La convocation d'Akhannouch reporte le procès des accusés dans l'affaire des biens de l'Etat.


Publié le 21 juin 2025
Il y a quelques instants, vendredi 20 juin, la Chambre criminelle de la Cour d'appel, chargée des infractions financières, a reporté au 18 juillet le procès des accusés dans l'affaire des biens de l'État.
Il y a quelques instants, vendredi 20 juin, la Chambre criminelle de la Cour d'appel, chargée des infractions financières, a reporté au 18 juillet le procès des accusés dans l'affaire des biens de l'État.
La cour a convoqué l'État marocain, représenté par le Premier ministre, et le ministère de l'Économie et des Finances, représenté par le Trésorier général du Royaume.
Le collège des juges a recouru à la procédure par contumace contre deux accusés : Les directeurs régional et provincial des domaines de l'État.
Entre-temps, la défense de l'ancien président Mohamed Belkaid, du conseiller municipal El Maghari et d'un investisseur s'est engagée à les faire comparaître à la prochaine audience.
Les autres accusés étaient présents à l'audience de vendredi, notamment l'ancien directeur de l'agence urbaine, qui a suivi le procès à distance depuis la prison de Loudaya, où il purge une peine de prison en attendant son jugement.
Abdelilah Tatouche était également présent, au nom de l'Association nationale pour la défense des droits de l'homme et la protection des deniers publics au Maroc, en tant que partie civile, étant donné qu'il était la partie ayant précédemment déposé deux plaintes distinctes auprès du procureur de la République près la Cour d'appel de Marrakech, concernant cette affaire. Suite à ces deux plaintes, le procureur de la République a ordonné l'ouverture d'une enquête préliminaire, confiée à la Brigade nationale, qui a transmis la procédure d'enquête au procureur de la République, lequel a déféré les accusés au juge d'instruction, avant que ce dernier ne rende une ordonnance de poursuites et de renvoi devant la Chambre criminelle
Les autres accusés étaient présents à l'audience de vendredi, notamment l'ancien directeur de l'agence urbaine, qui a suivi le procès à distance depuis la prison de Loudaya, où il purge une peine de prison en attendant son jugement.
Abdelilah Tatouche était également présent, au nom de l'Association nationale pour la défense des droits de l'homme et la protection des deniers publics au Maroc, en tant que partie civile, étant donné qu'il était la partie ayant précédemment déposé deux plaintes distinctes auprès du procureur de la République près la Cour d'appel de Marrakech, concernant cette affaire. Suite à ces deux plaintes, le procureur de la République a ordonné l'ouverture d'une enquête préliminaire, confiée à la Brigade nationale, qui a transmis la procédure d'enquête au procureur de la République, lequel a déféré les accusés au juge d'instruction, avant que ce dernier ne rende une ordonnance de poursuites et de renvoi devant la Chambre criminelle
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