Maroc : La moitié des enfants « nés sans père » finissent à la rue.
Environ la moitié des enfants qui naissent chaque jour au Maroc sans père, finissent à la rue, dont certains se retrouvent plus tard dans les enclaves espagnoles de Sebta et Melilla.
Le Centre Marocain des Droits Humains s’alarme d’une
« augmentation considérable » du phénomène des enfants de rue qu’il
impute en partie à « l’éclatement des familles ».
Une bonne partie de ces familles, surtout celles avec des enfants, finissent dans la rue, explique le centre.
Ces enfants qui naissent en général dans des familles pauvres ne reçoivent ni attention familiale ni éducative et encore moins sociale sociale, ce qui fait qu’ils se retrouvent dans la rue avec des problèmes de drogue.
Les enfants des rues constituent la cause principale des délits, du vandalisme dans les stades et du suicide des jeunes, et sont aussi plus vulnérables aux discours extrémistes, explique l’association à l’agence EFE.
Les enfants des rues marocains se retrouvent ensuite à Sebta et Melilla et plus récemment à Paris, et des villes en Allemagne et en Suède.
Une bonne partie de ces familles, surtout celles avec des enfants, finissent dans la rue, explique le centre.
Ces enfants qui naissent en général dans des familles pauvres ne reçoivent ni attention familiale ni éducative et encore moins sociale sociale, ce qui fait qu’ils se retrouvent dans la rue avec des problèmes de drogue.
Les enfants des rues constituent la cause principale des délits, du vandalisme dans les stades et du suicide des jeunes, et sont aussi plus vulnérables aux discours extrémistes, explique l’association à l’agence EFE.
Les enfants des rues marocains se retrouvent ensuite à Sebta et Melilla et plus récemment à Paris, et des villes en Allemagne et en Suède.
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