Une arme de dépopulation massive : " Le Tampax "

Une arme de dépopulation massive : " Le Tampax "

Génocide global par le cancer...






Ce n'est un secret pour personne, nous vivons une époque décidément toxique.
A moins de vivre la tête baissée en permanence, nul n'ignore plus que notre ciel est quadrillé presque quotidiennement de trainées qui n'ont plus rien à voir avec la condensation que les avions laissaient dans leur sillage.

Nous subissons tous les jours les épandages qu'on appelle CHEMTRAILS et dont la composition révèle la présence de nombreux métaux lourds, dont le baryum et l'aluminium, tous deux incriminés dans l'explosion des cas de maladie d'Alzeimer.

Nous savons aussi que nous connaissons finalement peu de choses sur la composition réelle des aliments manufacturés par l'industrie alimentaire; nous savons qu'il est devenu presque impossible d'échapper aux OGM, à la pollution électro-magnétique dont une étude réalisée en Grêce démontre qu'elle affecte les protéïnes du cerveau altérant ainsi la capacité de mémoire et de concentration des individus qui y sont exposés de manière intensive.

Enfin, nous savons peu de choses également sur les conséquences des radiations nucléaires que les essais militaires, les accidents de centrale et la gestion mafieuse des déchets nous infligent le plus souvent à notre insu.

La liste des atteintes létales à notre santé est longue, mais il en est une qui est le plus souvent ignorée du grand public, spécialement le public féminin, que j'ai découvert il y a 5 ou 6 ans et pour laquelle je n'ai pas trouvé d'études documentées en français: nos petites souris blanches pour les semaines d'amour fériés, comme disait poétiquement le chanteur RENAUD dans sa chanson "Dans ton sac".

Elles représentent un marché colossal et leur secret de fabrication est farouchement conservé par Procter & Gamble, le fabriquant de la marque TAMPAX, leader mondial du marché des tampons. Peu d'entre nous savent que ces cartouches de "on ne sait trop quelle matière si absorbantes et si pratiques" sont imbibées de dioxines. A raison d'une moyenne de 5 jours par mois, je vous laisse faire le compte du nombre d'années sur une vie de fertilité, où nous portons sans le savoir en notre ventre, cette substance hautement cancérogène ! Le cancer du col de l'utérus est le second cancer féminin et une femme meurt du cancer de l'utérus toutes les deux minutes dans le monde.

J'ai cru bon de traduire une étude en anglais sur le sujet. Que celles et ceux qui en auront la curiosité et le courage la lisent jusqu'au bout et prennent les dispositions qui s'imposent.
Quiz : A quand une étude statistiques sur l'utilisation de tampons par les patientes atteintes de cancer au col de l'utérus et de l'utérus? Mais une chose est certaine,pour les auteurs des pierres d'Elberton (The Georgia Guidestones) qui souhaitent maintenir la population à 500 millions d'individus, le tampon périodique est une munition non négligeable dans leur arsenal de dépopulation.


QU'EST-CE QUE LA DIOXINE ?

La dioxine est un terme utilisé pour décrire un groupe de centaines de produits chimiques très persistants et très toxiques qui s'accumulent dans l'environnement et dans nos corps. Cette toxine est un sous-produit très dangereux de nombreux procédés industriels différents impliquant le chlore, y compris l'incinération des déchets, la fabrication de pesticides chimiques et le blanchiment du papier et des pâtes à papier (ce qui comprend les matières premières utilisées dans les tampons classiques).

La dioxine est un composé organochloré et est produite par une combinaison de chlore et de composés organiques. En tant que composant toxique primaire de l'agent orange, elle est considérée comme "la substance la plus mortelle connue pour l'humanité" où "littéralement, une cuillère à soupe [de dioxine] tuerait tout le monde sur la planète"

La dioxine est un polluant organique persistant (POP) qui s'accumule dans le corps. Notre exposition s'étend bien au-delà du contact mensuel du tampon. On trouve cette substance chimique dans les aliments que nous consommons. Les niveaux d'accumulation augmentent à mesure que l'on remonte la chaîne alimentaire jusque dans nos propres corps.

En plus des niveaux de dioxine présents dans l'environnement et l'approvisionnement alimentaire, les tampons ne sont pas les seuls produits d'hygiène contribuant à l'apport corporel en dioxines.
Des processus de production similaires sont utilisés sur les langes, serviettes et papiers hygiéniques, cotons-tiges, cotons démaquillants, mouchoirs en papier... Nous utilisons ces produits autour de nos yeux, de nos oreilles, pour nettoyer nos bouches, nos nez et nos parties les plus délicates.

Et comme si le coton imbibé de dioxine et de pesticides ne suffisait pas, les tampons contiennent également de nombreux produits chimiques supplémentaires qui comprennent des amplificateurs d'absorption, des désodorisants et des parfums synthétiques. La présence de la dioxine est cependant la plus préoccupante car elle est celle qui affecte le plus le corps humain.


LES EFFETS DES TAMPONS TAMPAX SUR LA SANTE.

Le risque en ce qui concerne la dioxine ne dépend pas seulement de sa quantité, mais du simple fait de sa présence. Les «effets subtils sur la reproduction et la santé surviennent à des doses suffisamment faibles pour que les effets ne soient pas visibles de façon flagrante et qu'ils s'installent lentement de façon insidieuse à travers les populations.
La dioxine s'accumule chez les humains, en particulier dans les tissus adipeux féminins et le lait maternel.
Le principal moyen d'élimination est donc par le lait maternel ou le placenta. Ainsi elle commence à s'accumuler dans l'organisme du foetus et, plus tard, dans celui de l'enfant en bas-âge. Les enfants et les foetus sont donc les plus exposés aux risques alors que leur système nerveux et immunitaires sont en plein développement. Cette toxine persistante se propage non seulement à travers les différentes populations, mais aussi de manière générationnelle.

Des douzaines de maladies et affections sont liées à l'accumulation de dioxine dans l'organisme. On peut les regrouper en trois catégories: celles faisant intervenir les enzymes, les facteurs de croissance et les hormones.

Un récent rapport de l'Agence pour la Protection de l'Environnement confirme que la dioxine est un "cancérogène pour l'homme" et ce produit chimique cancérogène connu est en contact direct avec nos organes internes et nos zones très sensibles. Des études Suèdoises ont établi un lien entre les tampons contenant de la dioxine et une augmentation des cancers de l'appareil génital féminin.

Grâce à l'activation du récepteur Ah, la dioxine entraîne un large éventail de réponses biologiques considérées comme importantes pour le processus de cancérogenèse, y compris les changements dans l'expression génique, la modification du métabolisme, altération de la croissance et de la différenciation cellulaire, ainsi que la perturbation des hormones stéroïdes et facteurs de croissance.


Ces changements sont à l'origine de réponses immunotoxiques, tératogènes et cancérogènes.

Les tampons sont placés contre les tissus adipeux humides pendant des périodes prolongées créant un environnement idéal pour l'absorption de produits chimiques. La dioxine agit comme un perturbateur endocrinien ...
Les variations de niveaux d'hormones et de récepteurs conduisent à une altération de l'homéostasie qui devrait être le réseau de mécanismes de contre-réaction de l'organisme à maintenir un équilibre de ces hormones.
Une des maladies les plus directement liés à l'effet de perturbation endocrinienne de la dioxine libérée par les tampons est l'endométriose, une maladie où les cellules endométriales de la muqueuse de l'utérus se développent de manière inappropriée à l'extérieur de l'utérus. Ils poussent sur ​​les ovaires, à l'extérieur de l'utérus ou des trompes de Fallope ou ailleurs dans la cavité abdominale.

La dioxine agit sur une enzyme qui augmente les niveaux d'oestrogène ainsi que ses effets sur l'endomètre. La croissance incontrôlée de l'endométriose peut causer des problèmes intestinaux car il étrangle les mouvements naturels l'intestin. Elle a également été liée à des problèmes de reproduction et d'infertilité en rendant l'imprégnation pratiquement impossible.

En plus du cancer et de l'endométriose, les perturbations de la croissance, des enzymes et des hormones causées par l'exposition à la dioxine ont été associées à des anomalies congénitales, à l'incapacité à porter une grossesse à terme, à la diminution de la fertilité, à la réduction du nombre de spermatozoïdes, au diabète, aux troubles de l'apprentissage, à la suppression du système immunitaire, aux problèmes pulmonaires, aux maladies de la peau et à la réduction du niveau de testostérone.


LES FIBRES SYNTHETIQUES ET LEURS RESIDUS.

La présence de la dioxine n'est pas le seul danger pour la santé causé par les tampons Tampax. Les tampons produits dans le commerce utilisent les fibres de viscose synthétiques qui ont été associées à la fois aux syndrômes de chocs toxiques et aux maladies sexuellement transmissibles. Les chocs toxiques peuvent débuter par des symptômes grippaux tels que des nausées, des étourdissements, une forte fièvre, des vomissements et peuvent évoluer vers une insuffisance hépatique ou rénale, un choc complet du corps et enfin, la mort. Des études ont montré que les fibres synthétiques créent un environnement idéal pour la croissance des bactéries "Staphylococcus aureus" à l'origine du syndrome de choc toxique. Ces caractéristiques sont attribuées aux tampons au très haut pouvoir absorbant qui, par conséquent, laissent derrière eux, des quantités concentrées de protéines dont ces bactéries nuisibles ont besoin pour produire leur poison. En plus d'augmenter le risque de syndrome de choc toxique, les fibres synthétiques sont abrasives pour la paroi vaginale qui est très sensible. Les tampons Tampax sont insérés profondément dans le vagin avec un applicateur et s'étendent en longueur. Cela pousse le tampon contre la zone cervico-utérine, provoquant des micro-coupures et incrusant des fragments de tampon dans les tissus du col et la paroi vaginale (citrinibaum). En plus des coupures provoquées par le tampon lui-même, le retrait du tampon laisse aussi des fibres qui peuvent être à l'origine de futures ulcérations.

Ces ulcérations sont causées par la combinaison des substances chimiques du tampon et par la friction provoquée par son retrait. Les substances chimiques du tampon "rongent littéralement le tissus vaginal" (citrinibaum). Ces ulcérations augmentent les risques d'une femme de contracter une MST en créant une porte d'entrée vers le flux sanguin. Pour aggraver les choses, le coton génétiquement modifié qui est utilisé aux USA pour les productions commerciales résiste aux effets des antibiotiques. Par conséquent, les femmes qui utilisent des tampons de coton OGM peuvent ne pas répondre aussi bien aux antibiotiques préscrits pour traiter les MST.

TAMPAX, Arme de dépopulation massive! DE MES PROPRES YEUX...
Lors de mes recherches, je suis tombée sur des documents traitant des fibres microscopiques et chimiques laissées dans leur sillage par les tampons et qui sont absorbées directement par les tissus adipeux et le flux sanguin et sur les mini-expériences qui peuvent être réalisées chez soi pour les observer. J'ai essayé moi-même de placer un tampon dans un verre d'eau pendant 6 heures (la durée moyenne d'usage d'un tampon) pour faire le constat de mes propres yeux.

Lorsque j'ai retiré le tampon de l'eau, j'ai trouvé des centaines de minuscules particules blanches semblables à des fils fluorescents en suspension dans l'eau, certaines s'étaient déposées au fond du verre, d'autres rasaient les bords.

Compte tenu de la quantité de particules qui étaient clairement visibles à l'œil nu, je peux seulement imaginer le volume de produits chimiques et de fibres microscopiques qui sont présentes dans le vagin et intégréés dans le tissu vaginal à chaque utilisation de tampon.



L'IMPACT ENVIRONEMENTAL

Ce qui est dangereux pour notre corps est aussi nocif pour l'environnement et il est impossible d'examiner l'un sans l'autre. Les tampons Tampax affectent l'environnement, tant en termes de pollution chimique que dans les décharges de déchets. Par exemple, les problèmes d'épidémies dues à l'exposition aux dioxine sconcernent plus de 13 espèces de poissons dans la région des Grands Lacs. Parmi ces probblèmes, on compte celui de l'infertilité et de malformations à la naissance, les effets s'aggravant au cours des générations suivantes. En outre, parce que les matières premières des Tampax proviennent, en partie, de coton de culture conventionnelles, ils contribuent directement à la dispersion des toxines pulvérisées sur ces cultures et libérées dans l'environnement. Enfin, Les tampons Tampax sont tout simplement un fléau. Selon le bureau de consultance en matière de déchets Franklin & Associés, "6,5 milliards de tampons et 13,5 milliards de serviettes hygiéniques, en plus de leur emballage, ont fini dans des décharges ou des systèmes d'égout en 1998 ... Et selon le Centre pour la Conservation Marine, plus de 170.000 applicateurs de tampon ont été collectés le long des zones côtières américaines entre 1998 et 1999. Maintenant que j'en sais plus, je peux faire mieux.

Partie III
Des alternatives plus sûres. Beaucoup, beaucoup plus sûres !

POUR L'INDUSTRIE

Même si apporter des changements est difficile pour l'industrie, en matière de tampons, ce n'est pas impossible. La voix des consommateurs a déjà contraint le Sénat Américain à faire passer des lois relatives à la sécurité, par le passé. Bien que la production de masse n'est pas prête de s'arrêter, il existe des méthodes de traitement beaucoup plus sûr. Retourner à des tampons 100% en coton permettrait de réduire les risques associés aux fibres synthétiques et il existe un procédé de blanchiment sans dioxine disponible pour les productions de masse. Intégralement sans agents de blanchiment ni composants chlorés, réduisant ainsi la dispersion de produits chimiques dangereux dans l'environnement et les résidus chimiques dans le produit-même. Leurs produits blanchissants ne produisent pas de dioxine, de chloroforme ou d'acide chlorhydrique, ce qui réduit la pollution biologique et chimiques des eaux. Leur méthode de blanchissement utilise des substances relativement inoffensives tels que l'oxygène, l'ozone et le peroxyde d'hydrogène, ce qui réduit considérablement les rejets toxiques totale dans l'environnement.

POUR LES UTILISATRICES.

Il existe plusieurs options très valables pour les femmes. Ces options ne sont pas seulement plus sûr pour notre propre santé, mais aussi pour la prise en compte de la santé de notre planète. Les solutions alternatives sont disponibles à l'achat sur internet et dans la plupart des magasins d'alimentation naturelle. Elles comprennent le passage des tampons conventionnels aux tampons bio, aux éponges de mer naturelles, aux serviettes réutilisables respectueuses de l'environnement et les coupelles menstruelles.

LES TAMPONS 100% BIO.
Les tampons 100% bio sont fabriqués à partir de coton certifié sans OGM. Ils ne continennent ni colorants irritants, ni parfum, et ne comportent pas les risques liés aux fibres synthétiques. Choisir le coton bio et sans chlore réduit les quantités de toxines dangereuses dispersées dans l'environnement ainsi que la pollution par les pesticides et produits chlorés tout en les tenant à l'écart de notre corps.
Ces tampons s'utilisent exactement de la même manière que les tampons conventionnels avec divers degré d'absorbtion, avec ou sans applicateur. Il est recommandé d'utiliser le taux d'absorbtion le plus bas pour éviter les risques de syndrômes de choc toxiques. Les tampons bio ne sont que légèrement plus chers que les tampons conventionnels.

LES EPONGES NATURELLES DE MER.
Tout comme les tampons, elles doivent être changées toutes les quelques heures. Toutefois, l'éponge de mer ne doit pas être jetée. On peut en insérer une autre ou rincer celle qui a été utilisée et la réinsérer. Elles sont complètement naturelles et biodégradables et ne sont traitées avec aucun produit chimique ou blanchissant. Elles doivent être bouillies et nettoyées entre les usages avec des méthodes naturelles de nettoyage, y compris le bicarbonate de soude, vinaigre et eau. Un paquet de 2 éponges de mer coûte entre 7 et 12 dollars et peuvent être réutilisées plus de huit mois.

LES SERVIETTES REUTILISABLES.
Bien qu'elles ne soient pas techniquement une alternative aux tampons, parce que la plupart des femmes utilisent les tampons pour leur confort et leur invisibilité, beaucoup utilisent les serviettes pour la nuit. Il existe deux versions de serviettes réutilisables. Le slip tout en un rembourré fabriqué à partir de coton 100% biologique et assure un confort et des performances remarquables. Il existe aussi des serviettes textiles qui s'utilisent comme des serviettes normales. 100% en coton bio, elles se lavent à la main ou à la machine.

LES COUPELLES MENSTRUELLES.
La coupelle menstruelle fut inventée dans les années 30. Elle a gagné en popularité en raison de la recrudescence des MST et la sensibilisation du public sur la présence de dioxine. Les coupelles menstruelles récoltent le fluide. Elles en retient généralement deux fois plus que les tampons et ne présentent aucun risque de MST. Elles peuvent être portées deux fois plus longtemps. Bien qu'elles contraignent la femme à un contact plus intime avec leur corps et leur sang, elles ne présentent aucun risques, sont économiques, inoffensives pour l'environnement et demandent peu d'entretien.

Elles sont flexibles et on peut les trouver dans la plupart des drogueries. Elles sont cependant un peu plus coûteuses que les tampons conventionnels.
Elles ne protègent pas contre la grossesse et les MST.
Comme elles peuvent être portées pendant 12 heures, la plupart des femmes ne doivent les vider que deux fois par jour, le matin et le soir.
Elles coûtent 38 dollars à l'achat, mais peuvent être utilisées pendant 10 ans.
Alors que 10 ans de Tampax coûtent approximativement 600 dollars !


LA DECISION EST SIMPLE. A VOUS DE JOUER.

La dioxine s'installe dans les tissus adipeux féminins et provoque de nombreuses maladies souvent irréversibles et fatales.

La présence de fibres synthétiques dans le vagin crée un environnement idéal pour la croissance bactérienne conduisant au syndrome de choc toxique.

Tous ces facteurs, combinés à l'absorption de résidus fibreux chimiques dans le sang font partie d'une soupe toxique effrayante dont les tampons Tampax sont les meilleurs cuistots !

Les choix quant à l'hygiène féminine sont personnels et chaque femme doit décider de ce qui est le meilleur pour elle. Il est réconfortant de savoir que de nombreuses options sont disponibles. Après avoir récupéré du choc initial sur ce qui se cache dans les jolies bouteilles cachées dans mon placard de cosmétiques et de produits dangereux pour la santé, je dois décider de ce que je ferai de ces produits dangereux.
Remplacer les produits que j'utilise quotidiennement comme le dentifrice ou le déodorant.

En ce qui concerne les produits de maquillage et les shampooings, j'ai l'intention de réduire à la fois la fréquence d'utilisation et les quantités utilisées, parce que remplacer tout en une seule fois serait à la fois inutile et coûteux.

Quant aux petites cartouches toxiques et mortelles qui restent dans ma boîte de Tampax, elles resteront hors de mon corps! Bien qu'il soit hors de notre contrôle individuel d'éliminer toutes les toxines présentes dans notre environnement, nous informer sur la façon dont nous pouvons réduire ou éliminer celles dont nous pouvons nous préserver marquera une différence pour notre santé, celle de la planète et celle des générations futures.


Source : Meghan Telpner : Toxic Death Sticks

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