« Escobar du désert » : Latifa Raafat menace.
« Escobar du désert » : Latifa Raafat menace.

Publie le 17 novembre 2025

Publie le 17 novembre 2025
La chanteuse marocaine Latifa Raafat menace de poursuivre les activistes de réseaux sociaux qui l’accusent d’être impliquée dans l’affaire « Escobar du désert », du nom du Malien Ahmed Benbrahim, son ex-mari incarcéré à la prison d’Oukacha à Casablanca.
« Je suis une citoyenne marocaine et j’ai le droit de me défendre légalement. Seule la justice marocaine a le droit de me poursuivre après enquête avec la brigade nationale. C’est pourquoi je jure, comme je l’ai juré devant la justice et par Dieu tout-puissant, que je ne pardonnerai à personne qui a outrepassé ses limites et s’est mis à la place de la justice et de l’enquête, et m’a criminalisée », a déclaré la chanteuse dans un post sur son compte Instagram, accompagné d’une photo des commentaires des personnes qu’elle a décidé de poursuivre en justice.
Elle s’attend à ce que ces activistes lui racontent « ce qui s’est passé dans sa villa, car apparemment, ils connaissent mieux l’affaire qu’(elle), l’enquête et la justice ». Confirmant que tous les « accusés ont témoigné qu’elle n’avait aucun lien avec cette affaire, et que ce qu’ils ont fait chez elle à l’époque était dû au fait que l’accusé Haj Ahmed Ben Ibrahim était son mari et avait le pouvoir de recevoir ses invités et de s’isoler avec eux chez elle en son absence, puisqu’il était son mari légalement », Latifa Raafat assure qu’elle est témoin dans cette affaire et non accusée, et qu’elle n’attend pas son acquittement.
Récemment, elle a tenté de couper court aux rumeurs selon lesquelles elle s’est enfuie à l’étranger pour échapper à la justice marocaine. « Celui qui dit que Latifa s’est enfuie à l’étranger a raison, Latifa s’est enfuie, mais dans les bras de sa mère, dans sa maison, dans son pays, entourée de sa famille qui l’aime », a-t-elle écrit en légende à une photo d’elle et de sa mère, publiée sur son compte Instagram.
Dans un précédent live Instagram, la chanteuse a dû évoquer son mariage avec Lhaj Ahmed Benbrahim en raison du harcèlement dont elle et sa fille se disent victimes sur les réseaux sociaux. À l’en croire, le Malien s’est présenté comme étant un homme d’affaires venu investir au Maroc lors de leur première rencontre. Seulement deux semaines plus tard, il aurait demandé sa main. Les deux tourtereaux se marient, mais ce mariage sera de courte durée : 4 mois et 10 jours.
« Je suis une citoyenne marocaine et j’ai le droit de me défendre légalement. Seule la justice marocaine a le droit de me poursuivre après enquête avec la brigade nationale. C’est pourquoi je jure, comme je l’ai juré devant la justice et par Dieu tout-puissant, que je ne pardonnerai à personne qui a outrepassé ses limites et s’est mis à la place de la justice et de l’enquête, et m’a criminalisée », a déclaré la chanteuse dans un post sur son compte Instagram, accompagné d’une photo des commentaires des personnes qu’elle a décidé de poursuivre en justice.
Elle s’attend à ce que ces activistes lui racontent « ce qui s’est passé dans sa villa, car apparemment, ils connaissent mieux l’affaire qu’(elle), l’enquête et la justice ». Confirmant que tous les « accusés ont témoigné qu’elle n’avait aucun lien avec cette affaire, et que ce qu’ils ont fait chez elle à l’époque était dû au fait que l’accusé Haj Ahmed Ben Ibrahim était son mari et avait le pouvoir de recevoir ses invités et de s’isoler avec eux chez elle en son absence, puisqu’il était son mari légalement », Latifa Raafat assure qu’elle est témoin dans cette affaire et non accusée, et qu’elle n’attend pas son acquittement.
Récemment, elle a tenté de couper court aux rumeurs selon lesquelles elle s’est enfuie à l’étranger pour échapper à la justice marocaine. « Celui qui dit que Latifa s’est enfuie à l’étranger a raison, Latifa s’est enfuie, mais dans les bras de sa mère, dans sa maison, dans son pays, entourée de sa famille qui l’aime », a-t-elle écrit en légende à une photo d’elle et de sa mère, publiée sur son compte Instagram.
Dans un précédent live Instagram, la chanteuse a dû évoquer son mariage avec Lhaj Ahmed Benbrahim en raison du harcèlement dont elle et sa fille se disent victimes sur les réseaux sociaux. À l’en croire, le Malien s’est présenté comme étant un homme d’affaires venu investir au Maroc lors de leur première rencontre. Seulement deux semaines plus tard, il aurait demandé sa main. Les deux tourtereaux se marient, mais ce mariage sera de courte durée : 4 mois et 10 jours.
Le mode de vie d’Ahmed qu’elle qualifie de “fêtard” serait à l’origine de leur divorce.
Elle a également démenti les informations selon lesquelles son ex-conjoint lui aurait offert une villa.
La chanteuse marocaine assure l’avoir acquise en 2005 avant de faire la connaissance du Malien. Elle a par ailleurs assuré qu’elle ne l’a jamais soupçonné d’être le « cerveau d’un large réseau de trafic international de drogues ».
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