Al Hoceima : Nasser Zefzafi lance de nouvelles menaces.
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Al Hoceima : Nasser Zefzafi lance de nouvelles menaces.
Photo de Nasser Zefzafi
Auréolé par ce qu’il considère
comme des victoires et des conquêtes, puisqu’une forte délégation
ministérielle s’est rendue à Al Hoceima et y a promis des plans de
développement de plus de 99 milliards de dirhams, Nasser Zefzafi
commence à multiplier les menaces à travers les réseaux sociaux. Il a
ainsi menacé lundi dernier de dévoiler prochainement des dessous
jusqu’ici inconnus de l’action de l’Etat. Et tout le monde voudrait
prendre connaissance de ces secrets qu’il garde jalousement.
Ce mardi, c’est une autre vidéo de défi qu’il a lancée, où
il menace de conduire un mouvement de protestation pour investir le port
si le prix de la sardine en venait à dépasser 7 dirhams le kilo pendant
le Ramadan.
Soit, c’est louable de vouloir sauvegarder le pouvoir
d’achat des citoyens face à la hausse des prix que connaît le mois sacré
partout au Maroc. Ces hausses sont souvent le fait du déséquilibre
entre l’offre et la demande. Les situations de monopole et de
spéculations accompagnent logiquement ce processus. Or l’Etat ne joue
qu’un rôle de régulateur et n’intervient pas dans la fixation des prix.
Le marché se régule, de fait, de lui même, et l’Etat veille à travers
ses structures de contrôle à ce qu’il n’y ait pas d’excès injustifiés.
Ceci s’applique aussi bien à la sardine d’Al Hoceima, qu’à
celle d’Agadir, de Tantan ou de Safi, où les prix augmentent
sensiblement durant le mois du Ramadan.
Par conséquent, si Zefzafi veut mener une action de ce
genre, il doit s’attaquer à la racine du mal, qui se situe au niveau des
mareyeurs ou autres intermédiaires et commerçants grossistes, ou encore
des détaillants qui profitent de marges conséquentes avant d’exposer
ce poisson très prisé sur les étals. L’économie marocaine n’est pas
dirigiste, ni à planification centralisée.
C’est peut être le rêve de
cet activiste, mais c’est là un autre débat.
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