est lui qui a mené le blitzkrieg contre le retour du Maroc au sein de l’Union africaine le 30 janvier 2017-, ferait de lui “l’homme providentiel” pour sauver les meubles, ou ce qu’il en reste, du bric-à-brac diplomatique algérien qui a réussi, sous le désormais ex-MAE Sabri Boukadoum, le plus retentissant fiasco de l’histoire des ratages.

Le vipérin Lamamra a d’ailleurs toujours agité sa fibre résolument anti-marocaine pour tenter de trouver grâce aux yeux du régime des généraux finissant, dont le tropisme anti-marocain n’est plus à démontrer.

Il n’est pas étonnant que le diplomate ait inoculé sa haine viscérale du Maroc à sa fille Amel Nisrine Lamamra. En 2013, la fille avait en effet commis une thèse de “doctorat” tout ce qu’il y a d’invraisemblable : “Conflit prolongé en Afrique: construction sociale de souveraineté et guerre au Sahara occidental” !!

Alors que le père venait d’être investi MAE par l’ex-“raïs” Abdelaziz Bouteflika, la fille se trouvait à l’université Cambridge, en Grande-Bretagne, pour soutenir cette pseudo-“thèse” dédicacée à la “république” sortie droit de l’imagination déjantée, de surcroît morbide,  de l’ancien colonel Houari Boumediene, de son vrai nom Mohammed Boukharrouba.

Ex-commissaire Paix et sécurité auprès de l’Union africaine (2008-2013), Lamamra avait transformé cette importante structure panafricaine en fer de lance des coups bas algériens les plus abjects et les plus sordides contre le Maroc, mettant à profit l’absence du Royaume de l’UA pour multiplier les actes hostiles à son intégrité territoriale.

S’il est certain que le “Pitbull” garde une DENT contre le Maroc, sa capacité de nuisance est dorénavant plus réduite. Ancien maître-d’oeuvre de “la diplomatie de la valise”, il ne peut compter sur les “largesses” qu’il distribuait à tout vent du temps de l’embellie financière pour acheter des “voix” au profit de la chimérique “rasd”. 

Il ne peut compter non plus sur ses relais américains, et pour s’en apercevoir, il n’est qu’à rappeler que les États-Unis s’étaient vivement opposés à sa candidature en 2020 au poste d'”émissaire de l’ONU en Libye”.

La reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara a porté le coup de grâce aux hallucinations de la “Issaba” tapie au Club des Pins, à Alger, et planté le dernier clou au cercueil de la surréaliste “rasd”.

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