Qui gaze et qui enfume?
Ce qui est quand même étonnant c’est que c’est Hillary la Sorcière qui lorsqu’elle était Secrétaire d’Etat, a accepté d’envoyer en cadeau à Daesh les stocks de gaz Sarin récupéré en Libye,
et que comme par hasard … Ce même gaz Sarin se retrouve dans les mains des troupes des fanatiques de Daesh en Syrie …
Et comme par hasard !!!
Et ensuite les dirigeants Occidentaux tous Pro-Mondialistes et en faveur du gazoduc du Qatar,
viennent larmoyer en accusant immédiatement Bachar El Assad d’avoir envoyé soit-disant des cartouches de Sarin sur des terroristes de Daesh et d’avoir collatéralement touché de nombreux civils !!
Il est un fait que les djihadistes ( Voir Alep ) se cachent et cachent leurs armes parmi la population civile urbaine.
Mais quel intérêt aurait eu Assad à se tirer une balle dans le pied.?
Et Quels intérêts auraient les Américains et le Qatar à ce que les USA viennent prêter main forte à Daesh !?
Le Gazoduc bien sur … Hé oui !
Encore faudrait il que nos populations occidentales lobotomisées par la propagande bien rodée des médias aux ordres, soient encore capables de réfléchir un peu ….
A qui profite le crime au Final ?
Au Qatar, à Israël et à ses Vassaux, à savoir les USA et l’Europe.
Personne n’est dupe ! Une clique dont fait partie Hollande attend depuis longtemps de virer Assad histoire de déstabiliser un peu plus la région après les destitutions de Sadam Hussein et Khadafi.
Quel est le but final de tout ça ?
Quant à Trump serait-il l’émotif qu’on décrit pour balancer 50 missiles (certes dans le vide) après avoir vu des enfants gazés ou a t-il seulement voulu reprendre la main pour des raisons de politiques intérieures après un début de mandat décevant ,
Une certitude.
Avec Hillary on aurait eu une action plus forte encore.
C’est pour ça que j’ai soutenu Trump mais je commence à me demander s’il n’est pas quand même en train de subir les forces de l’État profond.
En voici des preuves :
Mais qui donc a vraiment attaqué ce site chimique ? Et, comment se fait-il qu’il y a prétendument encore des armes chimiques en Syrie, puisque, comme le dit si bien, Paul Craig-Roberts, analyste de référence US, ancien Sous-Secrétaire au Trésor de Ronald Reagan, elles ont toutes été détruites ? En lien.
http://www.paulcraigroberts.org/2017/04/07/washington-crossed-russias-red-line/
« L’attaque de Washington en
Syrie est sans aucun doute un crime de guerre. Elle fut exécutée sans
l’autorisation de l’ONU et même, elle est la couverture d’une attaque
sous fausse bannière. L’attaque de Washington est même exécutée avant
même qu’une enquête ne soit menée sur ce bombardement à Idlib, car
Washington essaye d’utiliser ce bombardement comme une justification
d’intervention.
En effet, l’histoire que vend Washington sur des armes
chimiques est peu crédible. Toutes les armes chimiques ont été retirées
de Syrie par la Russie et ont été retournées aux alliés US et européens.
La Syrie ne possède pas ce genre d’armement et n’a aucune raison d’en
utiliser. Ajouté, que ce n’est pas l’affaire de Washington, quelles
armes sont utilisées par la Syrie pour combattre les terroristes qui
cherchent à faire tomber le gouvernement syrien.
Les gouvernements en
Europe, au Canada, en Australie et au Japon n’ont pas condamné ce crime
de guerre.
En effet, le MAF de Grande Bretagne a même déclaré son
soutien.
Ce qui révèle la profonde hypocrisie de l’Occident.
C’est bien comme le déclare la Russie, que cette attaque aux armes chimiques a la marque d’un événement orchestré de toute pièce par Washington pour inaugurer une attaque contre la Syrie.
Comme l’a expliqué le MDD russe,
l’attaque US a dû être préparée à l’avance.
Un bombardement US en Syrie doit être planifié à l’avance. En d’autres mots, oui, c’était un événement orchestré à l’avance. »
En lien, l’ancien
ambassadeur de Grande Bretagne en Syrie, Peter Ford, formel, Hassad
n’est pas à l’origine de cette attaque sur l’usine chimique. Il ajoute:
« nous n’apprendrons décidément jamais, souvenez vous de l’Irak … »
Une interview à Sky News de Peter Ford, ancien ambassadeur britannique en Syrie .
Peter Ford : Il faut se demander
à qui profite (le crime). Clairement, ce n’est pas le régime syrien ou
les Russes qui en bénéficient, et je considère comme hautement
improbable l’hypothèse que l’un ou l’autre soient derrière tout ça.
Il y a plusieurs possibilités.
La première, c’est que tout ça
soit des fake news, les images, les vidéos, les informations viennent
toutes de sources de l’opposition, et non de journalistes indépendants
crédibles.
Il est également possible que
les images montrent les suites d’un bombardement qui aurait frappé un
dépôt djihadiste de munitions chimiques. Nous savons de source sûre que
les djihadistes stockaient des armes chimiques dans des écoles à
Alep-Est car elles ont été vues ensuite par des journalistes
occidentaux. C’est une autre possibilité.
Sky News : Quoi qu’il en soit,
ceux qui prennent ces informations pour argent comptant soulèvent la
question d’une intervention contre le régime d’Assad.
En réalité, nous n’apprenons
jamais. Les (prétendues) armes chimiques de l’Irak, vous vous en
souvenez ? On en a été matraqués (pour nous forcer à intervenir). À
Alep, on nous a dit qu’un holocauste était en train de se produire, des
massacres…
Mais rien de tel ne s’est produit. Des reporters indépendants
y sont allés après et n’ont trouvé aucune preuve de massacre. Ce que
nous avons vu, ce sont des combattants se faire évacuer en bus
calmement. Et nous avons découvert par la suite que beaucoup d’images
étaient fausses.
Il y a aussi ce qui ont dit « OK, on en est là maintenant, mais une intervention en 2013 aurait pu changer les choses ».
Il n’est pas constructif de
débattre de ce qui aurait pu se passer si ou si… Personnellement, je
pense qu’en 2013, il était judicieux de ne pas intervenir aux côtés des
djihadistes. Peut-être que je me trompe, mais je pense que la plupart
des gens, lorsqu’ils y ont réfléchi une seconde, se sont demandés ce qui
allait remplacer Assad et le régime séculier qui protège les minorités,
les chrétiens, les droits des femmes… Je ne pense pas que les
islamistes auraient constitué un meilleur pari, et c’est encore plus le
cas aujourd’hui.
Ayez bien à l’esprit le fait qu’Idlib, où cela s’est produit, est un nid de vipères des djihadistes les plus extrémistes.
(Les interventionnistes) sont
(comme) des chiens qui reviennent à leur propre vomi. Ils ont commis
toutes ces erreurs – l’Irak, la Libye –, ils n’apprennent jamais, ils
veulent reproduire le même scénario en Syrie. Heureusement,
l’administration Trump a finalement évolué la semaine dernière, et cela
peut être significatif, elle a finalement évolué la semaine dernière
pour désavouer la politique d’Obama consistant à essayer de renverser le
régime syrien, l’entourage de Trump a dit qu’ils sont plus intéressés
par l’éradication de Daech, que telle est leur priorité.
Puis, en lien aussi, le seul
homme politique raisonnable de ce guêpier neoconnien de Washington, Ron
Paul, qui estime une folie ces attaques contre la Syrie.
Un sage.
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