Jouahri annonce une fin de mandat explosive pour Akhannouch !
Jouahri annonce une fin de mandat explosive pour Akhannouch !
Au cours de la dernière année, le gouvernement d'Aziz Akhannouch a procédé à de nouveaux achats suite au rapport de la Banque du Maroc sur les indicateurs inquiétants liés au trafic.
Suite aux campagnes électorales, notamment la création d'emplois d'un million de dollars et aux programmes gouvernementaux, qui prévoient des budgets limités, le spectre des couleurs de l'avion toujours en mouvement, et des informations plus détaillées sur les événements.
L'augmentation de la perte de cheveux entre le 15 et le 24 juin a atteint 46,9 % dans les villages, ce qui représente le prix de cette ferme estivale en ville.
Le pourcentage de perte de cheveux globale est élevé, passant de 13,1 % à 12,8 %, ce qui explique l'absence de masque pour masquer l'ampleur des rides chez les groupes les plus vulnérables.
Les puces ont augmenté le nombre de clients de 2,3 %, atteignant 1,6 million de personnes. On observe une relative variabilité de la population (la couleur de peau est de 16,7 % à 16,4 % dans les villas et de 6,7 % à 6,2 % à la campagne).
La pauvreté dans les quartiers reste élevée, ce qui suscite des interrogations.
L'efficacité des politiques gouvernementales est également en cause.
Dans ce secteur, l'économie nationale n'a pas créé 5 000 emplois entre début 2024 et 2025, contre 82 000 l'année dernière.
Le secteur agricole compte 108000 employés, le secteur de la construction 74 000, le secteur des services 35000 et le secteur industriel 2 000.
L'augmentation du volume d'activité a augmenté de 43,4 %, affectant la valeur nette totale de 32 000 travailleurs, réduisant ainsi la part de ce groupe dans la recherche d'emploi.
Les observateurs estiment que ces données empêchent les engagements du gouvernement pour lutter sur le terrain contre la pauvreté, ce qui constitue une priorité absolue.
Le problème ne se limite pas aux techniques de chiffres, mais il s'agit aussi d'un problème social qui empêche les gens d'accéder au pouvoir et frustre cette génération de de jeunes à s'exprimer.
Les carburants en hausse, le chômage des jeunes à 47%, la vie chère : Jouahri annonce une fin de mandat explosive pour Akhannouch !
Le gouverneur de la banque centrale met en lumière le paradoxe d’une croissance sans emplois, à l’heure où le pays entre en année électorale.
Publié le 25 September 2025
Le Wali de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, a livré ce mardi un diagnostic sans fard des perspectives économiques du Royaume.
Si la stabilité macroéconomique reste assurée, les signaux sociaux et budgétaires projetés pour 2026 annoncent une fin de mandat sous haute tension pour l’équipe d’Aziz Akhannouch, à la veille d’échéances électorales décisives.
L'inflation en hausse, tarifs réglementés sous pression
Après avoir contenu l’inflation autour de 1% en 2025, Bank Al-Maghrib prévoit une remontée à 1,9% en 2026, tandis que l’inflation sous-jacente atteindra 2%. Une accélération modérée mais significative, liée à la hausse attendue des prix de l’énergie (+5,4% pour les carburants et lubrifiants) et à l’ajustement des tarifs réglementés, qui progresseront de 2,5%.
Dans un contexte électoral, cette évolution pourrait être perçue comme un renchérissement direct du coût de la vie.
• Emploi : 47% des jeunes marocains sont au chômage précaire !
Le plus inquiétant encore, l’emploi continue de se contracter.
• Au deuxième trimestre 2025, le marché du travail n’a enregistré que 5000 créations nettes, alors que 108000 emplois agricoles ont été détruits.
Le taux de chômage reste élevé à 12,8%, et a atteint près de 47% chez les jeunes.
Cette fracture sociale, dénoncée depuis plusieurs années, devient désormais un enjeu politique majeur.
Projections économiques 2026 ( Bank Al-Maghrib )
Inflation
Inflation moyenne 2025 : ≈ 1%
Inflation projetée 2026 : 1,9%
Inflation sous-jacente :
2025 : 1,1% (après 2,2% en 2024)
2026 : 2%
Prix de l’énergie et tarifs
Carburants/lubrifiants : –10,2% en 2025, puis +5,4% en 2026 (effet Brent + dollar).
Tarifs réglementés : +1,7% en 2025 ; +2,5% en 2026
Croissance & secteur non agricole
Croissance du PIB non agricole : ≈ 4,5% en 2025 et 2026, soutenue par l’investissement en infrastructures
Emploi & chômage
Créations d’emplois limitées : 5 000 au T2-2025 seulement.
Destructions : –108 000 emplois agricoles.
Créations : +74 000 BTP, +35 000 services, +2 000 industrie.
Taux de chômage : 12,8% global (16,4% urbain ; 6,2% rural).
Chômage des jeunes : 46,9% au T2-2025
Un paradoxe pour le gouvernement
Le tableau dressé par Jouahri résume le dilemme de l’exécutif : Sur le plan macroéconomique, la croissance hors agriculture, attendue à 4,5% en 2025 et 2026, et la maîtrise relative de l’inflation constituent des acquis indéniables.
La mise en garde de Jouahri sonne comme un avertissement : La dernière année du mandat pourrait être marquée par un choc entre stabilité économique et instabilité sociale, un cocktail explosif à la veille des urnes.
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