Le voyage privé du roi Mohammed VI à Cuba inquiète le Polisario.
12 avril 2017
Le voyage privé qu’effectue actuellement le roi Mohammed VI à Cuba ne semble pas plaire aux dirigeants du Polisario et le font savoir.
Depuis vendredi dernier, la famille royale marocaine se
trouve à Cuba pour un voyage privé. Cette destination surprend
plusieurs observateurs de la scène politique marocaine, indique le site
El Confidential qui rappelle que les relations entre le Maroc et Cuba
ont toujours été assez froides, voire inexistantes, à cause du soutien
affiché de l’Île aux dirigeants du Polisario.
« Les médias marocains ont omis de rappeler que Cuba et le Maroc n’entretiennent aucune relation diplomatique depuis 37 ans.
Même quand cela était le cas, elles étaient loin d’être cordiales, à cause du soutien politique et diplomatique offerts à l’Algérie dans sa guerre contre le Maroc au début des années soixante », écrit le site.
« C’est comme si le président John Kennedy était allé à Cuba en pleine crise des missiles » en 1962, estime pour sa part un diplomate européen visiblement très étonné de la destination du souverain.
Pour montrer « sa fidélité » aux thèses du Polisario, les autorités cubaines ont dû dépêcher à Tindouf leur ambassadeur à Alger, Raúl Barzaga Navas, pour « rassurer » Brahim Ghali et lui rappeler qu’aucun changement sur la question du Sahara n’est à prévoir.
« Les médias marocains ont omis de rappeler que Cuba et le Maroc n’entretiennent aucune relation diplomatique depuis 37 ans.
Même quand cela était le cas, elles étaient loin d’être cordiales, à cause du soutien politique et diplomatique offerts à l’Algérie dans sa guerre contre le Maroc au début des années soixante », écrit le site.
« C’est comme si le président John Kennedy était allé à Cuba en pleine crise des missiles » en 1962, estime pour sa part un diplomate européen visiblement très étonné de la destination du souverain.
Pour montrer « sa fidélité » aux thèses du Polisario, les autorités cubaines ont dû dépêcher à Tindouf leur ambassadeur à Alger, Raúl Barzaga Navas, pour « rassurer » Brahim Ghali et lui rappeler qu’aucun changement sur la question du Sahara n’est à prévoir.
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