La déliquescence du pouvoir.
Les Palestiniens sont un peuple fort qui nous montre le vrai sens de la résistance & leur message, si nous l’entendons, montre qu'ils se ne battent pas que pour leur liberté, mais aussi pour la nôtre.
Le 05 septembre 2025
La déliquescence du pouvoir.
Et ne regardez pas ailleurs.
Quelque chose est en train de pourrir à la tête de l'ordre occidental. C'est perceptible aux fractures qu'ils ne parviennent plus à dissimuler.
Et au milieu de tout cela, les Palestiniens, bombardés, affamés et piégés, refusent toujours de se soumettre.
Le réseau Epstein-Maxwell-Barak
Pour comprendre à quel point le système est pourri, regardez l'affaire Epstein.
Et je ne suis pas le seul à le dire. Les Nations unies l'ont déjà clairement établi. Francesca Albanese, rapporteure spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens occupés, a qualifié les actions d'Israël de ce qu'elles sont : Un génocide.
Les Palestiniens sont un peuple fort qui nous montre le vrai sens de la résistance & leur message, si nous l’entendons, montre qu'ils se ne battent pas que pour leur liberté, mais aussi pour la nôtre.
Le 05 septembre 2025
La déliquescence du pouvoir.
Et ne regardez pas ailleurs.
Quelque chose est en train de pourrir à la tête de l'ordre occidental. C'est perceptible aux fractures qu'ils ne parviennent plus à dissimuler.
Le président américain a ainsi disparu pendant plusieurs jours sans explication.
La Garde nationale a été déployée dans les rues des grandes villes américaines.
Des manifestations anti-Trump éclatent un peu partout.
Un réseau d'extorsion lié au trafic sexuel et aux services de renseignement a été enterré sous une avalanche de mensonges, d'enregistrements audio égarés et d'interviews mises en scène.
Et au milieu de tout cela, les Palestiniens, bombardés, affamés et piégés, refusent toujours de se soumettre.
La disparition de Trump
Pendant près de cinq jours, le président des États-Unis a tout simplement disparu.
Pendant près de cinq jours, le président des États-Unis a tout simplement disparu.
Pas d'apparition publique, pas d'événement officiel, pas même les séances photo qui ponctuent habituellement le planning de la Maison Blanche. Selon l'agenda officiel, ces journées étaient vierges.
C'est déjà extraordinaire pour n'importe quel président.
Pour Trump, l'homme accro aux projecteurs pour qui caméra = oxygène, c'est sans précédent.
https://x.com/mog_russEN/status/1961693288295010328
Lorsqu'il a finalement refait surface, rien ne s'est passé comme d'habitude : pas de conférence de presse brouillonne, pas de réunion improvisée, pas de remarques spontanées.
https://x.com/mog_russEN/status/1961693288295010328
Lorsqu'il a finalement refait surface, rien ne s'est passé comme d'habitude : pas de conférence de presse brouillonne, pas de réunion improvisée, pas de remarques spontanées.
Juste une photo “preuve de vie”, rigoureusement contrôlée. Pas de questions-réponses avec la presse. Pas de rencontres imprévues.
Juste assez d'images pour faire taire les rumeurs selon lesquelles il aurait disparu.
Même son compte Truth Social a été géré de la même manière. Des messages ont continué d'être publiés sous son nom, mais ils ne ressemblaient pas aux siens.
Même son compte Truth Social a été géré de la même manière. Des messages ont continué d'être publiés sous son nom, mais ils ne ressemblaient pas aux siens.
La ponctuation, le ton, le style — tout était anormalement soigné. Pour un homme célèbre pour ses diatribes en majuscules et ses fautes de frappe, ces messages semblaient soudain avoir été peaufinés par son équipe.
Ce n'est pas inédit dans la politique américaine. La presse a dissimulé la maladie d'Alzheimer de Reagan tout au long de sa présidence. Elle a caché le handicap de Roosevelt pendant plus d'une décennie, ne le montrant que rarement en fauteuil roulant. Même les problèmes de santé de Biden ont été mis en scène, ses gaffes étant minimisées tandis que ses assistants le pilotaient en coulisses.
Il ne s'agit pas seulement de questions de santé. Il s'agit de contrôle. Lorsqu'un président disparaît pendant plusieurs jours, puis réapparaît uniquement sur des photos soigneusement sélectionnées et à l'abri des médias, la question n'est pas seulement de savoir s'il est malade.
Ce n'est pas inédit dans la politique américaine. La presse a dissimulé la maladie d'Alzheimer de Reagan tout au long de sa présidence. Elle a caché le handicap de Roosevelt pendant plus d'une décennie, ne le montrant que rarement en fauteuil roulant. Même les problèmes de santé de Biden ont été mis en scène, ses gaffes étant minimisées tandis que ses assistants le pilotaient en coulisses.
Il ne s'agit pas seulement de questions de santé. Il s'agit de contrôle. Lorsqu'un président disparaît pendant plusieurs jours, puis réapparaît uniquement sur des photos soigneusement sélectionnées et à l'abri des médias, la question n'est pas seulement de savoir s'il est malade.
La question est de savoir qui est aux commandes.
Et maintenant, alors que j'écris ces lignes, Trump doit prononcer un discours important à 14 heures, heure de Washington, soit vers 19 heures ici, en Grande-Bretagne. Je ne sais pas ce qu'il va dire, mais le moment choisi montre clairement que ce discours va être important. Après plusieurs jours passés à l'abri des regards et des apparitions soigneusement orchestrées, le décor est planté.
Et maintenant, alors que j'écris ces lignes, Trump doit prononcer un discours important à 14 heures, heure de Washington, soit vers 19 heures ici, en Grande-Bretagne. Je ne sais pas ce qu'il va dire, mais le moment choisi montre clairement que ce discours va être important. Après plusieurs jours passés à l'abri des regards et des apparitions soigneusement orchestrées, le décor est planté.
Quels que soient les mots qu'il prononcera, ils seront jugés à l'aune d'une question simple : qui est vraiment aux commandes ?
Et j'en reviens à l'un des moments les plus révélateurs de sa présidence : sa rencontre à la Maison Blanche avec Benjamin Netanyahu.
Netanyahu à la Maison Blanche
Ce qui devrait encore choquer les gens, c'est qu'un moment aussi important ait été traité par la plupart des médias comme un simple fait divers. Trump, depuis la Maison Blanche, a été interrogé sur une éventuelle guerre avec l'Iran. Au lieu de répondre en tant que commandant en chef des États-Unis, il a haussé les épaules et a laissé la parole à Netanyahu, l'estimant la personne la mieux placée pour répondre à cette question.
https://x.com/joeroganhq/status/1962552636386771292
Imaginez un peu : Le dirigeant le plus puissant du monde réduit au second plan dans ses propres bureaux.
Et j'en reviens à l'un des moments les plus révélateurs de sa présidence : sa rencontre à la Maison Blanche avec Benjamin Netanyahu.
Netanyahu à la Maison Blanche
Ce qui devrait encore choquer les gens, c'est qu'un moment aussi important ait été traité par la plupart des médias comme un simple fait divers. Trump, depuis la Maison Blanche, a été interrogé sur une éventuelle guerre avec l'Iran. Au lieu de répondre en tant que commandant en chef des États-Unis, il a haussé les épaules et a laissé la parole à Netanyahu, l'estimant la personne la mieux placée pour répondre à cette question.
https://x.com/joeroganhq/status/1962552636386771292
Imaginez un peu : Le dirigeant le plus puissant du monde réduit au second plan dans ses propres bureaux.
Le président américain, devant les caméras, s'en est remis au Premier ministre israélien pour prendre la décision la plus grave qu'un dirigeant puisse prendre : Déclarer la guerre.
Ce n'était pas fortuit.
Ce n'était pas fortuit.
Ça ne relevait pas du lapsus.
Ce n'était que la vérité pure et simple : ce n'est pas Washington qui décide concernant l'Iran, mais Tel-Aviv.
Le message ne pouvait être plus clair. Imaginez David Cameron, Premier ministre britannique, interrogé sur le bombardement de la Libye et répondant : “Demandez plutôt à Washington”.
Le message ne pouvait être plus clair. Imaginez David Cameron, Premier ministre britannique, interrogé sur le bombardement de la Libye et répondant : “Demandez plutôt à Washington”.
Tout le monde aurait compris instantanément qui est vraiment aux commandes, et la presse britannique aurait été prise d'une rage folle face à cette humiliation et une telle atteinte à la souveraineté.
Pourtant, lorsque Trump a déclaré à la Maison Blanche : “Demandez à Netanyahu”, la presse américaine a simplement pris acte.
Cela montre à quel point la mainmise est profonde.
Cela montre à quel point la mainmise est profonde.
La soumission n'est plus cachée. Elle est affichée.
Le réseau Epstein-Maxwell-Barak
Pour comprendre à quel point le système est pourri, regardez l'affaire Epstein.
Grâce à la récente découverte de plus de 100 000 courriels, dont des centaines échangés entre Epstein et l'ancien Premier ministre israélien Ehud Barak, les faits sont désormais indéniables.
Barak n'était pas seulement une connaissance lointaine. La correspondance révèle des contacts réguliers, des réunions et une coordination au plus haut niveau. Si l'on ajoute à cela les liens de Robert Maxwell avec le Mossad et le rôle central de Ghislaine Maxwell aux côtés d'Epstein, le tableau se précise : Il s'agissait d'une opération de chantage menée par les services de renseignement israéliens via une organisation de trafic sexuel.
Declassified UK (John McEvoy) a largement rapporté le volet britannique de l'affaire, soulignant le rôle de Peter Mandelson et d'autres personnalités de l'establishment. Leur travail est méticuleux et s'en tient aux faits. Il ne s'agit pas d'en faire ici la synthèse, mais de reconnaître un schéma évident : il ne s'agit pas seulement d'un scandale américain. Il est transatlantique.
Et pourtant, lorsque le ministère de la Justice a eu l'occasion de le révéler, il a préféré étouffer l'affaire. Il a organisé des interviews complaisantes avec Ghislaine depuis sa “prison” du Texas.
Barak n'était pas seulement une connaissance lointaine. La correspondance révèle des contacts réguliers, des réunions et une coordination au plus haut niveau. Si l'on ajoute à cela les liens de Robert Maxwell avec le Mossad et le rôle central de Ghislaine Maxwell aux côtés d'Epstein, le tableau se précise : Il s'agissait d'une opération de chantage menée par les services de renseignement israéliens via une organisation de trafic sexuel.
Declassified UK (John McEvoy) a largement rapporté le volet britannique de l'affaire, soulignant le rôle de Peter Mandelson et d'autres personnalités de l'establishment. Leur travail est méticuleux et s'en tient aux faits. Il ne s'agit pas d'en faire ici la synthèse, mais de reconnaître un schéma évident : il ne s'agit pas seulement d'un scandale américain. Il est transatlantique.
Et pourtant, lorsque le ministère de la Justice a eu l'occasion de le révéler, il a préféré étouffer l'affaire. Il a organisé des interviews complaisantes avec Ghislaine depuis sa “prison” du Texas.
Il a diffusé des témoignages sélectifs présentant Trump comme n'étant pas impliqué, alors que ces mêmes témoignages ont été qualifiés de parjures lors de son procès initial. Pourquoi n'a-t-elle pas été inculpée pour cela ?
Parce que les procureurs disposaient déjà de suffisamment d'éléments pour la condamner pour trafic. La poursuivre pour parjure aurait alourdi sa peine, mais aussi risqué d'impliquer Trump. Il valait mieux étouffer l'affaire.
Et puis, il y a la mort de Jeffrey Epstein — la dissimulation la plus grossière de notre époque. Des images assemblées à partir de plusieurs vidéos, et une minute entière manquante. Des gardes qui se sont endormis tout à fait par hasard.
Et puis, il y a la mort de Jeffrey Epstein — la dissimulation la plus grossière de notre époque. Des images assemblées à partir de plusieurs vidéos, et une minute entière manquante. Des gardes qui se sont endormis tout à fait par hasard.
Des caméras qui ont cessé de fonctionner sans raison apparente. Et puis, des images qui ont “réapparu” de manière tout aussi improbable. Epstein, censé être sous surveillance anti-suicide, partageait récemment sa cellule avec Nicholas Tartaglione, un ancien policier new-yorkais condamné pour le quadruple meurtre avec torture de quatre hommes.
Allons donc. C'est une histoire bidon, tout le monde le sait. Ils continuent simplement à mentir au sujet d'Epstein. Toutes les mesures de sécurité ont échoué et toutes les incohérences du récit officiel dénoncent une mise en scène.
Qu'est-ce que tout cela signifie ? Que le réseau de chantage n'était pas seulement réel, mais aussi et surtout parfaitement protégé. Trump l'a protégé. Barak l'a protégé.
Allons donc. C'est une histoire bidon, tout le monde le sait. Ils continuent simplement à mentir au sujet d'Epstein. Toutes les mesures de sécurité ont échoué et toutes les incohérences du récit officiel dénoncent une mise en scène.
Qu'est-ce que tout cela signifie ? Que le réseau de chantage n'était pas seulement réel, mais aussi et surtout parfaitement protégé. Trump l'a protégé. Barak l'a protégé.
Le ministère de la Justice n'a pas démasqué l'opération, il a orchestré le récit.
La mort d'Epstein n'y a pas mis fin, elle a simplement étouffé l'affaire.
Black-out médiatique, le silence pour preuve.
Si l'événement s'était produit en Russie, la presse en ferait ses gros titres. Poutine est porté disparu depuis trois jours — le Kremlin est-il en train de vaciller ?
Black-out médiatique, le silence pour preuve.
Si l'événement s'était produit en Russie, la presse en ferait ses gros titres. Poutine est porté disparu depuis trois jours — le Kremlin est-il en train de vaciller ?
Si c'était la Chine, des émissions enflammées spéculeraient sur les coups d'État, les luttes de succession et les risques nucléaires sur CNN. Si c'était l'Iran, les think tanks publieraient des éditoriaux sur l'instabilité et la fragilité du régime.
Mais quand Trump disparaît alors que le réseau de chantage d'Epstein impliquant les services de renseignement israéliens est pratiquement prouvé ? Silence. Des fuites contrôlées.
Mais quand Trump disparaît alors que le réseau de chantage d'Epstein impliquant les services de renseignement israéliens est pratiquement prouvé ? Silence. Des fuites contrôlées.
Des photos mises en scène. Des “vérifications des faits” conçues pour écarter les questions gênantes.
Telle est la mission de la presse occidentale. Elle ne rapporte pas pour informer le public, mais pour protéger le pouvoir.
Et je le sais de première main. Les journalistes indépendants qui tentent de couvrir ces sujets sont réduits au silence, démonétisés, diffamés ou tout simplement ignorés. Moi inclus. Le mécanisme est si évident qu'on pourrait presque régler sa montre dessus.
Le silence, c'est l'évidence. Le black-out constitue le scandale. Ce n'est pas parce que l'histoire est insignifiante que les médias ne la rapportent pas. C'est parce qu'elle est trop importante.
“N'importe quel dictateur envierait le degré d'uniformité et l'obéissance des médias américains”. — Noam Chomsky.
Chantage, soumission et dispositifs de contrôle
Le schéma est désormais évident. Un président disparaît pendant plusieurs jours, puis réapparaît affaibli. Il s'en remet à Netanyahu dans ses propres murs. Un réseau de trafic sexuel lié au service du renseignement opère depuis des années, compromettant des politiciens aux quatre coins du monde.
Telle est la mission de la presse occidentale. Elle ne rapporte pas pour informer le public, mais pour protéger le pouvoir.
Et je le sais de première main. Les journalistes indépendants qui tentent de couvrir ces sujets sont réduits au silence, démonétisés, diffamés ou tout simplement ignorés. Moi inclus. Le mécanisme est si évident qu'on pourrait presque régler sa montre dessus.
Le silence, c'est l'évidence. Le black-out constitue le scandale. Ce n'est pas parce que l'histoire est insignifiante que les médias ne la rapportent pas. C'est parce qu'elle est trop importante.
“N'importe quel dictateur envierait le degré d'uniformité et l'obéissance des médias américains”. — Noam Chomsky.
Chantage, soumission et dispositifs de contrôle
Le schéma est désormais évident. Un président disparaît pendant plusieurs jours, puis réapparaît affaibli. Il s'en remet à Netanyahu dans ses propres murs. Un réseau de trafic sexuel lié au service du renseignement opère depuis des années, compromettant des politiciens aux quatre coins du monde.
Quand il menace de toucher les mauvaises personnes, le ministère de la Justice étouffe l'affaire avec des récits bidon et une mort opportune.
Il ne s'agit pas d'une série de scandales isolés. C'est un système. Une mécanique de contrôle qui recourt au chantage, au silence forcé et à l'humiliation pure et simple pour asservir les plus hautes fonctions de la planète.
On peut le constater dans les rues de Washington en ce moment même. Des soldats sont postés aux coins des rues, des véhicules blindés sillonnent les avenues : La capitale est de fait sous occupation.
Il ne s'agit pas d'une série de scandales isolés. C'est un système. Une mécanique de contrôle qui recourt au chantage, au silence forcé et à l'humiliation pure et simple pour asservir les plus hautes fonctions de la planète.
On peut le constater dans les rues de Washington en ce moment même. Des soldats sont postés aux coins des rues, des véhicules blindés sillonnent les avenues : La capitale est de fait sous occupation.
L'excuse ? L'augmentation de la criminalité et des vols de voitures. Or, si l'on se réfère aux statistiques du département de police métropolitain, on constate que la criminalité a en réalité diminué ces dernières années. Ces chiffres ne justifient pas cette démonstration de force.
Ce qui montre ce dont il s'agit réellement : du show. Une mise en scène destinée au public, qui rappelle aux Américains ordinaires que le pouvoir est entre les mains de la force, des armes et des frontières — tandis qu'en coulisses, les présidents et les premiers ministres sont maintenus dans le rang par le chantage, l'humiliation et le silence.
Voilà pourquoi Trump est caché comme un impotent, exhibé comme une marionnette, sans que personne ne bronche dans la presse. C'est pourquoi Netanyahou peut prendre place à Washington et se comporter comme le maitre des lieux, tandis que le président américain joue le rôle du locataire. C'est pourquoi Epstein a pu opérer jusqu'à devenir inutile, et pourquoi sa mort n'a été qu'un élément de décor dans une mauvaise mise en scène.
Cela n'a rien à voir avec l'influence. Ce n'est même pas du lobbying. C'est une prise de contrôle. Les personnes prises dans cette toile — présidents, Premiers ministres, ministres — ne dirigent plus. Ils sont sous contrôle.
L’avant-garde palestinienne
Si vous voulez comprendre à quoi ressemble la véritable résistance, regardez Gaza. John Wight l'a exprimé mieux que quiconque dans son récent article : le courage de la résistance palestinienne est comparable à celui des Spartiates, des Viet Minh, des Algériens, et de tous ceux qui se sont opposés à des forces écrasantes au cours de l'histoire.
Je n'oublierai jamais ma première rencontre avec John Wight. C'était lors d'un discours qu'il a prononcé à Londres et qui a commencé par une phrase qui m'a fortement marqué : “Trump, c’est l'Amérique sans son masque”. C'est exactement ce que ses écrits sur la Palestine révèlent aujourd'hui : Plus de faux-semblants, la réalité brute.
Et pensez à l'ampleur du phénomène. Jamais une telle disparité de pouvoir n'a été observée dans une guerre de cette durée.
Ce qui montre ce dont il s'agit réellement : du show. Une mise en scène destinée au public, qui rappelle aux Américains ordinaires que le pouvoir est entre les mains de la force, des armes et des frontières — tandis qu'en coulisses, les présidents et les premiers ministres sont maintenus dans le rang par le chantage, l'humiliation et le silence.
Voilà pourquoi Trump est caché comme un impotent, exhibé comme une marionnette, sans que personne ne bronche dans la presse. C'est pourquoi Netanyahou peut prendre place à Washington et se comporter comme le maitre des lieux, tandis que le président américain joue le rôle du locataire. C'est pourquoi Epstein a pu opérer jusqu'à devenir inutile, et pourquoi sa mort n'a été qu'un élément de décor dans une mauvaise mise en scène.
Cela n'a rien à voir avec l'influence. Ce n'est même pas du lobbying. C'est une prise de contrôle. Les personnes prises dans cette toile — présidents, Premiers ministres, ministres — ne dirigent plus. Ils sont sous contrôle.
L’avant-garde palestinienne
Si vous voulez comprendre à quoi ressemble la véritable résistance, regardez Gaza. John Wight l'a exprimé mieux que quiconque dans son récent article : le courage de la résistance palestinienne est comparable à celui des Spartiates, des Viet Minh, des Algériens, et de tous ceux qui se sont opposés à des forces écrasantes au cours de l'histoire.
Je n'oublierai jamais ma première rencontre avec John Wight. C'était lors d'un discours qu'il a prononcé à Londres et qui a commencé par une phrase qui m'a fortement marqué : “Trump, c’est l'Amérique sans son masque”. C'est exactement ce que ses écrits sur la Palestine révèlent aujourd'hui : Plus de faux-semblants, la réalité brute.
Et pensez à l'ampleur du phénomène. Jamais une telle disparité de pouvoir n'a été observée dans une guerre de cette durée.
L'offensive a commencé il y a près de deux ans, et le peuple palestinien vit sous occupation et sous l'apartheid depuis plus de cinquante ans. Et ils continuent de se battre. Ils continuent de lutter parce que c'est leur terre.
Je me battrais moi aussi si des envahisseurs venaient prendre la mienne. J'attends de tous les patriotes de ce pays disant aimer leur drapeau qu'ils se tiennent à mes côtés si cela devait se produire.
Et pourtant, les Palestiniens, armés de bâtons, de pierres et de cerfs-volants, s'opposent à un État doté de l'arme nucléaire et soutenu par la plus grande superpuissance que le monde ait jamais connue, une superpuissance corrompue jusqu'à la moelle.
Les chiffres témoignent de la réalité. Selon les propres statistiques d'Israël, 86 % des Palestiniens tués à Gaza sont des non-combattants, des civils.
Les chiffres témoignent de la réalité. Selon les propres statistiques d'Israël, 86 % des Palestiniens tués à Gaza sont des non-combattants, des civils.
Et ce, alors qu'Israël qualifie tout garçon de plus de 14 ans de “terroriste”. Aucun autre conflit moderne ne présente de tels chiffres. C'est hors norme. Et puis, il y a la question de la liberté de la presse : Le nombre de journalistes tués par Israël est supérieur au total combiné de la Première Guerre mondiale, de la Seconde Guerre mondiale, du Vietnam et de plusieurs autres conflits majeurs.
Ce ne sont pas des dommages collatéraux. C'est délibéré, systématique et ciblé.
Et je ne suis pas le seul à le dire. Les Nations unies l'ont déjà clairement établi. Francesca Albanese, rapporteure spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens occupés, a qualifié les actions d'Israël de ce qu'elles sont : Un génocide.
Mais elle va encore plus loin.
Elle affirme qu'il ne s'agit pas seulement de cruauté aveugle ou d'“opérations de sécurité”.
Et c'est ce système qui est à l'origine du génocide.
Et les systèmes ont des soutiens.
Et les systèmes ont des soutiens.
Les systèmes ont des filières d'approvisionnement.
Alors que les Palestiniens sont bombardés, affamés et exécutés, des entreprises comme Elbit Systems tirent profit du conflit en vendant les drones et équipements de surveillance nécessaires au maintien de l'occupation.
Ces usines ne se trouvent pas uniquement à Tel-Aviv.
Elles sont aussi implantées ici, en Grande-Bretagne. Sur la terre même qui a combattu le fascisme dans les années 1940, des usines tournent aujourd'hui à plein régime et tirent profit du génocide à Gaza. Voilà pourquoi on leur oppose de la résistance.
Il ne s'agit pas seulement de solidarité avec Gaza, mais aussi de refuser de faire partie du système qui entretient l'occupation de Gaza.
https://x.com/GordonDimmack/status/1960712623365726223
Et pourtant, en Grande-Bretagne, on ne l’apprend pas en lisant la presse. Les médias ignorent complètement Albanese ou sa diffament pour avoir exprimé une évidence. Ils couvrent Israël depuis le début, se cachant derrière des euphémismes alors que des enfants sont extraits des décombres. Lorsque même l'ONU — qui n'est pas précisément un organisme radical — publie des statistiques sur les victimes et les déplacements forcés et parle de génocide, l'ampleur de la résistance palestinienne saute aux yeux. Ils ne résistent pas seulement à une occupation. Ils résistent à un système mondial, celui-là même qu'on protège à Washington et qu'on alimente depuis la Grande-Bretagne.
Voilà pourquoi leur lutte résonne bien au-delà des frontières de la Palestine. Il ne s'agit pas de charité, ni de pitié, ni du syndrome du sauveur occidental disant : “Il faut les libérer”. Il s'agit de la reconnaissance de leur combat.
https://x.com/GordonDimmack/status/1960712623365726223
Et pourtant, en Grande-Bretagne, on ne l’apprend pas en lisant la presse. Les médias ignorent complètement Albanese ou sa diffament pour avoir exprimé une évidence. Ils couvrent Israël depuis le début, se cachant derrière des euphémismes alors que des enfants sont extraits des décombres. Lorsque même l'ONU — qui n'est pas précisément un organisme radical — publie des statistiques sur les victimes et les déplacements forcés et parle de génocide, l'ampleur de la résistance palestinienne saute aux yeux. Ils ne résistent pas seulement à une occupation. Ils résistent à un système mondial, celui-là même qu'on protège à Washington et qu'on alimente depuis la Grande-Bretagne.
Voilà pourquoi leur lutte résonne bien au-delà des frontières de la Palestine. Il ne s'agit pas de charité, ni de pitié, ni du syndrome du sauveur occidental disant : “Il faut les libérer”. Il s'agit de la reconnaissance de leur combat.
En refusant de céder, de baisser les bras, de se rendre ou de mourir en silence, ils révèlent la réalité du système.
Chaque frappe de drone qui ne les brise pas, chaque enfant sorti des décombres qui continue de crier “Palestine libre”, chaque pas dans la ville de Gaza malgré le risque de mort immédiate : tout cela brise l'illusion de la toute-puissance du système.
Voilà pourquoi l'argument de John Wight est si percutant : les Palestiniens ne sont pas seulement des victimes. Ils sont l'avant-garde. Ils font déjà ce dont nous sommes incapables ici : dire non à un système qui se prétend invincible.
En conclusion, qui libère qui ?
Tout est lié. Un président tenu à l'écart du public. Un dirigeant étranger traité comme le véritable décideur d'une guerre. Un réseau de chantage entachant Washington et Londres, protégé tant qu'il était utile. Une classe médiatique qui regarde ailleurs pendant que des soldats patrouillent dans les rues américaines sous de faux prétextes.
Tout cela relève d'une même histoire.
Chaque frappe de drone qui ne les brise pas, chaque enfant sorti des décombres qui continue de crier “Palestine libre”, chaque pas dans la ville de Gaza malgré le risque de mort immédiate : tout cela brise l'illusion de la toute-puissance du système.
Voilà pourquoi l'argument de John Wight est si percutant : les Palestiniens ne sont pas seulement des victimes. Ils sont l'avant-garde. Ils font déjà ce dont nous sommes incapables ici : dire non à un système qui se prétend invincible.
En conclusion, qui libère qui ?
Tout est lié. Un président tenu à l'écart du public. Un dirigeant étranger traité comme le véritable décideur d'une guerre. Un réseau de chantage entachant Washington et Londres, protégé tant qu'il était utile. Une classe médiatique qui regarde ailleurs pendant que des soldats patrouillent dans les rues américaines sous de faux prétextes.
Tout cela relève d'une même histoire.
D'une même mécanique.
D'un même système de contrôle.
Voilà pourquoi la Palestine compte tant. Pas seulement à cause des bombes, pas seulement à cause du blocus, pas seulement à cause du génocide perpétré en notre nom, mais parce que leur résistance démasque toute la manœuvre.
Voilà pourquoi la Palestine compte tant. Pas seulement à cause des bombes, pas seulement à cause du blocus, pas seulement à cause du génocide perpétré en notre nom, mais parce que leur résistance démasque toute la manœuvre.
Les Palestiniens nous montrent ce masque arraché, ce mensonge dévoilé, cette fraude mise à nu.
On ne cesse de dire qu'il faut libérer les Palestiniens. Mais c'est l'inverse. La vérité, c'est que ce sont les Palestiniens qui essaient de nous libérer, de libérer l'humanité.
Car regardez ce à quoi ils sont confrontés. Ils ne se battent pas seulement contre l'une des armées les plus puissantes du monde. Ils se battent contre un système qui a pris le contrôle de nos gouvernements, de nos médias, et de nos prétendues démocraties. Ils nous montrent que les dirigeants censés nous représenter ne sont que des pantins, victimes de chantage, corrompus et terrifiés à l'idée de contrarier Israël.
C’est le cœur du problème : Chaque fois que Gaza résiste, chaque fois que les Palestiniens se rebellent, ils arrachent le masque de ce système. Ils exposent la lâcheté de nos politiciens, les mensonges de nos médias et la corruption de nos institutions. Ils nous montrent nos propres chaînes.
Il n'est donc pas question pour nous de venir les sauver tels des chevaliers blancs, mais de reconnaître que leur courage, leur détermination à ne pas se soumettre, est précisément ce qui peut nous libérer de cet empire qui nous contrôle aussi.
C'est la vérité qu'on refuse de voir.
On ne cesse de dire qu'il faut libérer les Palestiniens. Mais c'est l'inverse. La vérité, c'est que ce sont les Palestiniens qui essaient de nous libérer, de libérer l'humanité.
Car regardez ce à quoi ils sont confrontés. Ils ne se battent pas seulement contre l'une des armées les plus puissantes du monde. Ils se battent contre un système qui a pris le contrôle de nos gouvernements, de nos médias, et de nos prétendues démocraties. Ils nous montrent que les dirigeants censés nous représenter ne sont que des pantins, victimes de chantage, corrompus et terrifiés à l'idée de contrarier Israël.
C’est le cœur du problème : Chaque fois que Gaza résiste, chaque fois que les Palestiniens se rebellent, ils arrachent le masque de ce système. Ils exposent la lâcheté de nos politiciens, les mensonges de nos médias et la corruption de nos institutions. Ils nous montrent nos propres chaînes.
Il n'est donc pas question pour nous de venir les sauver tels des chevaliers blancs, mais de reconnaître que leur courage, leur détermination à ne pas se soumettre, est précisément ce qui peut nous libérer de cet empire qui nous contrôle aussi.
C'est la vérité qu'on refuse de voir.
Les Palestiniens ne sont pas de pauvres créatures en quête de notre charité.
Ce sont des êtres forts qui nous montrent le vrai visage de la Résistance.
Et nous comprendrons, si nous en avons l'intelligence, qu'ils ne se battent pas que pour leur propre liberté, mais aussi pour la nôtre.

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