La réussite marocaine a mis en lumière les complexes du voisin...

La réussite marocaine a mis en lumière les complexes du voisin... 

Les médias algériens échouent au test de professionnalisme.

Le sacre de l'équipe nationale marocaine des moins de 20 ans à la Coupe du monde au Chili a été un moment national exceptionnel, une source de fierté arabe et africaine, et un nouveau chapitre de l'histoire du football marocain. 

Ce sacre n'était pas seulement une victoire sportive ; c'était un moment culturel qui a confirmé que le Maroc progresse progressivement vers le leadership, avec planification, sérénité et confiance en soi.

Alors que les écrans du monde entier étaient remplis d'éloges et de félicitations, et que la presse internationale célébrait l'exploit des « lionceaux » qui avaient hissé le drapeau national dans les cieux du monde, les plateformes algériennes optaient pour un silence total. Pas de félicitations, pas de mention, pas même une note marginale. 

Comme si l'événement ne les concernait pas, et comme si la joie marocaine était considérée comme un délit médiatique dans leur vocabulaire.

Ce silence n'était pas un simple acte d'indifférence, mais plutôt une déclaration de faillite morale et professionnelle. Lorsque les médias, quelle que soit leur orientation, ne reconnaissent pas leur succès, ils deviennent un instrument pathologique au service de la rancune. 

Et voilà que les médias de notre voisin oriental retombent dans le piège de leur éternel complexe : Le Maroc.

La Coupe du Monde U-20 de la FIFA a révélé le fossé entre des médias qui produisent et diffusent l'information au monde entier et des médias qui se nourrissent de haine et vivent en marge. Alors que les Marocains s'efforcent de bâtir un système sportif moderne qui investit dans la formation, les infrastructures et la planification, les médias algériens restent englués dans une mentalité de comparaison, de jalousie et de scepticisme.

La récente réussite du Maroc a non seulement réjoui les supporters, mais a aussi embarrassé ses adversaires, qui ont choisi la haine comme voie. 

Le Maroc n'a pas besoin de leurs applaudissements, mais leur silence a révélé un mal profondément ancré en lui, et un voisin qui ne se réjouit pas de la joie de son voisin ne peut que se montrer encore plus impuissant 

Le sport est une question d'éthique avant les résultats. Le Maroc a gagné deux fois : Une fois sur le terrain, et une fois en dévoilant les complexes de ses voisins par son éthique.




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