Nous allons tuer 117 enfants pour sauver un enfant d’une mort par #COVID dans la tranche d’âge de 5 à 11 ans !

 

Nous allons tuer 117 enfants pour sauver un enfant d’une mort par #COVID dans la tranche d’âge de 5 à 11 ans !

Publié le 26 Décembre 2021

C’est ce qui ressort d’une analyse risques-avantages réalisée par le Dr Toby Rogers, expert en la matière. Son analyse a été consultée par plus de 22 000 lecteurs. Aucune erreur n’a été trouvée. Rien que des éloges.


Par Steve Kirsch − 5 novembre 2021 − Source Son blog

Le Dr Toby Rogers a déjà écrit un article populaire sur le sujet des bénéfices/risques. Ses références sont décrites ici.

Dans un article récent que j’espère que tout le monde lira ou au moins parcourra, il conclut : « Donc, pour faire simple, le plan de l’administration Biden tuerait 5 248 enfants par injections d’ARNm Pfizer afin d’éviter à 45 enfants de mourir du coronavirus. Pour chaque enfant sauvé par la vaccination, 117 autres seraient tués par la vaccination. »

C’est stupéfiant. Relisez cela.

On tue 117 enfants à cause du vaccin pour sauver un enfant du coronavirus.

Ce n’est pas une surprise pour moi.

Son calcul est très simple. Il a estimé le nombre d’enfants susceptibles de mourir du COVID et a supposé que les vaccins offrent une protection de 80 % contre tous ces décès. Il a extrapolé le taux de mortalité dû au vaccin à partir des données sur les décès des 12-24 ans du VAERS en utilisant un facteur de sous-déclaration prudent de 41. Ce n’est pas plus compliqué que cela. Pas besoin d’être un génie.

Les résultats du Dr Roger sont cohérents avec la littérature scientifique évaluée par les pairs, comme l’article de Kostoff qui conclut :

En clair, les personnes de plus de 65 ans ont cinq fois plus de chances de mourir de l’inoculation que du COVID-19 dans les hypothèses les plus favorables ! Ce groupe démographique est le plus vulnérable aux effets indésirables du COVID-19. Lorsque l’âge démographique descend en dessous de 35 ans environ, les risques de décès dus au COVID-19 deviennent très faibles, et lorsqu’ils descendent en dessous de 18 ans, ils deviennent négligeables.

L’article de Walach fait le même constat. Il vient d’être republié dans Science, Public Health Policy and the Law, une revue médicale évaluée par des pairs. L’article de Walach figure dans ce numéro, accompagné d’un éditorial cinglant du rédacteur en chef de la revue, qui explique comment les auteurs de l’article ont été maltraités par la communauté scientifique. 

James Lyons-Weiler écrit : « Quoi qu’il en soit, les auteurs du dernier article paru dans Science, Public Health Policy, & the Law (Walach et al.) ont été pris, comme du grain dans un moulin, dans une séance de torture absurde et alambiquée dans laquelle leurs détracteurs ont brisé toute logique et toute raison sur la question de savoir comment la société traite l’inférence causale entre l’exposition au vaccin et la maladie grave ou le décès. » 

James adorerait débattre avec quiconque n’est pas d’accord avec son éditorial, mais personne ne veut en parler.

Ils ne se soucient pas vraiment de savoir combien d’enfants ils tuent à cause des vaccins. Cela n’a tout simplement pas d’importance. Leur seul objectif est d’empêcher les enfants de mourir du COVID, quel que soit le nombre d’enfants tués par le médicament. La mortalité toutes causes confondues est totalement ignorée, même si la propre étude de Pfizer a montré que les décès par arrêt cardiaque étaient 4 fois plus nombreux dans le groupe ayant reçu le médicament.

Même s’il y a eu 20 décès dans le groupe qui a reçu le vaccin contre 14 décès dans le groupe qui a reçu le placebo, ils écrivent simplement que ce n’est « pas statistiquement significatif ». En d’autres termes, les données montrent que le médicament tue plus de personnes qu’il n’en sauve, mais l’étude n’a jamais eu la puissance nécessaire pour le mesurer. Ils peuvent donc dire « personne ne sait » tant qu’ils continuent à faire croire à tout le monde que les données du VAERS [Vaccine Adverse Events Reporting System] ne sont pas fiables (ce qui n’est pas le cas, comme je l’explique en détail ici).

Plus de 22 000 personnes ont lu l’analyse de Toby et personne n’a proposé une meilleure analyse ou détecté une erreur dans son analyse. Il n’y a eu que des compliments sur la qualité de l’analyse. En particulier, personne du Center for Disease Control ou de la Food and Drug Administration n’a signalé d’erreur.

 

Voici le contexte…

Le 24 septembre 2021, Toby a posté cette demande raisonnable sur Twitter :

Quelqu’un a-t-il calculé un Nombre Nécessaire de Traitement pour empêcher une mort par coronavirus grâce aux vaccins anti-coronavirus proposés ? C’est un nombre très important dans le cadre d’une politique sanitaire rationnelle mais je n’ai encore vu personne proposer son estimation. Veuillez partager si vous trouvez un lien.

Il a obtenu une réponse, mais pas à la question qu’il a posée. Il a écrit : « Pharma a envoyé une nuée de trolls pour m’attaquer et les hommes de main de Pharma ont publié des articles à charge sur moi, en dehors de Twitter, pour me punir d’avoir posé la question. 

Bien sûr, aucun des trolls de Pharma n’a fourni d’estimation du NNT pour les injections de COVID-19. Cela nous indique que nous avons exactement touché la cible ».

Puisque personne, pas même les trolls, n’a répondu avec des données, il a commencé à se pencher sur la question lui-même.

Il a ensuite écrit une série d’articles sur ce qu’il a trouvé, à savoir l’analyse risques-avantages des vaccins COVID actuels. Il a notamment examiné le cas de la cohorte des 5 à 11 ans, dont la vaccination vient d’être approuvée par la FDA.

J’aime Toby parce qu’il ne tire pas la couverture à lui quand il écrit. Il appelle un chat un chat. Voici quelques extraits de ses articles récents que tout le monde devrait connaître :

« Ainsi, le NNTV [Nombre Nécessaire de Traitement par Vaccination] pour prévenir un seul décès dans ce groupe d’âge est de 630 775 (28 384 878 / 45). Mais comme il s’agit d’un régime à deux doses, si l’on veut calculer le NNTV par injection, le chiffre double pour atteindre 1 261 550. C’est littéralement le pire NNTV de l’histoire de la vaccination. » [ Article ]

« Par où commencer avec l’absurde analyse bénéfice/risque de la FDA concernant le « vaccin » à ARNm COVID-19 de Pfizer chez les enfants âgés de 5 à 11 ans ? » [Article]

« L’analyse bénéfice/risque de la FDA en rapport avec la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) de Pfizer pour injecter son vaccin COVID-19 à des enfants âgés de 5 à 11 ans est l’un des documents les plus minables que j’ai jamais vus. » [Article]

« Le document « Guidance » du Center for Disease Control décrit 21 choses que toute étude d’économie de la santé en rapport avec les vaccins doit faire et l’analyse de la FDA viole au moins la moitié d’entre elles. » [Article]

« Pharma déteste parler du NNTV et elle déteste encore plus parler du NNTV quand il s’agit des vaccins COVID-19 parce que le NNTV est si ridiculement élevé que ce vaccin ne pourrait passer aucune analyse bénéfice/risque honnête. » [Article]

« Si la Food and Drug Administration [FDA} ou le Center for Disease Control [CDC] veulent calculer un NNTV différent (et expliquer comment ils sont arrivés à ce chiffre), je suis tout ouïe. Mais nous savons tous que la FDA a refusé de calculer un NNTV non pas parce qu’elle a oublié, mais parce qu’elle savait que le chiffre était si élevé qu’il détruirait les arguments en faveur des vaccins à ARNm chez les enfants de cet âge. Pourtant le CDC, dans son propre document d’orientation, stipule que vous devez fournir ce nombre. » [Article]

« Ainsi, le Nombre nécessaire pour vacciner afin d’éviter une seule hospitalisation, une admission en soins intensifs ou un décès, selon les propres données de Pfizer, est infini. ∞. Pas le bon genre d’infini comme Dieu, l’amour, le temps ou l’univers. C’est le mauvais genre d’infini comme dans le cas où vous pourriez vacciner tous les enfants âgés de 5 à 11 ans aux États-Unis et ne pas empêcher une seule hospitalisation, une admission en soins intensifs ou un décès dû au coronavirus, selon les propres données des essais cliniques de Pfizer telles que soumises à la FDA. Bien sûr, Pfizer aime ce genre d’infini car cela signifie des profits infinis. » [Article]

« J’étudie la corruption à la FDA et au CDC pendant un certain temps maintenant (6 ans) et je suis toujours choqué de voir à quel point elle est effrontée et flagrante. » [ceci est un commentaire que Toby a écrit dans cet article]

« Une chose amusante s’est produite cet après-midi. Pas drôle comme dans « haha ». Plutôt drôle comme dans, « ohhhhh c’est comme ça que la FDA truque le processus. » [Article]

« J’ai regardé les plus de 6 heures de la réunion de l’ACIP aujourd’hui. Voici mes premières réactions. Ces gens sont complètement fous. Ils vivent dans un univers alternatif. Aussi caricatural que fut la réunion du VRBPAC de la FDA la semaine dernière, c’était encore pire. » [Article]

« Pfizer a appris sa leçon avec l’essai sur les adultes et donc, lorsqu’ils ont mené un essai de leur vaccin à ARNm chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ils l’ont intentionnellement rendu trop petit (seulement 2 300 participants) et trop court (suivi seulement pendant 2 mois) afin de cacher les inconvénients. » [Article]

Il y a plus, mais vous avez compris l’idée, n’est-ce pas ?

Par Steve Kirsch


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