Escobar du Sahara : Naciri enchaîne des révélations chocs, le feuilleton continue. ...


Publié le samedi 10 mai 2025
L’ancien président du club Wydad Casablanca a été auditionné ce vendredi par la Cour d’appel de Casablanca dans le cadre de l’affaire dite « Escobar du Sahara ». Au cœur de cette audience, des révélations lourdes concernant des liens présumés avec le trafiquant de drogue malien, ainsi que des précisions sur la situation d’une voiture de luxe.
Lors de son audience, Naciri a affirmé que l’accusé principal, soit le malien ou « Escobar du Sahara », avait tenté de l’impliquer dans une affaire de tentative d’atteinte aux institutions militaires et sécuritaires du pays. Il a indiqué que celui-ci lui aurait attribué des responsabilités liées à la logistique et aux relations publiques, faisant référence à la corruption des agents sécuritaires et fonctionnaires pour faciliter les opérations de trafic.
« Ce n’est pas une tentative de se venger de moi personnellement, mais du système dans son ensemble, reconnu mondialement pour sa crédibilité« , a déclaré Naciri, demandant la présence de représentants des organes concernés pour confirmer ces allégations.
Par ailleurs, la Cour a été informée des enjeux liés à une voiture de luxe de la marque Mercedes-Benz, dont la validité de la carte grise avait suscité de nombreuses questions. Naciri, qui s’est porté partie civile dans l’affaire, a expliqué que la voiture n’avait jamais été vendue par « Abdellatif F. « , propriétaire d’une société de vente et location de véhicules.
L’ancien président du club Wydad Casablanca a été auditionné ce vendredi par la Cour d’appel de Casablanca dans le cadre de l’affaire dite « Escobar du Sahara ». Au cœur de cette audience, des révélations lourdes concernant des liens présumés avec le trafiquant de drogue malien, ainsi que des précisions sur la situation d’une voiture de luxe.
Lors de son audience, Naciri a affirmé que l’accusé principal, soit le malien ou « Escobar du Sahara », avait tenté de l’impliquer dans une affaire de tentative d’atteinte aux institutions militaires et sécuritaires du pays. Il a indiqué que celui-ci lui aurait attribué des responsabilités liées à la logistique et aux relations publiques, faisant référence à la corruption des agents sécuritaires et fonctionnaires pour faciliter les opérations de trafic.
« Ce n’est pas une tentative de se venger de moi personnellement, mais du système dans son ensemble, reconnu mondialement pour sa crédibilité« , a déclaré Naciri, demandant la présence de représentants des organes concernés pour confirmer ces allégations.
Par ailleurs, la Cour a été informée des enjeux liés à une voiture de luxe de la marque Mercedes-Benz, dont la validité de la carte grise avait suscité de nombreuses questions. Naciri, qui s’est porté partie civile dans l’affaire, a expliqué que la voiture n’avait jamais été vendue par « Abdellatif F. « , propriétaire d’une société de vente et location de véhicules.
Selon lui, cette voiture, sortie de la société en Allemagne en juin 2014, aurait été transférée à une autre entité ou personne, sans que cela ne fasse l’objet d’un document officiel légalisé.
Il a également déclaré que « Latifa Raafat avait prétendu avoir conduit ce véhicule« , affirmation qu’il qualifie de « fausse », soulignant qu’elle aurait rompu son mariage avec « Escobar du Sahara » précisément en avril 2014, avant la sortie supposée de la voiture.
Naciri a insisté sur la nécessité d’auditionner « Karim A. » et de consulter les documents déposés auprès de la commission de la douane pour établir le véritable historique du véhicule. « Je possède tous les justificatifs, y compris le contrat de vente et le certificat d’immatriculation.
Il a également déclaré que « Latifa Raafat avait prétendu avoir conduit ce véhicule« , affirmation qu’il qualifie de « fausse », soulignant qu’elle aurait rompu son mariage avec « Escobar du Sahara » précisément en avril 2014, avant la sortie supposée de la voiture.
Naciri a insisté sur la nécessité d’auditionner « Karim A. » et de consulter les documents déposés auprès de la commission de la douane pour établir le véritable historique du véhicule. « Je possède tous les justificatifs, y compris le contrat de vente et le certificat d’immatriculation.
Il est impossible d’acquérir une telle voiture sans ces documents », a-t-il affirmé, dénonçant une tentative de dissimulation ou de falsification de la part de l’accusé.
L’ancien président du Wydad a notamment souligné que « le centre d’immatriculation des véhicules est l’autorité compétente pour trancher cette affaire, puisque la première utilisation de cette voiture remonte au 12 juin 2014« , ajoutant que « c’est la société de vente et de location de voitures qui me l’a effectivement vendue, contrairement à ce qui est mentionné dans les procès-verbaux « .
L’ancien président du Wydad a notamment souligné que « le centre d’immatriculation des véhicules est l’autorité compétente pour trancher cette affaire, puisque la première utilisation de cette voiture remonte au 12 juin 2014« , ajoutant que « c’est la société de vente et de location de voitures qui me l’a effectivement vendue, contrairement à ce qui est mentionné dans les procès-verbaux « .
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