Pourquoi les extraterrestres ne nous répondent pas !
Les épaisses couches de glace coiffant les « mondes océans » et abritant de possibles formes de vie extraterrestre dans notre galaxie expliqueraient l’absence de communications…
L'astronome américain Alan Stern propose une nouvelle hypothèse expliquant le fameux " paradoxe de Fermi ".
Ce paradoxe doit son nom au prix Nobel de physique Enrico Fermi, qui, dans les années 1950, se demandait pourquoi aucun contact n'avait encore été établi avec des civilisations extraterrestres, sachant que le Soleil est plus jeune que la plupart des autres étoiles de notre galaxie, que celle-ci en contient environ deux cents milliards, et que, comme on le sait aujourd'hui, des centaines de milliards de planètes orbitent autour d'elles…
MAIS OÙ SONT-ILS ? L'astronome américain Alan Stern propose une nouvelle hypothèse expliquant le fameux " paradoxe de Fermi ". Ce paradoxe doit son nom au prix Nobel de physique Enrico Fermi, qui, dans les années 1950, se demandait pourquoi aucun contact n'avait encore été établi avec des civilisations extraterrestres, sachant que le Soleil est plus jeune que la plupart des autres étoiles de notre galaxie, que celle-ci en contient environ deux cents milliards, et que, comme on le sait aujourd'hui, des centaines de milliards de planètes orbitent autour d'elles…
Mais alors : " Où sont-ils ? " Possiblement dans des environnements d'eau liquide enfouis eux-mêmes sous des kilomètres de roches et de glaces… raison pour laquelle ils demeurent " cachés " et ne peuvent communiquer avec nous ! suppose ainsi Alan Stern, qui a présenté cette hypothèse lors du dernier congrès annuelde la division des sciences planétaires de la Société américaine d'astronomie.
De nombreux mondes aquatiques souterrains existent dans le système solaire
Les scientifiques ont effectivement réalisé, ces dernières années, que de nombreux océans souterrains existaient dans le système solaire – sous les croûtes glacées des lunes de Jupiter, de Saturne, de Neptune, peut-être même sous la surface de Pluton – et donc très probablement, aussi, dans l’ensemble de notre galaxie.
Or ces mondes subglaciaires, outre d’immenses quantités d’eau liquide, contiennent des sels, des molécules organiques complexes, et sont manifestement réchauffés et alimentés par des sources hydrothermales – comme la sonde Cassini a pu le constater sur Encelade, un des satellites naturels de Saturne. Ils possèdent, ainsi, les ingrédients propices à l’émergence et au développement du vivant !
Mais les épaisses croûtes glacées protégeant de possibles formes de vie extraterrestre empêcheraient – ou retarderaient – toutes communications, par signal radio notamment. Aucune nouvelle observation ne vient certes étayer l’hypothèse d’Alan Stern, mais c’est la première fois que l’absence de signaux extraterrestres est associée à l’abondance de ces « mondes océans ».
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