Confirmé par 60 Millions de consommateurs : Les pires marques de thon démasquées dans les supermarchés.

Publié le 30 mai 2025

Votre thon en boîte pourrait cacher un danger pour la santé, selon une enquête alarmante.

© thon

Cette boîte dans votre placard pourrait vous empoisonner lentement. 

La révélation est glaciale. 60 Millions de consommateurs tire la sonnette d’alarme : votre thon préféré cache un danger sournois. Des tests indépendants ont épinglé des marques courantes. Les résultats ? 

Carrément effrayants. Vous méritez de savoir la vérité sur ce que vous servez à table. 

Passons au crible cette enquête explosive.

Le scandale du mercure révélé au grand jour

Imaginez ouvrir une boîte apparemment inoffensive. Bon sang ! Elle contient un poison invisible selon Scanopy. Une étude choc, pilotée par BLOOM et relayée sans détour par 60 Millions de consommateurs, a passé 148 conserves au microscope. Pas de demi-mesure : prélèvements aléatoires dans cinq pays européens.

Le verdict du labo indépendant est sans appel. Toutes les boîtes analysées renfermaient du mercure. Pas un petit peu. Une bombe ! Plus de la moitié (57%, tenez-vous bien) pulvérisent allègrement le seuil de sécurité le plus strict (0,3 mg/kg). Certaines ont caracolé jusqu’à 1 mg/kg. Votre santé, mise en jeu à chaque bouchée.

Pourquoi le thon est-il une éponge à poison ?

La contamination ne sort pas d’un chapeau. Ce cauchemar commence loin de l’océan. Usines, mines, centrales au charbon… leurs rejets toxiques empoisonnent l’air et l’eau. Résultat ? 

Le mercure termine inexorablement sa course en mer. C’est là que la tragédie s’amplifie.

Les petits poissons l’absorbent d’abord. Puis arrive le prédateur suprême : notre thon. Il engloutit ces poissons contaminés. Et accumule, accumule encore le poison dans ses chairs. Bioaccumulation, disent les experts. Un phénomène implacable. Plus le poisson est gros, plus il trimbale de mercure. Le thon, roi de la chaîne alimentaire ? Hélas, champion incontesté de la contamination. Vous voyez le problème ?

L’inacceptable laxisme des autorités.

Les marques de thon à fuir absolument.

Alors, concrètement, quelles boîtes jeter immédiatement ? 

L’enquête de BLOOM, citée par 60 Millions de consommateurs, est précise. En France, sur 30 conserves testées chez Lidl et Carrefour, trois font frémir. Elles explosent carrément le seuil réglementaire (pourtant laxiste) de 1 mg/kg. Deux sont des références Carrefour, achetées à Marseille. Pire ? La palme d’or (ou plutôt de l’infamie) revient à… Petit Navire. Oui, la célèbre marque.

Une conserve achetée dans un Carrefour City parisien affichait un taux hallucinant : 3,9 mg/kg de mercure ! Calculez : cela représente treize fois la limite maximale recommandée pour protéger réellement votre santé (0,3 mg/kg). Un record catastrophique. Cette boîte-là, c’est carrément de la roulette russe alimentaire.

Votre liste de courses vient de changer pour de bon.

L’ère de l’innocence face au thon en conserve est révolue. L’étude de BLOOM et 60 Millions de consommateurs a levé le voile sur un danger bien réel. Mercure, laxisme, marques à éviter… Vous détenez désormais les clés pour choisir en connaissance de cause. Protégez-vous. Protégez les vôtres. Faites de votre panier une forteresse contre les toxines cachées. 

L’action commence au supermarché. Allez-vous la saisir ?